La Fonction Dramatique Du Comique

leurs valeurs, de leur culture,… Cela varie aussi en fonction des époques et des courants. En voici deux exemples. Premièrement, dans la comédie dramatique, « On ne badine pas avec l’amour » d’Alfred de Musset (XIXe siècle), la femme Camille, est une jeune fille qui sort du couvent et qui refuse, contre les attentes du Baron, de se marier à Perdican (qui est en réalité son cousin). C’est à la fois une grande, une comique et une dramatique personnalité qui est incarnée par la femme dans cette

étugué '' pour étudier, v.486 '' cheux nous '' pour chez nous. Elle fait aussi des fautes d'accord vers 485 '' je n'avons '' v. 486 '' je parlons '' ce qui montre qu'elle n'est pas très instruite et qu'elle n’a pas appris la conjugaison d’où le comique des mots. Cependant elle parle avec sincérité v 486 '' parler tout droit '' et paraît donc directe, franche, sincère et spontanée. Martine confond les mots savants et les mots courants lorsqu'elle prononce le mot '' Grammaire '' de la même façon

même temps le projet de sa pièce. Dans une première partie, nous étudierons le contraste marqué des deux personnages, puis dans une deuxième partie, nous analyserons l’oscillation entre deux univers théâtraux : de la comédie classique à une scène dramatique. I)DES PORTRAITS CONTRASTES A° Deux personnages apparement opposés ... 1)Tout d’abord physiquement, deux personnages de carnaval ,issus de la commedia de l’Arte mais différents : arlequin/pierrot ? .Octave est habillé de rouge en arlequin qui

éditer cette pièce en 5 actes et en décembre 1897 la fait jouer au théâtre de l’oeuvre à Paris et écrit ensuite Ubu enchainé (1889) et Ubu cocu Parodie burlesque car on pense a Oedipe roi de Sophocle Interet de cet caricature dépasse le simple comique d’une blague de lycéens car elle chasse la psychologie et le vraisemblable qui sont 2 ecceuilles du theatre et laisse place au guignol Pierre-Aimée Touchard « Le théâtre a deux ennemis, la morale et la vraisemblance » Jarry renoue donc avec le

Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve, 1951 ; Rhinocéros, 1959) et par Samuel Beckett (En attendant Godot, 1952), le théâtre de l’absurde tend à éliminer tout déterminisme logique, à nier le pouvoir de communication du langage pour le restreindre à une fonction purement ludique, et à réduire les personnages à des archétypes, égarés dans un monde anonyme et incompréhensible. Le théâtre de l’absurde connut son apogée dans les années 1950, mais son influence devait se manifester jusque dans les années 1970

Ils sont réduits à des gestes, à des mouvements et à des mots ou à un type, une fonction. Ils sont des allégories de l’état pitoyable de l’être humain. Les personnages ne subsistent que par le langage.Absence de mobiles psychologiques.Invraisemblance de ce qui leur arrive (mari et femme qui ignorent qu’ils ont été mariés - Cantatrice

théâtrale multiple, qui crée tensions mais aussi effets comiques . Ainsi, les spectateurs en savent plus que les personnages puisque nous savons que Cléante et Angélique, sous couvert de jouer les rôle d’un berger et d’une bergère amoureux, sont en réalité en train de se déclarer leur amour en improvisant les paroles. Mais Argan et les Diafoirus, eux, ignorent cela et pensent écouter un véritable air d’opéra. C’est de ce décalage que nait le comique de mots et de situation. - Faux opéra mais vrai spectacle/

abordant le théâtre d’un strict point de vue de lecteur (et non de spectateur, puisqu’il ne parle pas du jeu), définit l’écriture dramatique par le dialogue. Or, nous allons montrer qu’en fait le jeu qui se réalise dans la représentation est inscrit au cœur même de l’écriture et la préforme. C’est lui (et non le seul dialogue) qui permet de définir le texte dramatique, sans quoi rien ne laisserait distinguer une pièce de théâtre du dialogue didactique platonicien et des dialogues philosophiques écrits

comte despotique, et enfin, nous analyserons la situation de la femme au XVIIIème siècle. L’extrait proposé présente de nombreuses caractéristiques propres à la comédie et au registre comique, notamment le spectacle de la vie ordinaire, ainsi que le comique de caractère, le comique de situation ou encore le comique de langage. Le canevas d’une comédie est principalement conçu à partir d’éléments de la vie de tous les jours, même s’il est présenté sous un angle différent puisqu’il met en scène deux

ainsi s’approprier le lieu dont la position stratégique, entre la chambre de la Comtesse, et l’appartement du Comte, lui est révélé par Suzanne : >. De même, le > qui trône au milieu de la chambre, remplaçant le > promis par le Comte, a une fonction dramatique : il sera au centre de la folle course de Suzanne et de Chérubin et fera office de cachette. 2 - ACTE I, scènes 8 et 9 Résumé Le Comte fait des avances à Suzanne, il lui propose un rendez-vous, quant il entend Bazile, le maître de musique