La Démocratie Inachevée Rosanvallon

politique ». Il existe un droit au retrait, responsabilité unique de l’individu. La politique au sens moderne est la protection de ce droit de retrait (ex : le terrorisme dans les années 70 était le refus total de la politique et du débat dans la démocratie, l’idée qu’il fallait détruire la société pour en construire une nouvelle). La politique peut donc être définie comme la manière de défendre un espace social, un lieu public où l’on exprime, où l’on fait de la politique. Si la politique sort de

enracinée. Elle suscite des réflexes acquis d’obéissance. - La domination légale rationnelle : Ce type de domination repose sur la croyance en la légalité des normes juridiques et des procédures en vigueur. Cette forme de légitimité prévaut dans les démocraties modernes. Cette domination s’accompagne de l’existence d’une bureaucratie qui doit être indépendante notamment dans les conditions de sa nomination. Contrairement à la domination traditionnelle qui repose sur des relations personnelles, la domination

était au-dessus de la plupart des têtes, et entre quelques mains. Alors nous chercherons à préciser les enjeux du principe de laïcité, fondamental dans l’histoire sociale et politique de la démocratie en France. Par laïcité il faut entendre la mise en œuvre pratique de la souveraineté du Peuple. La démocratie pense les principes de cette souveraineté, la laïcité en construit les fondements. En France elle s’affirme par exemple par l’instruction publique. Nous verrons que la constitution de la laïcité

peut être menée selon deux voies différentes : · la première se centre sur les conditions logiques de fonctionnement d’une société ; elle interroge les «  conditions de possibilité  » d’une notion (la démocratie, l’État, la représentation…) comme le dit  Kant . À ce premier courant, nous devons de grandes réalisations comme les notions d’État, de droits de l’homme, de libertés, de représentation, d’individu… · la seconde

principale énnemie du chercheur est le chercheur lui-même. Le chercheur est immérgé dans le monde sociale. Tout le monde croi pouvoir avec sa propre vision du monde des principe généraux du monde social. Cela est d’autant plus vrai que dans les démocratie l’opinion est valorisée. On constate que les gens prennent appuis pour élaborer des thèses globale. Le caractère faux de nos opinion tient essentiellment à 2 ordre de facteurs : - La dimenssion socialement située de nos observations. En effet

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Politiques comparées des démocraties occidentales Introduction http://pcdo.expolitike.fr La comparaison comprend toujours le comparé et le comparant. C'est une pratique ordinaire, elle structure la plupart des raisonnements de la vie quotidienne. La comparaison sert à donner des repères, donner du sens. Elle permet d'évaluer, de donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux

Elle permet aussi de donner chair à l’étude de 1848 : les documents laissent voir les liens entre les révoltes à l’échelle européenne mais aussi le rejet de l’ordre né du congrès de Vienne. BIBLIOGRAPHIE - Sylvie Aprile, 1815-1870, la Révolution inachevée, coll. « Histoire de France », sous la direction de Joël Cornette, Belin, 2010. Un ouvrage actualisé et complet qui fait référence sur le sujet. On y trouve une bibliographie complète (pp. 637 à 641). - Jean-Claude Caron, « Printemps des peuples

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Eyrolles VII ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ SOMMAIRE INTRODUCTION .............................................................................................. THÈME 1 – LA DÉMOCRATIE 1. La démocratie dans le monde d’aujourd’hui ..................................... 2. Religion et politique ................................................................................ 3. Bonheur et politique ........................................