La Fin Du Livre Le Père Goriot

agent de change, époux de la précédente (son nom figure dans César Birotteau). Il quitte Paris après la mort de Clémence – Henri FERRAGUS : nom de guerre (en fait Ferragus XXIII) de Gratien Bourignard, ancien entrepreneur de bâtiment, forçat évadé, père de Clémence. Apparaît aussi sous le nom de Camuset et du comte de Funcal. En 1815 il accompagne de Marsay chez la fille aux yeux d'or. – Comte de FUNCAL : semble un précurseur de Vautrin. – Ida GRUGET : couturière, prostituée, maîtresse de

d'animalité. Balzac construit et clôt sa nouvelle sur un double renoncement : celui de Chabert et aussi celui de Derville, qui préfère se retirer dans sa campagne et ne plus avoir à faire avec cette société, lui aussi. Du point de vue de l'intrigue, cette fin est frustrante : que Derville n'ait eu ni la volonté ni le plaisir de faire tomber cette femme (simplement par une sorte de devoir moral vis-à-vis de Chabert) est assez étrange. Pour Balzac, Derville est envahi par un sentiment qui est assez comparable

explicites, relativement faciles à identifier, ceux que fournit d'abord son nom. Associé éventuellement à un prénom, le nom du personnage signale en effet l'écart qui sépare la création romanesque de la vie réelle. Car si, dans celle-ci, un jeune homme fin et racé peut s'appeler Marcel Bouffartigue (par exemple !), il ne saurait en être question dans le roman : ici le nom résulte d'un choix concerté. Ce sera donc Raphaël de Valentin (par exemple !). Le nom du personnage ne doit pas jurer en effet avec

Le banquier allemand Hermann, de passage à Paris, dîne en compagnie de la haute société. Il raconte à la fin du repas une étrange histoire qu’il a entendue lors de son emprisonnement à Andernach, au moment des guerres napoléoniennes - il avait été arrêté comme franc-tireur par les Français. Il s’agit d’un crime commis en 1799. Deux chirurgiens militaires passent la nuit dans une auberge, partageant leur chambre avec un industriel qui a fui les hostilités et qui avoue, au cours du repas, avoir sur

société . Balzac utilise son épilogue afin d'énoncer sa conclusion . Il y a une certaine fascination pour la dimension romanesque de l'existence chez Derville qui ressemble par certains côtés à Balzac et qui en est en tout cas le porte-parole à la fin du livre. M. Derville c'est lui qui tient les fiches, qui connaît les secrets, qui fait la description des horreurs de la société pour tirer la leçon qui est de quitter Paris. Il est le philosophe de la société qui la condamne en s'en retirant, au lieu

romantisme (fin 18e). Les écrivains du réalismes trouvaient que ça suffisait d'écrire en parlant juste de sa peine, de sa douleur de ne penser qu'à sois-même. Il fallait écrire ce qu'il se passait dans la réalité! Ne plus écrire à la façon des poètes. Différents auteurs Balzac C'est un des premiers romancier Réaliste. Il introduit la notion de « retour des personnages » (les personnages réapparaissent dans d'autre livres de Balzac). Il as écrit « La maison du chat qui pelote» ; « le père goriot »

PREMIÈRE PARTIE La bourgeoisie française sous La Restauration et La Monarchie de Juillet par Honoré de Balzac Introduction………………...…...……………………………...28 ♣ La France sous la Restauration et la monarchie du Juillet……….....28 ♣ Balzac et Le Père Goriot……………………….……..…………….29 a) Les classifications de la société reposant désormais sur l’argent ………………………………………………………………..….33  échelle économique dans la pension Vauquer ……………..…....36 - Les pensionnaires du premier étage……………....37 - Les pensionnaires

1. La bibliographie en fin de travail - séparez les sites web, des monographies (= ouvrages consacrés à un seul sujet), des ouvrages généraux et des encyclopédies. - pour un livre : Nom de l'auteur en majuscules, initiale de son prénom, titre en italiques (ou souligné pour les travaux manuscrits), sous-titre éventuel, nom de la maison d'édition, lieu d'édition, date d'édition. ex : BALZAC, H., Le Père Goriot, Le Livre de Poche, Paris, 1998. Si le livre a plusieurs auteurs, on les

grands auteurs occidentaux (comme Le Père Goriot de Balzac) cachées dans une valise. La vie montagnarde des deux jeunes hommes va alors changer après avoir découvert l’œuvre de Balzac. Après avoir volé les livres de leur ami, Luo et Ma se prennent d'un amour incondionnel pour les livres. Luo décide par la suite de transformer la Petite Tailleuse en fille de la ville grâce aux livres de Balzac, dont il est friand. Son ambition est "récompensée" car à la fin du ce roman la jolie tailleuse comprend

sociale, qui se mesure par la reconnaissance du personnage par la société ou, plus concrètement, par la fortune : c'est le cas d'Octave Mouret dans Au Bonheur des dames, qui a su donner une nouvelle dimension au commerce et contemple son magasin à la fin d'une folle journée de vente avec la satisfaction d'un général vainqueur ou d'un « despote ». C'est aussi celui de Georges Duroy, dans Bel-Ami de Maupassant, qui connaît une fulgurante carrière de journaliste, anoblit son nom en Du Roy, épouse une riche