La Filiation de l'homme et la sélection liée au sexe

l'hypothèse selon laquelle toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un seul ou quelques ancêtres communs grâce au processus connu sous le nom de « sélection naturelle ». Darwin a vu de son vivant la théorie de l'évolution acceptée par la communauté scientifique et le grand public, alors que sa théorie sur la sélection naturelle a dû attendre les années 1930 pour être généralement considérée comme l'explication essentielle du processus d'évolution. Au xxie siècle, elle constitue en

famille est un phénomène social. C’est un groupement spontané saisi par le droit. On a plusieurs définitions : on a pu définir la famille comme un ensemble de personnes descendant d’un auteur commun et rattachées entre elles par le mariage et la filiation. Cette définition est trop restrictive car elle ne prend pas en compte la famille non mariée. On a pu proposer une définition très large du type : un groupe de personnes vivant sous le même toit. Une même habitation peut réunir plusieurs personnes

en une réflexion sur tout ce qui est commun à l’être humain, alors que l’ethnologie est plutôt une science de la différence. Les deux sens sont alors complémentaires. L’anthropologie a pour vocation de fédérer l’ensemble des regards portés sur l’homme : biologique, sociologique, physiologique, ethnologique, etc.… Un débat anthropologique naît du débat de deux regards différents tirés de deux sciences différentes. Une étude sollicitant à la fois la sociologie et l’ethnologie est, par exemple, une

des biens et droit des personnes. Cette distinction est issue du droit romain. Tout est chose ou personne selon Philippe Malory cette distinction constitue le fondement principal de notre civilisation puisque cette distinction a permis de libérer l'homme de l'esclavage. PARTIE 1: LE DROIT DES PERSONNES TITRE 1: LES PERSONNES PHYSIQUES La personne en droit est un sujet qui jouit de la personnalité juridique, en effet la personnalité juridique est l'aptitude a être titulaire de droit et d'obligations

choses indifféremment). On a estimé que certains êtres devaient se voir attribuer la personnalité juridique, ce qui peut se concrétiser par l'attribution de droit patrimoniaux En quoi le droit a t-il besoin de définir la personne ? L'utilité en est liée à l'existence des droits subjectifs. La personne va être cette entité qui participera à ce qu'on appelle le commerce juridique. Ce commerce juridique repose sur deux notions essentielles que sont les droits et les obligations. Ce qui signifie que toute

désigner l’Homme en général. Pour d’autres juristes de droit romain, « persona » visait les acteurs de la vie juridique. Les esclaves n’étaient pas acteurs de leur vie juridique, c’étaient des choses. Le mot « personne » se définissait par sa fonction qui était de désigner qui était sujet de droit. Le concept de « personne » obéit à une fonction. Sur cette base, le concept évolue. Il y a un rapprochement entre le mot « personne » au sens juridique et l’« être humain ». L’homme libre a

elle a lieu quelque soit le lien de filiation. Cette obligation de déclaration s’applique aussi pour la découverte d’un nouveau né abandonné. Le père effectue habituellement la déclaration ou, à défaut, le personnel médical ou la personne chez qui la naissance à eu lieu. Cet acte de naissance va constituer le 1er acte d’Etat civil, il est rédigé immédiatement, c’est un acte authentique. Il comporte des mention obligatoire (jour, heure, lieu de naissance, sexe, son (ses) prénom(s), son nom, indications

usage complémentaire pour valider les résultats obtenus. -recours à la source documentaire. Méthode quantitative : quantité chiffré, questionnaire standardisés posés à un grand nombre de personne et l’objectif est de croiser les indicateurs (âge, sexe, niveau de diplôme). Ce questionnaire suppose plusieurs compétences, la sociologie française s’est construite à partir d’études statistiques (exemple= le suicide de Durkheim). Cela permet d’obtenir des données standardisées. Différencier la statistique

distinguent pas de la mère, ils en sont un prolongement. Cette conception est très ancienne, elle remonte au droit romain : l'enfant à naître était défini comme pars viscerum matris (= morceau de la mère). Ce n'est qu'à la séparation matérielle liée à l'accouchement que l'enfant devient un être distinct. C'est pourquoi la Cour de Cassation a de nombreuses fois refuser la qualification d'infraction pénale telle que l'atteinte involontaire à un embryon ou un fœtus. Selon la Cour, l'homicide involontaire

Droits de l’Homme : la famille est un élément fondamental de la société avec un droit à la protection. Toute personne a droit au respect de sa vie privée […] et notamment de sa vie familiale. On a toute une série de textes qui vont dire que la famille existe en tant que tel. Le droit de la famille a énormément évolué. * Loi de 1970 sur l’autorité parentale : la fin de la puissance paternelle et donc naissance de l’autorité parentale. * 3 janvier 1972 : réforme du droit de la filiation. *