La Femme en blanc

de l’affiche puis l’interprétation des différents messages et enfin l’analyse de la figure de style. C’est une affiche rectangulaire ou l’on peut voir une femme sur un fond rose. Cette femme est cadrée en plan taille elle n’est pas face à nous mais positionnée au trois quart. Elle est coiffée d’un chignon et vêtue d’un haut blanc bustier. Elle ferme les yeux et a sa main gauche ouverte, sur celle-ci ci est placer la canette de Pepsi light. De son autre main elle ouvre la canette. Cette cannette

à Paris. Guernica est une peinture d'une taille imposante (349 x 776 cm). C'est une peinture d'histoire, à l'huile, exécutée en camaïeu de couleurs gris-noir barré de jaune et blanc car, tout en restant un choix artistique, Picasso a créé ce tableau grâce à la presse écrite, laquelle était encore en noir et blanc en 1937. Elle représente une scène de violence, de douleur, de mort et d'impuissance dont la cause n'est pas représentée explicitement dans la série des études préparatoires du premier

L’histoire d’un foulard blanc à pois noirs et d’un violoncelle. Je devrais rajouter encore une touche de blanc au visage de la femme, pour rappeler d’avantage la couleur de son foulard à pois noirs. Bien. Maintenant je crois que c’est bon. Ses cheveux dressés sur la tête, étouffés par la nuit, elle me fixait avec ses yeux globuleux et effrayants. Ce soir elle reviendrait de nouveau me visiter, comme toutes les nuits de chaque hiver depuis sa mort. C’était il y a cinq ans exactement. Par

des innocents. Description de l’œuvre Au premier plan • De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. • Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble

à fait à droite dont on ne voit que la moitié du corps (le reste est hors cadre), ganté, en « armure », du rouge sur le front. ► Au deuxième plan: une femme, centrale et en hauteur sur des bois, en robe retroussée laissant voir sa poitrine nue, pieds nus, tenant de sa main gauche un fusil à baïonnette, de sa main droite un drapeau bleu-blanc-rouge qu’elle brandit. Sa tête est de profil, tournée vers la gauche, regardant en arrière. Les cheveux sont noués et coiffés d’un bonnet rouge. Sa jambe

pâle à l’ocre rouge, dominent, notamment dans les corps des femmes. Cependant, des couleurs froides, blancs, gris, bleus, qui composent l’essentiel des draperies, offrent un violent contraste. Les formes sont fréquemment soulignées par des contours blancs ou noirs qui accentuent leur déstructuration. On remarque que ces femmes sont animées par un visage plus clair, plus net que les autres. Le blanc a, ici, symbole de pureté, de virginité et s’oppose donc dans l’idée générale du tableau et placée au

le spectateur. Certains y voient une figure de la bestialité et de la cruauté, d’autres le symbole de la résistance . L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il représente la liberté abolie . La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ .La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante

dans Breton Ma femme à la chevelure de feu de bois Aux pensées d'éclairs de chaleur A la taille de sablier Ma femme à la taille de loutre entre les dents du tigre Ma femme à la bouche de cocarde et de bouquet d'étoiles de dernière grandeur Aux dents d'empreintes de souris blanche sur la terre blanche A la langue d'ambre et de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée A la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeux A la langue de pierre incroyable Ma femme aux cils de bâtons

qui a ensuite revu le jour à la fin du XIXe siècle, fut manifestement oubliée au Moyen Âge. En effet, à l'époque médiévale, il n'était pas d'usage de porter une robe spécifique pour le mariage mais plus simplement sa plus jolie robe. Quand une femme se marie à la mairie ou à l'église, il est coutume qu'elle soit vêtue d'un vêtement assez onéreux appelé robe de mariée. Une grande majorité opte pour la robe à crinoline blanche aux tissus chatoyants pour l'idée de pureté et le côté princesse qu'elle

l'Alabama, qui avait refusée de céder sa place dans le bus à un blanc, bravant ainsi les lois ségrégationnistes de l'État. Sa révolte solitaire va s'étendre à l'ensemble de la communauté noire américaine, et déclencher un changement profond du pays entier. Rosa Parks c'est une femme au courage et à la qualité d'être exceptionnels. A partir du début de XVIIe siècle, entre quinze et vingt millions, selon les estimations, furent soumis aux Blancs. Pour leurs maitres ils n’avaient pas d'âme. Trois siècle