La Fonction De Consommation Keynesienne

de la micro. La macro n’est qu’une généralisation de la micro.  Les néoclassiques (Léon Walras) ont une approche microéconomique et considère que cette approche est la seule valable. La microéconomie est aujourd’hui l’économie dominante.  Les keynésiens eux font directement de la macroéconomie et refusent l’approche microéconomique.  A l’époque classique (18e-19e : de Smith a Walras) les économistes ne se posent pas la question du type d’approche, l’approche est directement macroéconomique,

théorie du cycle réel 1) Le modèle de Robinson Crusoé 2) Formalisation d’un modèle de cycle réel 3 ) Les modèles de cycles réels 4) Les cycles sont-ils réels ? 5 ) Le cycle réel international C ) L’approche des nouveaux keynésiens 1 ) Le projet de la nouvelle économie keynésienne 2 ) Le cadre d’analyse a) Différenciation des agents et contrainte de financement b) Asymétries d’information et rationnement du crédit IUFM D’Auvergne, Croissance et cycle, Arnaud Diemer, avril 2004 4 I. LE CONTEXTE

de l’environnement économique èChap. 3 : la comptabilité nationale (CN) : Un outil d’information de l’environnement économique international : les données conjoncturelles èChap. 4 : la production et la répartition èChap. 5 : la demande et la consommation èChap. 6 : les marchés, les stratégies, les barrières à l'entrée : introduction à la théorie des jeux èChap. 7 : les Pb macroéconomiques et les politiques économiques èChap. 8 : la croissance èChap. 9 : les fluctuations économiques, la crise

permettra à l’économie de sortir de la situation de sous-emploi dans laquelle elle se trouve. Les politiques de relance vont bon train, et la France connaît la période mythique des Trente Glorieuses. Cependant, dans les années 70, les politiques keynésiennes s’avèrent inefficaces pour la reprise de l’économie après le premier choc pétrolier. En réaction à cela un renouveau libéral voit le jour avec deux économistes fondamentaux, Friedrich von HAYEK de l’école autrichienne et Milton FRIEDMAN, chef de

économique Sujet : Les politiques de relance sont-elles dépassées ? Retour Guillaume GODO Classe préparatoire EC1, option technologique Devoir d’économie (simili du 7 mars 2000) A/ Le libéralisme étouffe t’il les politiques keynésiennes ? Durant l’année 1999 en France, le déficit budgétaire a été moins important que prévu (206 milliards de francs) .Ainsi le surplus dégagé, du fait d’une croissance soutenue a permis au gouvernement d’avoir une marge de manœuvre pour l’année 2000

croissance économique 1. Définition de la croissance économique 2. La mesure de la croissance économique3. Les facteurs de la croissance économique4. L’évolution des théories de la croissance économique4.1. L’école classique libérale4.2. La conception keynésienne 4.3. La conception néoclassique4.4. Les théories de la croissance endogèneChapitre 2 : La relation entre la politique budgétaire et la croissance économique revue de la littérature théorique et empirique Section 1: La relation entre la politique

et les keynésiens Quelques considérations de principe du point de vue classico-keynésien Heinrich Bortis, Université de Fribourg / Suisse Introduction et problème Le traitement des relations entre secteur réel et secteur financier d’un point de vue classico-keynésien implique nécessairement une mise en opposition avec la théorie néoclassique, actuellement dominante. Afin de mieux mettre en relief nos propositions classico-keynésiens, qui impliquent naturellement la vision keynésienne des faits

a day ». 2) La vision keynésienne de l’économie. - Le chômage est involontaire. - Remise en cause de la loi de Say . - Crise de 1929 : crise de surproduction/sous-consommation. - L’Etat doit intervenir dans l’économie, mettre en place des politiques économiques contra cycliques. 3) Le mode de régulation keynéso-fordiste. - Théorisé par l’école de la régulation : Aglietta, Boyer, Lipietz,… - Le couple production et consommation de masse est au cœur de ce mode

l'histoire. L'économie peut être abordée de deux façons : la macro et la micro. La macroéconomie est l'étude du fonctionnement global d'un ensemble éco. Elle se distingue de la micro par son domaine et son approche (qui appréhende l'éco au niveau de fonctions globales reliés aux agrégats). La microéconomie est la régulation d'un système qui inclut une multitude d'agent éco, étant reliés par diverses opérations éco. On a une approche qui est plus globale, détermination de variable (revenu, production

dont les principaux sont : le produit intérieur brut, le revenu national, la consommation, la FBCF (formation brute de capital fixe) et l’épargne. 1. Le produit intérieur brut (PIB) Mesure de la richesse créée pendant 1 an sur le territoire national par les agents résidents Valeur ajouté = valeur bien et services produits – valeur des biens et services consommés au cours du processus de productions (consommation intermédiaire) PIB = somme de valeur ajoutées + TVA et taxes spécifiques