La Folie des grandeurs

donc vulnérable. Lorsqu’elle s’en rend compte, son orgueil la pousse à s’en venger. * « Ne se vend pas » p200. «  Si elle aime, et qu’elle veuille faire une folie, elle doit être justifiée par quelque grandeur » p 200. Ici tout est dit. Elle ne se compromettra jamais si elle ne se sent pas aimée véritablement. * Se dit peu enclin à se faire piéger par quelques galanteries

l’univers. Remarque paraissant simple mais qui, au final, est oubliée par les hommes. D’après lui, l’Homme n’est donc pas le maître et possesseur de la terre mais une parcelle insignifiante de l’humanité, perdue dans l’univers, ridicule face à une grandeur inimaginable et inconcevable pour l’esprit humain.Cette thèse fut déjà démontrée auparavant par la science alexandrine mais le concept à été prouvé par Copernic, transformant celui-ci en connaissance inaltérable. La seconde humiliation est appliquée

tendresse. Katow, lui tente de racheter son indignité suite au sadisme qu’il a infligé (comme Ferral) à une ouvrière, mais ceci ne rend pas sa motivation moins pure car à la base il a toujours fait parti des révolutionnaires. Katow dépasse donc Kyo en grandeur d’âme. Il est presque un saint car il va au bout du sacrifice et se laisse tuer pour sa cause sans la fuir. Katow détient un heroisme modeste et serein et mieux encore : qui n’est pas recherché pour lui-même mais pour sa conviction marxiste et la

veut que l’humain se reproduise et le cortex qui ajouterait une notion fictive de romantisme à l’acte en question. Plusieurs persisterons à dire que l’amour c’est magnifique, que ça donne des papillons au ventre (un peu, beaucoup, passionnément, à la folie), qu’Il est doux et tout le tra la la du prince charmant ou du Bon… Sans vraiment apporté de définition tangible à ce qu’ils avancent. À ceux-là, je me vois dans le regret de leurs expliquer qu’ils confondent l’amour et de la dépendance du système

comme un champs d’expérimentation « on me pense » « je travaille à me rendre voyant »→ il est l’objet de sa propre étude. CQFR : Le projet du voyant. - Voir une nouvelle réalité  - Se défaire de toute loi sociale, morale… en mimant la folie (« dérèglement de tous les sens ») - Voir l’inconnu et le retranscrire avec un nouveau langage, une nouvelle poésie. 2e LETTRE DU VOYANT, 1871 Contexte : Ecrite à Paul Demeny, 2 jours après la 1e. • Une réécriture de la 1e M idées

sur son action. C’est donc un faux monologue du fait du dédoublement qui entraîne un dialogue, Caligula va se parler à lui-même, Il s’interpelle, comme le montre le change de pronoms : « Je sais pourtant, et tu le sais aussi. » fait-il une crise de folie ? Caligula exprime sa peur, il reconnaît simplement en entendant « des bruits d'armes », « j'ai peur ». Il a les hommes méprisé pour leur lâcheté, ceux qu'il a condamnés à mort, on retrouve cette même lâcheté en lui, il ne vaut pas mieux qu’un autre

titres : - D'un point de vue politique et social, elle illustre la crise progressive de la situation sociale du poète rejeté par une société qui ne lui laisse plus qu'une place marginale sous la figure du bohème, de l'artiste maudit (V.Van Gogh), de la folie. - D'un point de vue esthétique, on peut y voir la difficulté pour la société du second empire d'accepter les choix poétiques d'un écrivain qui fonde la modernité. Baudelaire présente l'exemple d'une poésie dont l'originalité réside dans le fait qu'elle

procurent aisance matérielle et reconnaissance sociale. Maupassant romancier : son admiration pour Flaubert (mort en 1880) le pousse à écrire des romans dont les principaux sont Une vie en 1882, Bel-Ami en 1885, et Pierre et Jean en 1888. Maladie et folie : pour combattre ses maux de tête, Maupassant utilise de l'éther, drogue puissante, et parallèlement sa maladie entraîne une paralysie latente qui le handicape dès 1885. Il publie sa célèbre nouvelle, Le Horla, en 1887. En 1892, il est interné à Passy

stupides, et c’est ce qu’avait compris Adolf Hitler, le plus grand dictateur de l’époque contemporaine. Il en a d’ailleurs abusé comme ces prédécesseurs, César et Napoléon. Hitler connaissait l’histoire mais il l’a mal comprise, il a eu la folie des grandeurs comme tous les dictateurs, et comme pour tous ces dictateurs, ça l’a perdu. Et même si la connaissance de l’histoire peut parfois aboutir aux pires atrocités, il est important de ne pas oublier. Il est important de se souvenir, la connaissance

et beauté ; les artistes de la Renaissance l'appelèrent la proportion divine, ou la section dorée. Aujourd’hui, on l’appelle le nombre d'or. Le nombre d'or fascine les esprits depuis des millénaires. Ce nombre est la valeur d'un rapport de deux grandeurs homogènes. Il est déterminé par une proportion : Il y a de la petite partie à la grande, le même rapport que la grande au tout. (Vitruve, architecte romain 1er siècle avant notre ère). On le désigne par la lettre grecque φ (phi), en hommage au sculpteur