La Fille Laide

Hélène» (1578). Mignonne, allons voir si la rose … est issu du recueil «Odes» livre 17. Une Ode est un poème lyrique, dans lequel le poète exprime ses sentiments en ayant la même structure pour chaque vers. Ce poème destiné à Cassandre Salviati, une fille d'un banquier italien, qu'il a rencontré à une fête à la cour de Blois, Ronsard alors agé de 20ans tombe amoureux d'elle alors qu'elle n'a que 13ans. L'auteur développe le thème du temps qui fuit en l'associant à la tentation de l'amour. Ce poème

périple riche en péripéties, il apprend que finalement il ne vit pas dans le meilleur des mondes possibles, comme lui avait appris son maître, Pangloss. Chap1 : Château de Thunder-ten-tronchk en Allemagne. Le baron y vit avec sa femme, son fils et sa fille de 17 ans: Cunégonde. Pangloss enseigne à Candide que tout vas bien ds le meilleur des mondes. Candide amoureux, embrasse Cunégonde et il sera jeté du château : critique de la réligion implicite avec le péché d'Adam et Eve / critique aristocratie

médecin. Il s'installe à Tostes et sa mère lui fait épouser une veuve de quarante-cinq ans, Mme Dubuc, qui est laide mais riche. L'amour qu'éprouve Mme Dubuc pour Charles n'est pas réciproque. Une nuit d'hiver, Charles est appelé à la ferme des Bertaux qui est la ferme du père Rouault, un paysan qui paraît assez aisé, et qui vient de se casser la jambe. Charles tombe sous le charme de sa fille, Emma. Il vient donc de plus en plus souvent aux Bertaux jusqu'à ce que sa femme se doute de quelque chose et

Pendant tout le livre on entre dans le journal intime d'une jeune fille de 15 ans mal dans sa peau. Au début tout a fait ordinaire,elle vit avec ses parents,son petit frere et sa petite soeur mais suite a une mutation,son père professeur déménage et tout la famille part avec. Elle nous parle alors de ses angoisses,ses complexes,.. Elle se confie reellement a son journal. Mais un jour,elle se rend a une fête dans son ancienne ville avec des gens plus agés et sans le savoir elle va gouter pour la

être qualifiée d’injuste puisqu’elle est personnifiée par le terme mélioratif « marâtre » (l.10), c'est-à-dire une belle mère. C’est une image d’un conte qui ressemble à ceux des frère Grimm, où la belle mère jalouse de sa belle-fille si sublime, va finir par la rendre laide et la tuer sournoisement, comme le temps qui tue al beauté au fil des années. Les trois stades de la vie sont ainsi abordés : la naissance « déclose » (l.2), la vie « sa robe de pourpre au soleil » (l.11) et la mort « ne dure

beauté de leur personnage sans avoir recourt à une longue description. La rencontre inattendue donne lieu à une confusion d’identité car dans le texte de Stendhal, Mme de Rênal prend d’abord Julien comme une jeune fille comme l’indique l’expression « ce que pouvait être une jeune fille déguisée » puis dans le texte de Mme de la Fayette, Mme de Clèves « crut d’abord ne pouvoir être que M. de Nemours. Cette confusion a aussi peut-être pu contribuer à l’origine des sentiments. Contrairement aux autres

car il n'a que 71 quartiers de naissance. Forte disproportion entre les ambitions du baron et la réalité. La baronne pèse 175kg. Cunégonde est décrite comme un bout de bidoche consommable. C'est un archétype de la jeune fille désirable. A la fin du livre, elle sera devenue laide et acariâtre. «fils du baron» est une expression ironique car aucune des qualités du baron n'est donnée. Pangloss (

Exposé sur Thérèse I/Analyse du personnage de Thérèse 1/ carte d'identité Thérèse Raquin est la fille d'un capitaine français, Degans et d'une mère algérienne. Suite à la mort de sa mère, Thérèse fut amenée par son père chez sa tante, Mme Raquin, afin qu'elle s'occupe d'elle. Dès son plus jeune âge, Thérèse a été élevée par sa tante Mme Raquin aux côtés de son cousin Camille, un enfant souvent malade. Thérèse a donc partagé l'enfance maladive de Camille ce qui a fortement influé sur sa constitution

beauté, mais en somme cette beauté n’est pas comparable à celle d’une cavale, d’une jeune fille ou des autres choses vraiment belles. Socrate : Soit. Si je t’entends bien, Hippias, je devrai répondre à sa question de la manière suivante : « Tu méconnais, mon ami, la vérité de ce mot d’Héraclite, que le plus beau des singes est laid en comparaison de l’espèce humaine, et tu oublies que la plus belle marmite est laide en comparaison de la race des vierges, au jugement du savant Hippias. » *…+ La race des

sur de très nombreux monuments et leurs représentations sont très diverses. A la figure laide, parfois barbue, Méduse était repoussante. Elle avait des ailes d’or, des mains de bronze, des défenses de sanglier et la tète hérissée de serpents. Tous ceux qui croisaient son regard étaient aussitôt changés en pierres, car ses yeux redoutables lançaient des éclairs. Selon la légende, Méduse aurait été une jeune fille belle, un peu trop fière de sa chevelure, qu’elle trouvait plus belle que celle d’Athéna