La Fontaine La Jeune Veuve

(1552-1630) Alfred de Musset, (1810-1857) Arthur Rimbaud, (1854-1891) Charles Baudelaire, (1821-1867) Emile Negillan, (1879-1941) Jean de la Fontaine, (1621-1695) Paul Eluard, (1895-1952) Pierre de Ronsard, (1524-1585) Victor Hugo, (1802-1885) Epoque de publication :​ (Par odre chronologique) • • • • XVIè siècle : "Je n'ai plus que les os" XVIIè siècle : "La jeune veuve" et "Voici la mort du ciel" XIXè siècle : "Demain dès l'aube", "Sur une morte", "L'horloge" et "Le dormeur du Val" XXè siècle : "Notre

Le corpus soumis à notre étude se caractérise par sa forte synchronie puisque tous les textes ont été publiés entre 1668 et 1678. Il présente également une unité générique puisqu'il s'agit de 4 fables signées  de La Fontaine, auteur du XVII° que l'on peut rattacher au classicisme français. Les textes offrent cependant une diversité thématique. "Le Loup et l'Agneau" met en scène deux animaux pour fustiger une justice injuste; "Le Chêne et le Roseau" invite à une réflexion plus métaphysique à travers

Chevalier au lion, Perceval ou le Conte du Graal. Thème principal : Le thème favori de Chrétien de Troyes, est celui qui divise éternellement l'âme masculine : le conflit entre l'amour et le goût de l'aventure. Au début de l'œuvre, Yvain est un jeune chevalier fougueux, qui cherche à faire sa réputation. Plusieurs motifs l'incitent au départ : la tentation de l'aventure, le désir de venger son cousin Calogrenant et l'envie de relever le défi lancé par le sénéchal Ké. Yvain part donc à l'aventure

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean de LA FONTAINE (France) (1621-1695) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ses ‘’Fables’’). Bonne lecture ! Fils d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses

INTRO On va se concentrer sur le style chez la Fontaine: l’art de raconter, la versification, le rythme et les images. Les fables de la fontaine peuvent donc être considérées comme un mini-drame, à la structure théâtrale marquée: le décor, campé en quelques vers ou en quelques mots, la fable « Les Animaux malades de la Peste » qu’on est en train d’étudier est structurée comme une pièce dramatique. La versification : Gabrielle Les vers libres de La Fontaine n'ont aucun rapport avec les autres auteurs

principales dans la quête d’aventure de Calogrenant ? Quelle gradation se dessine dans ce cheminement ? Trois étapes se dessinent dans la quête de Calogrenant : - la nuit à la forteresse du vavasseur ; - la rencontre du vilain ; - l’arrivée à la fontaine. On constate que le cheminement se fait de plus en plus dangereux et menaçant. 5. Le portrait du vilain : quel ordre (d’une vision d’ensemble aux détails ? de haut en bas ?) suit le narrateur pour le décrire ? Pour tracer le portrait du vilain, le

courbe de tes yeux » b) Leopold Sedar Senghor  « Femme noire » c) Louis Aragon  « Les yeux d’Elsa » 2. La femme insaisissable a) Marc Alyn « le long chemin qui conduisait à toi » 3. La femme cruelle a) Jean de la Fontaine «  La jeune veuve » b) Baudelaire «  L’amour du mensonge » c) François Malherbe «  Il n’y faut plus y penser » 4. La femme aimée par tous les hommes a) Francis Cabrel « Je l’aime à mourir » b) Jean Ferrat « La femme est l’avenir de l’homme»

est exprimé au moyen de termes qui montrent que le fabuliste trouve exagérées les réactions d'une jeune veuve (beaucoup de bruit, s'abandonne aux soupirs, on dit qu'on est inconsolable). Par ailleurs, l'emploi du pronom impersonnel on pour désigner la Veuve (au lieu du elle attendu) revêt une double signification : en assimilant l'unicité de l'expérience vécue par chaque veuve (elle = une jeune veuve) à celle d'un groupe d'individus (on = toutes les jeunes veuves), le fabuliste insiste sur le caractère

s’enchainent à un rythme effréné. Candide sera ainsi fait prisonnier, puis défilera, verra ses compagnons se faire condamner à mort, se ferra fesser et enfin rencontrera le personnage de la vieille en l’espace d’un page. Certains auteurs, comme la Fontaine, théâtralisent leurs récits, tout en gardant une histoire simple comme c’est le cas dans « Les animaux malades de la peste », où l’auteur accumule les effets de dramatisation pour théâtraliser l’histoire, grâce à des anaphores, des allitérations