La Fleur de mon secret

[pic] | | |Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures | |Les persiennes, abri des secrètes luxures, | |Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés | |Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés, | |Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime

poèmes en vers libres : Robert Desnos : 1900/1945 est un poète français surréaliste. Il écrit des poèmes aux allures de chansons. «  seconde chanson de la fleur de souci » Ce poème comme son nom l'indique est une chanson. C'est une chanson sur le thème de l'amitié et de la liberté. Le ton semble joyeux malgré la répétition du mot « fleur de souci » qui peut être interprété dans les deux sens. C'est un refrain Ce texte est composé de 4 strophes de quatrains. Dans la première strophe les rimes

Le msindzanoLes secrets de la beauté mahoraise                                                                                                                 Sensibles à leur apparence physique, les femmes de Mayotte perpétuent un art de la beauté à la fois traditionnel et original. Les soins de la peau sont encore élaborés à base de plantes, de fleurs et d’épices, comme les essences de jasmin, d’ylang-ylang, de vanille, canelle, vétiver… La noix de coco constitue à elle seule un véritable

je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel ? Peut-être l'avenir me gardait-il encore Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ? Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu ? ... La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ; A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux ; Moi, je meurs; et mon âme, au moment qu'elle expire, S'exhale comme un son triste et mélodieux. Alphonse De Lamartine (1790-1869), Meditations poetiques, 1820.

Endymion Endymion s’endort sur le mont solitaire, Lui que Phœbé la nuit visite avec mystère, Qu’elle adore en secret, un enfant, un pasteur. Il est timide et fier, il est discret comme elle ; Un charme grave au choix d’une amante immortelle A désigné son front rêveur. C’est lui qu’elle cherchait sur la vaste bruyère Quand, sortant du nuage où tremblait sa lumière, Elle jetait au loin un regard calme et pur, Quand elle abandonnait jusqu’à son dernier voile, Tandis qu’à ses côtés une pensive

qu’il faudra parcourir avec humilité. J’ai songé alors à ce qu’un jour l’architecte LE CORBUSIER écrivit  :  » je pense que si l’on accorde quelques significations à mon œuvre d’architecte, c’est à ce labeur secret qu’il faut en attribuer la valeur profonde « parce que, finalement, « l’humble fleur n’est que le labeur des siècles » (Sir William BLAKE). La troisième fois, mêlant temps et labeur, surgit à mon esprit la parabole des tailleurs de pierre. Cheminant vers Compostelle, un pèlerin rencontre trois

Alice Gouiran Cinéma audiovisuelLa vie d’Adèle (extrait 3 vf Dailymotion : Premier baisé) Durée de l’extrait : 1mn 37 secNombre de plan : 14Plan :1. Adèle s’allonge et fume (8sec)2. Sommet des arbres (8sec)3. Sommet des arbres (4sec)4. Emma puis Adèle (4 sec)5. Emma (12sec)6. Adèle (6sec)7. Plan sur la main d’Adèle puis sur le visage d’Emma (4sec)8. Adèle (2sec)9. Emma qui sourit puis regarde les lèvres d’Adèle (4sec)10. Adèle et Emma (4sec)11. Emma (7sec)12. Plan sur les yeux

surnomme la menteuse. 2. Qui a lhabitude de se promener la nuit sans lampe de poche dans les couloirs ( a Cest Gall. ( b Cest Clment. ( c Cest Armand. ( d Cest Jules. 3. Pourquoi Gall et Clment prfrent-ils quArmand ne fasse pas partie de leur club secret ( a Ils prfrent quil ne fasse pas partie de leur club parce que cest un intellectuel. ( b Ils prfrent quil ne fasse pas partie de leur club parce que cest un timide. ( c Ils prfrent quil ne fasse pas partie de leur club parce que cest un peureux

cadre de l'action. Balzac chante la vallée de l’Indre, tendre et pastorale de Montbazon à Saché, où il a écrit son roman et d’où il pouvait contempler un beau site, un « val d'amour », au centre duquel rayonne Clochegourde, « castel ouvragé comme une fleur, et qui semble ne pas peser sur le sol ». De longues pages donnent lieu à une description minutieuse et pittoresque (la rivière, les plantes qui la tapissent, les barques, un pont, des peupliers, quelques moulins, une lande et, animant tout cela, des

Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l'humeur est vagabonde ; C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. - Les soleils