La Folie des hommes

réellement, elle est au centre de saint Petersbourg, la plupart des rue donne sur cette avenue. Ses descriptions sont parfois très précises « dans tout ce que vous découvrirez sur la perspective Nevski, partout vous ne verrez que bienséance : les hommes avec leur longue redingote, les mains plongées dans les poches ; les dames avec leur jaquette et leur chapeau de satin rose, blanc et bleu pâle ». Ses descriptions relatent bien du style vestimentaire de la haute société à cette époque. A

Fable inspirée d'Abstémius, que La Fontaine développe et anime en soignant la caractérisation des personnages et leur argumentation. Texte différent des fables habituelles : pas d'animaux, mais des hommes ; pas de leçon de morale ou de politique, mais une fable philosophique sur la condition humaine centrée sur un débat qui oppose un vieillard et trois jeunes gens. I. Le point de vue des jeunes gens : - La brieveté de la première phrase contenue dans un octosyllabe, pose le problème. Elle met

merveille ! Et celui qui a de si beaux yeux ? Beaucoup mieux que les autres, il est mort. Leur apprenez-vous quelque chose ?Non Madame, ni à lire…. Þ Derrière ses propos comique et un peu grossiers, on a l’explication de ce qui fait l’original et les hommes en général : ce n’est pas l’éducation mais c’est son caractère. Cela explique la terrible amitié des deux officiers qui ne pouvaient faire autrement puisqu’ils étaient nés hétéroclites. Cette conception de l’original est présente dans la philosophie

dont le double refus de répondre à l’amour de Pyrrhus et de se livrer à Oreste, ambassadeur des grecs, sera, à l’origine de la pièce. A ces trois personnages s’ajoute celui d’Hermione qui sera par sa jalousie coupable de la mort de Pyrrhus, de la folie d’Oreste et de la « victoire » d’Andromaque. Ces personnages ont en commun d’être liés à la Guerre de Troie et à ses héros. Andromaque est « … la veuve d’Hector » (vers 108, acte I scène 1), Pyrrhus est « … fils d’Achille » (v146, Acte I, scène 2)

Hippolyte-Aricie, signe que petit à petit, Phèdre sombre dans la folie. Cette jalousie va peu à peu laisser place à la haine et au désir de vengeance. L’amour des deux jeunes gens est considéré comme une provocation à son égard. Phèdre ressent en effet le bonheur d’Hippolyte et d’Aricie comme un « outrage » à sa personne, elle a le sentiment qu’ « ils [la] bravent », ce qui suscite chez elle le désir de vengeance. La folie de Phèdre se fixe ainsi sur Aricie et son « crime » mis en valeur

Sujet : Montrez que, dans la deuxième version du conte fantastique de Maupassant (version 1887, p. 54 à 86), les différentes manifestations du Horla conduisent le personnage à la folie. PLAN DE DISSERTATION Idée principale 1 : Les manifestations du Horla se produisant à l’insu du personnage principal le conduisent à la folie. Idée secondaire 1.1 : Étant donné que le personnage ne voit pas le Horla commettre ces gestes (ex. : carafe vide au réveil), il en vient à la conclusion qu’il est somnambule

génération a ne pas avoir connu de guerre sur le territoire.Elle publie Le livre des nuits en 1985 - il est basé sur la guerre de 1870, la 1ère et la 2ème GM. Deux mots symbolisent ce roman: tout d'abord, la mort, qui amène la souffrance et la folie par les trois guerres qui ravagent cette région, de 1870 à 1945. Puis le mystère ou la malédiction de la famille. On y retrouve une dimension fantastique à travers une famille frappé pas des mystérieuses malédictions. ( des yeux qui pleurent des perles

1L1 10.12.10 DISSERTATION Camus, philosophe, écrivain et dramaturge français du XX siècle qui reçoit le prix Nobel de littérature pour « l'ensemble d'une œuvre qui met en lumière les problèmes se posant de nos jours à la conscience des hommes. » en 1957. C’est un homme engagé politiquement qui n’a pas peur de provoquer de violentes polémiques. Dans son essai L’homme révolté, il donne une définition du monde romanesque assez pertinente « Le monde romanesque n’est que la correction de ce

» , « des hommes », « tirailleurs », « comploteurs ») crée une impression de masse. 2/ L'insistance sur l'action guerrière L'image créée dans le premier paragraphe est celle d'une avancée irréversible et aveugle. Elle est suggérée par la question « Pourquoi s'arrêteraient-ils ? » et par le choix que fait le narrateur des termes « implacable » et « sentence ». Par le jeu des connotations, la guerre est associée à un châtiment imposé par une force (celle des hommes) et par le

Charcot ? Une simple fantaisie littéraire ? Le fait est que Maupassant s’intéressait à toutes ces théories. Par ailleurs, le lecteur a du mal à oublier que le récit est écrit par un homme qui, sujet à des troubles nerveux, devait bientôt sombrer dans la folie. Est-ce alors une prémonition ? Cette nouvelle met en scène un homme, obsédé, puis possédé par un être mystérieux et invisible, le Horla. En réalité, il n’y a pas un mais deux Horla. La première version du récit, publiée en 1886, est un conte fantastique