La Femme qui boit

des événements sociaux. Duane Hanson a le désir de rentre plus attentif le public aux travers de la société. 3) Technique : La femme a été sculptée en moulant le corps d’un modèle avec des bandes de silicone, puis en coulant de la résine de polyester dans le moule et en renforçant ce moulage avec de la fibre de verre. C’est donc une sculpture grandeur nature. La femme a ensuite été minutieusement peinte, habillée et dotée d’accessoires réels, parmi lesquels le caddie en métal. Tous les objets sont

polyester mélangé à de la fibre de verre dans le moule pour le renforcer . Il a ensuite soudé les mélanges entre eux . Pour finir , il a peint sa sculpture puis a ajouté des vêtements , une perruque et des accesoires . Dimmensions : Grandeur nature (la femme mesure 166cm ) Date de réalisation : 1969 , durant la période des Trentes Glorieuses et de l'éxpenison économique Lieu de la 1ère exposition : Musée de Budapest (Hongrie) Lieu où l'oeuvre est conservée : Musée d'Aix La Chapelle (Allemagne)

précepteur  GEORGES : Je dis un précepteur, ou un majordome ! Un vieux majordome, presque de la famille ; un vieux valet d'écurie…  ALBIN : Tu veux vraiment me reléguer à l'office. Si tu avais épousé une femme qui boit, tu ne la ferais pas passer pour ta bonne  GEORGES : Oui, mais, ce serait une femme ! Et dans un foyer, vis-à-vis des gens, une ivrognesse est plus présentable qu'un pédéraste !  ALBIN : Eh bien mon cher ami, il fallait vous apercevoir de cela avant !  (Georges regarde Albin beurrer ses

(recueil écrit en 1862). Celui-ci en fait un portrait peu commun pour une femme, avec des éléments troublants et référant au sexe opposé ou à l’irréalisme. Nous allons donc étudier la manière dont ce personnage humain est rendu atypique et relever les éléments habituels et originaux de cette description, pour en étudier ensuite les différents points de vue qui contribuent à l’élaboration de ce portrait. Le portrait de cette femme est tout du moins contradictoire. On a tout d’abord affaire à un portrait

plus, la pub exploite les faiblesses des gens, surtout les enfants, sans compter la "culpabilisation" de téléspectateurs qui n'ont pas forcément les moyens de s'offrir ce qu'ils voient sur l'écran. elle est trop présente, on en voit partout. Dans les boîtes aux lettres, on en reçoit sans arrêt. C'est limite du "spam"!!!;)  Elle exagère les qualités du produit et passe sous silence ses défauts. - Elle manipule nos sentiments, nous faisant croire qu’il manque quelque chose à notre bonheur pour nous

(électroménager, ameublement moderne), généralisation de l’automobile, la télévision prend de plus en plus de place. III-Technique : La femme a été sculptée en moulant le corps d’un modèle avec des bandes de silicone, puis en coulant de la résine de polyester dans le moule et en renforçant ce moulage avec de la fibre de verre. C’est donc une sculpture grandeur nature. La femme a ensuite été peinte, habillée et on a rajouté des accessoires réels, parmi lesquels le caddie en métal. Tous les objets sont « vrais

de plaisir, d’oppulence (hédonisme) : il se fait ventiler, vas au sauna, voiture rouge de luxe … -La femme asiatique dans le clip veut se calquer sur le modèle américain, blonde, bien habillée…, elle est considérée comme un objet, elle est instrumentalisée. Ex de dénonciation : « Hong Kong Star » France Gall. Park Jae-Sang dans son clip, fait entrer en collision le son techno primaire des boites de nuit occidentale (david Guetta ; joachim garraud , tiesto , armin van buuren…), le hip-hop américain

sur le mur et au plafond. Sur le mur du fond, un tableau représente un crâne explosé. Assis sur l'un des tabourets du bar, un gros ivrogne d'une soixantaine d'années aux cheveux gras plaqués en arrière boit son whisky. IVROGNE au barman Un autre ! JEAN aperçoit au fond de la salle une femme très sensuelle, blonde aux yeux bleus : CASSANDRA. Elle porte une robe rouge assortie à ses chaussures à talons. Le pouls de JEAN accélère. CASSANDRA fixe JEAN du regard, le dévore des yeux. Le pouls laisse

l´inégalité. De plus le fait qu´il s´agisse d´une autobiographie rend le récit plus réaliste. En effet ce constraste est fait à partir de deux personnages : une duchesse qui vit joyeuse et ignore l´éxistence des pauvres : ¨Il y avait dans la voiture un femme en chapeau rose, en robe de velours noir, fraîche, blanche, belle, éblouissante qui riait et jouait avec un charmant petit enfant de seize mois enfoui sous les rubans, les dentelles et les fourrures.¨ (l.10), et un hommme pauvre qui subit des conditions

à des boîtes émettant des sons étranges. - Quelle est cette pieuvre diabolique accrochée à mon corps d'athlète ?! Une jeune femme vêtue tout en blanc surgi dans la chambre.- Ah enfin vous êtes enfin réveillé, cria la femme. Candide est angoissé, il croit être emprisonné par des barbares très loin de chez lui. Il ne savait pas quoi faire. -Mais qui êtes-vous et pourquoi suis-je ici belle demoiselle ? Vous savez où peuvent se trouver mes compagnons de voyage .Demanda Candide. La jeune femme fut surprise