La Firme Bancaire

Gestion des risque bancaire: definition, mesures, gestion, determinants et impact sur la performance par Med Slilm ben mahfoudh Maalej Bilel IHEC Sfax - HEC option finance Traductions: Original: fr Source: | Disponible en une seule page suivant | * Introduction générale * Section 1 : Risque de crédit * 1. Définition * 1.1. Risque de contrepartie * 1.2. Risque d'exposition * 1.3. Risque de récupération * 2. Méthodes de mesures 

PROBLEMATIQUE 4 1. 2. HYPOTHESES DE TRAVAIL 5 1.3 REVUE CRITIQUE DE LITTERATURE 10 II. DEUXIEME PARTIE: CADRE METHODOLOGIQUE 17 2. 1. CADRE DE L`ETUDE 17 2.2 ECHANTILLONAGE 17 2.3 INSTRUMENTS DE RECHERCHE 18 2.4 DIFFICULTES RENCONTRES19 3 PAYSAGE BANCAIRE SENEGALAIS III. TROISIEME PARTIE : ANALYSES 36 1 OBJET DE L'ANALYSE 36 2 ANALYSE37 CONCLUSION 38 BIBLIOGRAPHIE 39 AVANT- PROPOS Situé en Afrique de l'ouest appartenant à l'Afrique subsaharienne, bordé par l'océan atlantique à l'ouest

équivalentes à la moitié de la richesse mondiale produite ou 10 années de PIB de la France1 Disparition de Lehmann Brothers, Washington Mutual et Yamato Life Sauvetage par les pouvoirs publics et / ou des capitaux privés de grands établissements bancaires 1Source : Le Monde du 26/10/08 et Le Figaro du 29/10/08 3 …Aux affaires de fraudes internes et externes… Aux risques de marché s'ajoutent des fraudes très importantes qui amplifient la défiance générale à l'égard du système financier

ID_REVUE=CEP&ID_NUMPUBLIE=CEP_048&ID_ARTICLE=CEP_048_0189 Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories par Dominique LACOUE-LABARTHE | Éditions L’Harmattan | Cahiers d’économie politique 2005/1 - n° 48 ISSN 0154-8344 | ISBN 2-7475-8143-8 | pages 189 à 194 Pour citer cet article : — Lacoue-Labarthe D., Sylvie Diatkine, les fondements de la théorie bancaire – des textes classiques aux débats contemporains Paris, Dunod, coll. théories

produits bancaires, sait entrer en contact avec la clientèle, propose des prestations en relation avec les attentes des clients, entretient la confiance, négocie les conditions, mesure les performances et sait travailler en équipe. Cette Licence offre aussi la possibilité de travailler dans les compagnies d’assurance et les entreprises. Secteur d’activité : Banque - finance, Assurance. DEUXIEME ANNEE (L2) : CAJU231 : Cadre juridique (15 crédits) Droit des assurances – Droit bancaire – Droit cambiaire

substantielles. Dans ces conditions l'introduction en bourse devrait être décidée en phase de croissance. En revanche, si la firme s'introduit en bourse en vue de faire ultérieurement appel au marché financier pour le financement de son expansion, il est souhaitable que l'opération intervienne au milieu d'une période d'expansion et non pas a son terme. En effet, la firme qui ne peut poursuivre sa croissance après sa cotation verra son cours s'amenuiser, voire s'effondrer, et l'introduction en bourse

l’illiquidité qui se traduit par les coûts de négociation élevés.    Dans une autre perspective, le risque de liquidité est engendré par la possibilité qu’une  firme  ne  puisse  répondre  à  ses  besoins  de  financement  sans  avoir  à  liquider  les  actifs  fortement  dépréciés.  Diamond  (1991)  avance  que  la  divulgation  des  informations  au  public  permet  à  une  firme  de  réduire  les  asymétries  d’informations,  d’augmenter  la  transparence aux yeux des investisseurs et leur confiance à acquérir ses titres en volume

projet de fin d’étude. Table de matière Remerciements Table de matière Introduction 1 Partie A: 4 Fondements théoriques et stratégiques des réglementations bancaires internationales 4 Chapitre 1 : 4 La réglementation prudentielle internationale 4 Section 1: 4 1. Cadre réglementaire international de l’activité bancaire 4 1.1. L’histoire de la réglementation prudentielle internationale 4 1.2. Pourquoi règlementer les banques 8 1.2.1. Aléa de moralité 8 1.2.2. Anti-sélection

ouvriers vont avoir des tâches répétitives. Ce qui leurs permet d'augmenter la productivité, en produisant dans un temps moindre et d'une qualité supérieure, c'est qu'on appelle l'effet d'expérience. Pourtant plus efficace et efficiente, la grande firme se caractérise généralement, d'une part par un manque de flexibilité, ce qui affecte sa capacité de s'adapter aux changements de son environnement et d'autre part, par le fait qu'elle est loin de son marché et donc elle se trouve incapable dans certains

services personnalisés. ▪ Se développe donc une coordination horizontale dans la firme : on parle d’entreprises-réseaux ; il y a connexion entre firmes (B to B : business to business), avec les clients (B to C : business to consumer). ▪ Le capital intellectuel (créativité technique et savoir-faire commercial) est celui qui crée les richesses. ▪ Seules la conception et la distribution sont gérées par la firme ; la plupart des tâches sont externalisées. D) L'ère des rendements croissants