La Fille bien gardée

lettres"), un regard clairvoyant et critique. Bien plus, le rédacteur entend donner des preuves de la dépravation morale des libertins et de ses dangers pour mettre en garde contre les risques des relations sociales ("toute femme (=Mme de Tourvel) qui consent à recevoir dans sa société, un homme sans moeurs finit par en devenir la victime"), contre les amitiés feintes ("toute mère est au moins imprudente, qui souffre qu'un autre qu'elle ait la confiance de sa fille"), contre les pièges des confidences ("les

gouttes de sang tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc faisait si bel effet qu’elle se dit : « Si seulement j’avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir que le bois de ma fenêtre ! » Peu de temps après, une fille lui naquit ; elle était blanche comme neige, rose comme sang et ses cheveux étaient noirs comme de l’ébène. On l’appela Blanche-Neige. Mais la reine mourut en lui donnant le jour. Au bout d’une année, le roi épousa une autre femme. Elle était très

ANGÉLIQUE, femme de George Dandin et fille de Monsieur de Sotenville. MONSIEUR DE SOTENVILLE, gentilhomme campagnard, père d'Angélique. MADAME DE SOTENVILLE, sa femme. CLITANDRE, amoureux d'Angélique. CLAUDINE, suivante d'Angélique. LUBIN, paysan, servant de Clitandre. COLIN, valet de George Dandin. La scène est devant la maison de George Dandin. - 4 -ACTE I SCÈNE I. GEORGE DANDIN. Ah ! Qu'une femme Demoiselle est une étrange affaire, et que mon mariage est une leçon bien parlante à tous les paysans qui

princesse cherche alors un solution et finit par la trouver dans éloignement de monsieur de Nemours « je suis vaincue et surmontée par une inclinaison qui m’entraîne mal-grès moi : toutes mes résolutions sont inutiles » (Mme de Clèves à elle-même) bien qu’elle annonce le contraire, on voit ici qu’elle se rend compte de la situation et gagne en maturité afin de s’améliorer, nous pouvons aussi relever une accumulation de questions p110 qui nous invite à penser de

..... 9 Acte II ................................................................................................ 34 Acte III .............................................................................................. 59PERSONNAGES Araminte, fille de Madame Argante Dorante, neveu de Monsieur Remy Monsieur Remy, procureur Madame Argante Arlequin, valet d’Araminte Dubois, ancien valet de Dorante Marton, suivante d’Araminte Le Comte Un domestique parlant Un garçon joaillier La scène est chez Madame

avec « une des plus grandes héritières de France » l. 3-4 et « un des grands partis qu’il y eut en France » l. 19 qui montrent sa richesse et sa noblesse. C’est donc un personnage quasiment parfait. Au 17ème siècle, l’éducation et ses principes est bien différente que celle d’aujourd’hui, en effet la femme doit être soumise à l’homme avec « un grand soin de s’attacher à se qui seul peut faire le bonheur d’une femme qui est d’aimer son mari et d’en être aimée. » On remarque un parallélisme, et le mot

honnête femme » : des principes éducatifs à contre-courant - L’originalité de l’éducation prodiguée par Madame de Chartres à sa fille se marque par le fait que « La plupart des mères s'imaginent qu'il suffit de ne parler jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Mme de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour ». Cette irruption d’une phrase au présent de vérité générale (« s’imaginent ») et d’une généralisation des

Polynice, la fiancée de Hémon et la nièce de Créon. C’est une jeune fille qui, ne supportant pas le fait qu’une sépulture ne soit pas organisée en l’honneur de son frère Polynice. Alors elle décide une nuit d’ aller recouvrir elle-même l corps de son frère de sable. Les gardes l’ayant vu sont allés la dénoncer auprès de Créon. Elle sera enterrée vivante dans le tombeau des Labdacides mais préféra se pendre. « la maigre jeune fille moiraude et renfermée », « hypocrite », « sale caractère », « la sale

personnages, une mère et sa fille. Ce livre a été écrit par ces deux personnages et parle de leur vie quotidienne en famille ou entre amis. La mère : je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semble que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j’ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le papier, le crayon – un affrontement muet, mais plein de bruit. Ce que nous n’arrivons pas à nous dire à voix haute comme garde-fou. Par une suite de petits

Duras se déroule est la relation entre la jeune fille et son premier amant. Ce qui déclenche la narration et ce, qui parait être une autobiographie, est une photographie, plus précisément l’absence d’une photographie de la jeune fille de quinze ans, l’époque qui est la plus décrite dans cette œuvre. Il existe d’autres photographies qui servent à documenter cette histoire, les photographies de la famille, mais c’est l’absence de cette photo de la jeune fille qui permet de ne pas comprendre cette œuvre