La Fin de l'histoire et le Dernier Homme

Francis Fukuyama écrit en 1992, La fin de l’histoire et le dernier homme, livre très controversé pour ce qu’il implique. Pourtant, il n’est pas le premier à avoir imaginé une fin de l’histoire. Dans la première partie de son livre Fukuyama en vient à la conclusion fort simple, par une série d’observations des régimes au cours de l’histoire, que la fin de l’histoire est en fait la démocratie libérale. Les autres régimes ne peuvent survivre par manque de légitimité, tandis que les principes de la démocratie

première fois en 1862 près de 30ans après la publication du Père Goriot. Vautrin est un personnage qui correspond à ce que l’on attend d’un personnage de roman : il est immortel. Dans un roman, le lecteur souhaite trouver l’histoire d’un destin d’une vie, il souhaite que l’histoire soit intéressante et qu’il y est beaucoup de péripéties et de personnages. A la première lecture de cet extrait nous remarquons que Vautrin est un personnage vulgaire cf ses manières, cependant ce n’est pas un personnage

1729. La pièce de théâtre est jouée pour la première fois à Paris le 23 janvier 1730 au Nouveau théâtre italien, par la troupe des Comédiens-Italiens. Le livre est composé de 94 pages. Les personnages Monsieur Orgon, père de Silvia : c’est un homme qui a un certain rang social. Monsieur Orgon, père de Silvia, n’agit pas en autocrate. Il ne se montre pas autoritaire. Il souhaite que sa fille épouse Dorante, qui est le fils d’un ami et de même condition sociale. Cependant il la laissera choisir

dans son pays d'origine, il va se créer un monde imaginaire et nous embarquer dans une belle histoire... Je n'en dirai pas plus, ce livre est plein d'émotion et donc à découvrir. 2. PERSONNAGE PRINCIPAL : Aziz : le personnage principal de l’histoire, c’est un garçon d’origine française, mais il sera adopté par des tsiganes et grandira dans ce milieu-ci et parce que la voiture ou il a été trouvé était une Ami Six, il choisit de se nommer Aziz pour ne jamais oublier cela. Jean-Pierre Schneider

recueil nommé « Les soirées de Médan » en 1880, c’est sa nouvelle « Boule de Suif » qui lui fait connaitre le succès. C’est à ce moment-là que Maupassant abandonne sa carrière administrative pour se lancer en tant que journaliste et écrivain. Lors de la fin de sa vie, l’auteur est sujet à des troubles nerveux héréditaires du côté maternel, aggravant les symptômes déjà présents liés à sa syphilis. Si Maupassant refuse de s’inscrire dans un courant littéraire comme il le déclare « Je ne crois pas plus au

récit, car il a osé embrasser et séduire la fille du baron Cunégonde. Il se base sur la philosophie de Pangloss pour s’imaginer la « vraie vie » mais il se rendra compte que cela n’est pas vrai et se fera sa propre pensée qu’il dira à Pangloss à la fin du récit, Ce qui le rendra plus fort que celui-ci. Candide est un personnage qui a besoin de conseil auprès des personnes surtout Pangloss. Pangloss : Il enseigne la métaphysico-théologo-cosmonologie et expose et traite de façon méthodique le sens

résidant en France depuis 1946. Poète, romancière et dramaturge, elle a reçu de nombreux prix pour ses écrits et notamment le prix Louis-Guilloux pour Le Message, un court roman paru en 2000. Elle a choisi d’écrire en français. Le Message raconte l’histoire d’une jeune fille, Marie, qui, dans un pays en guerre, est atteinte par une balle alors qu’elle s’apprête à retrouver Steph, qui l’attend. Dans sa dernière lettre, Steph lui a donné rendez-vous et lui a demandé d’oublier leurs querelles passées

de l’Etat, celui de la Vème République, après douze années d’absence. L’objet de ce troisième volume est la période difficile que traverse la France de 1944 à 1946. Charles de Gaulle rapporte les faits tels qu’il les a vécu et la postériorité de l’histoire ne s’y fait à peine sentir. Ainsi nous nous demanderons en quels termes nous pouvons considérer le Salut comme « un roman de la France ». Selon la définition première du Larousse, le roman est une « Œuvre littéraire, (un) récit en prose dont l’intérêt

l’auteur :               Stefan Zweig est né le 28 novembre 1881 à Vienne. Fils d’un riche industriel israélite, il put mener ses études en toute liberté et parcourir le monde. Il s’est intéressé à la littérature, mais aussi à la philosophie et à l’histoire. Zweig débuta en créant des poèmes, écrivit des pièces de théâtre dont il était passionné, puis des nouvelles et romans. Romancier et biographe, il a été aussi traducteur de Verlaine, Rimbaud, Baudelaire et Verhaeren. Pacifiste, il se lie avec Romain

"il semble que le poete, influence du cinema peut-etre, se contente d'enregistrer la scene qu'il a sous les yeux en essayant d'eliminer toute rhetorique." (433) Succession de photos prises aussi objectivement possible donc, qui releve, selon ce dernier critique, plus du visuel neutre que du jeu verbal. Gaetan Picon, tout en evoquant la metaphore cinematographique, rappelle, lui, que le titre du recueil publie en 1946 est Paroles et non Ecrits, et que " Chaque poeme, c'est l'evidence, est fait pour