La Fin de l'histoire et le Dernier Homme

Au milieu des années trente, pendant la crise économique, deux amis, Georges, homme vif et intelligent et Lennie, enfantin, aimant les choses douces et broyant choses et êtres vivants sans le vouloir, errent de boulot en boulot. Ils arrivent dans un ranch à Soledad pour travailler après avoir fui un endroit dans le Weed à cause d’une affaire qui a mal tourné. Tous deux rêvent d’avoir une ferme et ils œuvrent pour cela en espérant gagner assez d’argent pour y parvenir. Deux employés au ranch, Candy

écrivains dont l'objectif était d'établir une littérature fidèle au Nouveau Monde en se servant des traditions, des origines et de l'histoire. Carpentier a continué son voyage et est allé jusqu'à Haïti où il a exploré plus en profondeur la Révolution Haïtienne grâce à la pièce de Dominique Hyppolyte, Le Torrent, mettant en scène un personnage nommé Ti Noël. Ce dernier a très certainement influencé Carpentier qui s'est alors mis à écrire Le Royaume de ce Monde. Son roman utilise des données historiques

tel roman d’initiation, le lecteur s’identifie au héros, au cheminement de sa vie, les aventures et l’histoire de ce personnage pouvant être comparable à ce que nous vivons tous les jours. Dans cette oeuvre, le héros transmet une conception nouvelle de la vie par les étapes qu’il devra franchir et plus généralement au parcours qu’il accomplira tout au long de ce roman. C’est en tout point l’histoire de notre jeune héros Marco Stanley Fogg. Ce n’est pas comme on le dit habituellement un véritable héros

et le jeune étranger). Ce roman présente plusieurs particularités notamment. Le plot de l’histoire est clair (un triangle amoureux. Rencontre, amour…) mais leurs sentiments sont confus (Voir personnage). Résume Tout a commencé une soirée d’été quand un homme homosexuel et une jeune femme qui se sont rencontres à l’’hôtel des Roches au bord de la mer. L’homosexuel est désespéré, à cause d’un autre homme qu’il a vu ce même jour par hasard (un jeune étranger aux yeux bleus cheveux noirs). Il

de ses modes. Guilloux pas étrangers aux préoccupations de ses contemporains, et n’ignore pas les recherches scripturales, formelles, de son temps. Il ressent aussi impossibilités nées de l’histoire qui interdisent de faire comme avant et reprendre formes romanesques antérieures. Soucieux, surtout dans ses derniers romans, de trouver formes narratives nouvelles pourvu qu’il les sente correspondre à ce qu’il veut traduire. Cf. Les batailles perdues, un personnage reproche à un autre son langage « un

MartialPersonnages  : 1. La Mère.2. Louise, 25 ans.3. Robert, 29ans.4. L’Abbé.Scène un La pénitente est un drame en un acte écrit en prose en 1928 par Arthur Martial, un auteur Mauricien. Le récit, c’est-à-dire le temps quand l’histoire est racontée dans le temps présent, se déroule à Paris. Le décor est la maison de la Mère. Louise est plutôt taquin ici car en entrant, elle plaisante avec la Mère. En effet, elle « glisse ses mains sur les yeux de la Mère et, lui renversant

Bartleby, Melleville Bartleby est une œuvre d'Herman Melville qui a marqué le XXe s. Il s'agit d'une nouvelle dans laquelle le narrateur est un homme de loi de Wall Street et le personnage principal est un homme nommé Bartleby. Ce dernier est engagé par le narrateur en tant que scribe. Au début de la nouvelle, il apparaît comme un employé plus ou moins modèle, puisqu'il exécute sa tâche convenablement sans déranger personne. Puis, il va refuser de faire certains travaux ordonnés par le narrateur

Brodeck est un homme marqué par la vie. Venu de nulle part. Témoin dès l’âge de 4 ans du meurtre de ses parents, du chaos et de la folie des hommes, il a été sauvé des ruines de sa maison fumante, recueilli et élevé par la vieille Fédorine. Exilés tous deux dans un village « du bout du monde », Brodeck y sera sinon accepté, du moins toléré. Outre le fait qu’il y est arrivé très jeune, il est devenu quelqu’un de très discret, serviable et excessivement humble … Alors même si auprès de cette communauté

s’érige en maître. Introduction : Le roman de Paul Auster, « Moon Palace », est considéré comme un roman d’apprentissage en ce sens que l’histoire dans laquelle nous nous immergeons est assimilable à la réalité. En effet, par le biais d’un tel roman d’initiation, le lecteur s’identifie au héros, au cheminement de sa vie, les aventures et l’histoire de ce personnage pouvant être comparable à ce que nous vivons tous les jours. Dans cette oeuvre, le héros transmet une conception nouvelle de

l’excipit du roman, le narrateur laisse ici les derniers mots à Derville, qui occupe, une fois de plus, la fonction de porte-parole de l’auteur. C’est donc l’avoué qui conclut le roman. Il commente la triste vie du colonel en insistant sur deux points : sa vie forme une boucle qui le fait partir du néant pour y retourner à la fin. Il insiste aussi sur l’ironie du sort dont il est victime : il a participé aux événements les plus marquants de l’histoire de France pour terminer comme un misérable mendiant