La Déshumanisation Des Juifs

Main tournée vers le ciel= espoir Fusil simple Affiche officielle Appel au peuple => propagandegrenade Soldat allemand « fantôme » Dragon rouge: le mal dans la culture occidentale et la mythologie germanique (imagerie médiévale) Symboles juifs et communistes Affiche allemande en Belgique Cadavre mangé par le dragon =>  « anéantissement » Ville en feu, detruite Éclairs = SS « blitzkrieg »Au brouillon: -->présenter les documents( sans rédiger): -Nature: deux affiches de propagande

pose la question de l’engagement d’individus lambda dans des meurtres de masse. Contexte : Etude qui se base sur le 101e bataillon de réserve de la police allemande qui ont participé à toutes les phases du massacre de juifs en Pologne. Faits précis : assassinat de 38 000 juifs d’une balle dans la tête et la déportation de 45 000 autres. Remise en question de l’image commune du nazi (tueur fanatisé depuis son enfance, profondément antisémite), (et plus généralement du bourreau dans les représentations

survivant qui raconte œuvre : MAUS artiste : Art SPIEGELMAN Présentation de l'artiste Art Spiegelman est né le 15 février 1948 à Stockholm. Il va très jeune partir vivre aux États-Unis avec ses parents, Vladek et Anja, des immigrés juifs. Très tôt, il prendra des cours de dessins puis suivra des études d'art et de philosophie. Dès l’âge de seize ans il devient dessinateur professionnel. Il s'agit, depuis les années 1960 de l'un des grands représentants et une référence incontestée

témoignage montre deux aspects de la guerre : une guerre d’anéantissement et une guerre où la violence s’accentue. Tout d’abord, on peut voir que c’est une guerre d’anéantissement car les soldats sont là pour tuer, anéantir cette population : les juifs. Mais surtout l’aspect anéantissement c’est le fait que tout soit organisé de A à Z ce n’est pas un massacre ponctuel mais bien un massacre méthodique avec un processus à suivre. Ce processus est clairement énoncé ici, tout d’abord les hommes, femmes

inférieures notamment Juifs, Tziganes mais aussi handicapés mentaux et homosexuels. Pour 2 dernières catégories camps de concentration Pour Juifs politique d’exclusion (pas même droits que reste de la population, ghettos..). 2) Des populations systématiquement exterminées Puis - Shoah par balle (à expliquer) - A partir de la conférence de Wannsee 42 solution finale camps d’extermination ex Auschwitz expliquer processus au total au moins 5 millions de juifs exterminés. - pour Tzigane

pleine de couleurs riches. -Au deuxième plan, il s’agit de 9 squelettes qui dansent et jouent de la musique. Dans cette peinture tout est détruit sauf les instruments plus au moins. Les allemands adoraient la musique alors ils ont permis au juifs de garder leur instrument mais leur a ordonnés d’y jouer. Sur le tableau, seul deux squelettes ne font aucun usage de leurs instruments : le joueur d’orgue de Barbarie et l’ange flûtiste. Nussbaum s’est représenté au centre de cette scène, sous les

Page 2 Les lois antisémites de l'Allemagne de 1930 Pages 3, 4 et 5 La propagande, une véritable arme de manipulation Page 6 Les autres groupes persécutés par les nazis Pages 7, 8 et 9 L'opération T4 Pages 10 et 11 L'isolement des juifs dans les ghettos Pages 12 et 13 Un long périple jusque dans les camps … Pages 14,15 et 16 Les détenus mis au service du Reich Pages 17 et 18 La solution finale Page 19 Conclusion Page 20 Sources Page 21 Introduction : Suite

guerre mondiale lorsque Pétain accepte l'occupation allemande en France. Celle-ci sera alors divisé en deux : le nord avec l'occupation allemande et la sud avec le régime de Vichy. Pétain va alors collaborer avec Hitler. Il va créer des lois anti-Juifs et va participer à la rafle du Vel d'Hiv en 1942 lors de laquelle 13 152 personnes seront arrêter. La plus part moureront. Biographie de l'auteur : Roselyne Bosch est née en 1961 à Avignon. C'est une productrice, une scénariste et une réalisatrice

peine fini Don Issacar un banquier juif ou réside Cunégonde se jette fou de jalousie sur Candide, se dernier tue son agresseur. Alors Candide, Cunégonde et la vielle femme prenne la fuite en direction du Paraguay afin d'échapper aux représailles des Juifs. A Buenos Aires, le gouverneur demande Cunégonde en mariage et identifie Candide comme l'assassin présumé de l'inquisiteur. Les deux amoureux sont séparés à nouveau. Avec Cacambo le valet, il se réfugie chez les jésuites du Paraguay. Il découvre

mois de tortures. On suit Levi, qui apprend les lois du Lager, qui suit la déshumanisation de se faire appeler par un simple nombre ; qui apprend à ne se fier à personne. On se rend compte avec lui que ce ne sont pas forcément les gardes ou le labeur qui font l’horreur du séjour, mais aussi les autres. Le vol, les gardes soudoyés, et les violences entre détenus sont communs, et même encouragé. On voit le nombre d’italiens juifs avec qui le narrateur est arrivé descendre de 500 à 100, à 21. Le roman