La Femme Chez Les Romantiques

Angleterre et en Allemagne. A l’origine « romantique » désigne ce qui pourrait venir d’un roman. Cet adjectif qui nous vient d’Angleterre au XVIIIème siècle a d’abord été utilisé pour définir un paysage. Une étendue de terre où la nature dégage de la poésie, de la sentimentalité, du rêve. Ce mouvement fut initié par les anglais Young avec le poème « Les Nuits » et Samuel Richardson avec son roman Clarisse Harlowe. Les Allemands quant à eux ont créé « la romantique » qui est à la fois une histoire littéraire

réaliste, relatant le désespoir et l’ennuie d’une femme prénommée Emma, qui rêvait à l’amour depuis son enfance. Mariée à un homme inintéressant (Charles Bovary), sa recherche du bonheur et de la passion ne fut pas comblée. Ce désespoir l’entraîna à tromper son mari à plusieurs reprises, avec des amants différents. Ces liaisons furent toutes aussi passionnantes les une que les autres. Une menace de saisie menaça ensuite Charles et Emma. La pauvre femme qui n’en revenait pas, en est tombée gravement

transcender ce Mal universel et trouver la paix intérieure.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------2) L’ennui, ou le Spleen, est essentiel comme point de départ poétique chez Baudelaire car elle est un des points majeurs du recueil, avec d’ailleurs la section Spleen et Idéal qui lui est presque entièrement dédiée. En effet, une majorité de ces 85 poèmes est consacrée à l’ennui et traite ce sentiment de profond mal-être

XVIII éme siècle en Grande-Bretagne et en Allemagne puis au début du XIX éme siècle en France, en Italie et en Espagne. En France, pays de culture et de tradition gréco-latines la littérature était classique depuis la Renaissance et l'on appelle romantiques les écrivains qui au début du XIX éme siècle n'ont plus respecté les règles de pensée, en opposition au classicisme et au réalisme des philosophes du XVIII éme siècle . On a donné le nom de romantisme au courant littéraire qui a commencé aux environs

SYNTHESE Introduction : -Spleen et idéal est le nom d'une sous partie du recueil de poèmes de Charles Baudelaire intitulé "les Fleurs du Mal". -Baudelaire : grand poète baigné dans le mouvement Romantique, un mouvement culturel né en Allemagne + accent sur les sentiments. / Charles B. se dit atteint du "mal du siècle" -Le spleen : sorte de mélancolie insurmontable, une "dépression ». / L'idéal : le bonheur suprême, la joie de vivre, sans avoir à se poser des milliers de questions. / Baudelaire

tout au long de l’œuvre : « pâle », « rose », « tons », « roses », « coloraient »etc. Ce champ lexical est aussi présent dans Sylvie, où on trouve également la magnifique description du tableau de Salammbô (qui expose la scène de la danse de la jeune femme) qui par ses détails et sa représentation semble prendre vie sous nos yeux. Dans Sylvie, on a la description des « eaux calmes de l’étang », et des « reflets du ciel sur les ombrages et sur les eaux ». Ces paysages détendent et apaisent le lecteur

croit tout de suite à cet amour et il est persuadé d'avoir trouvéla femme de sa vie mais charlotte est promise à un autre qui est alors en voyage et se nomme Albert. A son retour, Werther fait sa connaissance et se rend compte de la qualité de cet homme, il décide alors de fuir sa passion afin de ne plus revoir charlotte. Pour tenter de l'oublier, il se met au service d'un ambassadeur et croit être sauvé car il pense aimer une autre femme mais les moeurs de la société mondaine où celle-ci évolue le mette

LE CAUCHEMAR DE HEINRICH FUSSLI. INTRODUCTION Johann Heindrich Fussli, né en 1741 à Zurich et mort en 1825 à Londres, était un peintre et écrivain romantique d'origine Suisse. Il passa la plus grande partie de sa vie en Angleterre où il illustra des œuvres de Shakespeare, Dante, ainsi que de l'épopée germanique des Nibelungen. Il montra très vite une attirance particulière pour les sujets fantastiques, ses tableaux mêlent horreur et beauté. Il traita dans ses tableaux les angoisses de l'époque

lune, rossignols dans les bosquets, messieurs braves comme des lions, doux comme des agneaux, vertueux comme on ne l’est pas, toujours bien mis, et qui pleurent comme des urnes ». Flaubert démystifie un certain nombre de poncifs. La grande passion romantique qui emporte l’âme devient un mariage d’affaires où les sentiments sont sacrifiés à l’intérêt. Tout au long du roman, les questions d’argent empoisonnent les idylles successives d’Emma. L’auteur de Bouvard et Pécuchet va surtout dénoncer les dangers

Âge – le sonnet se caractérise par sa longévité : après une brève éclipse au xviiie siècle, il est revenu en force chez les poètes romantiques, parnassiens et symbolistes du xixe siècle, comme peuvent en témoigner les exemples de Nerval, Heredia et Rimbaud dans l’anthologie. Malgré les grands bouleversements de la modernité, le sonnet perdure au xxe siècle en réapparaissant notamment chez les poètes québécois associés au symbolisme (Albert Lozeau) et à la littérature régionaliste (Nérée Beauchemin)