La Femme Objet

cette bisexualité est plus accentuée chez la femme que chez l’homme. Il explique cela par deux grandes différences entre l’homme et la femme : Tout d’abord au niveau des zones génitales prédominantes, il explique que l’homme n’a qu’une seule zone génitale prédominante : son organe sexuel alors que la femme en possède deux : le vagin qui pour Freud est proprement féminin et le clitoris qui «  serait plutôt analogue au membre viril » Freud pense que la femme n’a conscience de l’existence de son vagin

supplémentaires en 1861. Comme l'annonce le titre, avec cet oxymore entre les « Fleurs » (qui symbolisent la beauté, la pureté) et le « Mal » (qui symbolise tout ce qui est mauvais et contraire à un principe moral comme par exemple la Mort, la sexualité de la femme ou des endroits sales et obscurs), nous pouvons imaginer que le recueil est un bouquet, où chaque poème est une fleur qui pousse dans le « Mal ». Baudelaire l'écrit dans un projet de préface où il explique « vouloir extraire la beauté du Mal ». Mais

n’accorde pas d’importance à la fidélité. Il ne veut point se lier à une femme car pour lui cela signifie renoncer au monde entier : « Quoi! Tu veux qu’on se lie à demeurer au premier objet, qui nous prend, qu’on renonce au monde entier pour lui » (l.43-45). Il fait une périphrase en représente une façon indirect la femme en utilisant une métaphore pour désigné qu’elle est un objet : «qu’on se lie à demeurer au premier objet ». Il croit que tout le plaisir en amour est dans le changement et que la

La femme dans la société Depuis l’antiquité les femmes ont été considérées comme inférieures aux hommes. Exclues de toute vie politique, elles sont confinées aux tâches de mère et d’épouse. Jusqu’à la fin du XIXème siècle, le statut des françaises n’avait que peu évolué malgré le long combat pour l’égalité de certaines femmes. Arriva la Révolution Française, qui donne à la femme, le statut de citoyenne. Mais, ceci ne changea pas grand-chose. Il fallut attendre l’arrivée du Général de Gaule, le

thème qui ressort le plus dans ce recueille qui est La Femme. Nous allons répondre a la problématique : «Quelle image de la femme nous est donnée dans les mains libres ?». Dans cette première partie nous allons voir comment à travers des poèmes et des illustrations Paul Eluard et Man Ray nous décrit la femme. La thématique principale dans les mains libres est celle de la femme. Nous voyons que a travers les poèmes et des illustrations la femme est idolâtrée dans tous ces aspects, souvent sous

visage buste chevelure femme allongée / debout Eluard, « tu » ; « elle » = la femme aimée B- Quelques inspiratrices: cf contexte de création: 1936-1937 dans le Sud de la France - portraits: Adrienne Fidelin Lee Miller Hommage à Nusch - Eluard, « Le don »: « elle est pensée / elle est la chaleur brillante sous mes paupières closes »: femme s'insinue dans les rêves du poète, l'inspire. C- Nusch: EGERIE du recueil cf 1ère collaboration: Facile (photographies de Nusch) cf Femme d'Eluard: lui offre

Délimitation du thème e : Est-ce que la femme du XXI siècle peut s’épanouir librement sans s’éloigner des mœurs de son contexte social ? RELIGION : Reconnaissance par l'homme d'un pouvoir ou d'un principe supérieur de qui dépend sa destinée et à qui obéissance et respect sont dus; attitude intellectuelle et morale qui résulte de cette croyance, en conformité avec un modèle social et qui peut constituer une règle de vie.  Dieu, divinité, sacré. Une religion. Système de croyances et de pratiques

délimitation entre le monde des Idées et le monde sensible. Tout ce que nous percevons sensiblement n’est qu’une infime partie du monde des Idées, car toute l’essence de l’homme se trouve en ce monde. Le désir de l’homme est donc de trouver en la femme la Beauté, sensible, qui sera ensuite amené à un niveau plus élevé, celui de l’expérience spirituelle. Platon définit l’amour comme suit: «...la vraie voie de l'amour, qu'on s'y engage de soi-même ou qu'on s'y laisse conduire, c'est de partir des

enfants, qui se montraient envers eux indifférentes, agressives, rejetantes ou abandoniques. C’est à partir de cette clinique que nous avons tenté une lecture de Médée. Car, même si dans la tragédie d’Euripide, on est plus du côté de la passion d’une femme pour un homme que du côté de l’investissement de l’enfant, Médée est restée au fil des siècles dans l’imaginaire comme la figure paradigmatique de la mère meurtrière de ses enfants. Ce qui frappe l’imagination, c’est l’infanticide. À travers la lecture

– Présentation de la peinture → C’est une image présentant une oeuvre intitulée « femme avec Caddie » (supermarket lady). C’est une sculpture créée par l'artiste américain Duane Hanson. Elle est réalisée en fibre de verre, polyester et vêtements, caddie avec emballages de produit et a des dimensions de 166 sur 70 cm. La sculpture est donc à l’échelle humaine respectant ainsi la taille possible d’une vraie femme. L’année de réalisation est de 1969, à la fin des trente glorieuses, période faste de