La Fontaine Plaire Et Instruire

critique du système monarchique absolu. Lespersonnages principaux, le Roi lion et le cerf, correspondent aux idées de la crédulité et de la flatterie. En profitant de la naïveté du lion, le cerf sauve sa vie grâce à un mensonge qui a plu au roi. Donc,La Fontaine dénonce la naïveté des rois envers les flatteries. Le moraliste y dénonce, à travers une structure variée, aussi l’injustice et les inégalités (« ceux qui sont saints comme moi ») du« droit divin » des membres royaux. Ainsi, la façon montreuse dont

Perrault (1628-1703) siècle : XVII ème XVIII ème | Mouvement littéraire: Classicisme (1660 à 1695) - Défense de la langue française - Importance de la raison - Plaire et instruire à travers ses œuvres - Idéal de l'honnête homme - Principe d'imitation des anciens : modèle antique | Contexte historique Louis XIV: - Une monarchie absolue - Place importante de la culture et des artistes célébré lors des somptueuse à Versailles - Art sous contrôle du roi (censure subventions) - Importance

préfère raconter que démontrer, et cela même dans son Dictionnaire philosophique. Ainsi, il passe par un apologue pour défi nir le Beau et se vante de s’être épargné « la peine de composer un long traité ». l Et du côté du docere (instruire), et du côté du placere (plaire), l’essai manquerait son but. Mais cette approche est sans doute un peu caricaturale 3) L’essai est aussi une forme souple et qui joue sur la séduction du lecteur Idée directrice L’essai n’est pas la forme rigide que l’on croit

allusion au succès de Louis XIV en amour)… Ménager la cour et la vilel. La Fontaine (1621-1695) Le vocabulaire humain est appliqué aux animaux : travestissement animal. Premières fables en 1668, auteur qui a toujours connu un grand succès. Genre qui se prêtait à la lecture mais aussi à la transmission orale (du fait du fort analphabétisme). Répond à la doctrine « instruire et plaire » : se sert des animaux pour instruire. Les Fables sont très populaires, elle sont peu censurées, considérées comme

1ère S Exemple de commentaire littéraire de la fable de Jean de la Fontaine : le Chat la Belette et le petit Lapin Rappels de méthode : -le commentaire doit être « composé » : il faut trouver des « axes », des centres d’intérêt qui permettent de construire une explication utile et de mettre en valeur la singularité et la qualité du texte. Ici on peut proposer un plan en deux parties : sur l’art d’écrire de la Fontaine, puis sur les significations de sa fable ; on pouvait aussi adopter d’autres

Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. L’argumentation indirecte permet une réflexion sur différents sujets au moyen de récits fictifs. Dès l’enfance, elle fait partie intégrante de l’éducation lorsque celle-ci a recourt à la fiction et aux personnages inventés pour faire passer un message

siècle, il est célèbre pour ses fables, récits brefs et plaisants qui ont pour but de plaire et instruire« Le pouvoir des fables » se démarque des autres car elle n’évoque pas des animaux à qui il donne des caractéristiques étant propres aux humains, ce que nous appelons plus communément : l'antropomorfisme. Donc ici, pas d'animaux présents, juste une dédicace flatteuse à un ambassadeur non fictifEn 1678 , La Fontaine publie le pouvoir des fables dans le livre 8 , c’est la fable 4Elle est adressée à

Première partie de l'entretien : le loup et l'agneau : La Fontaine Notes pour un commentaire  de la fable : *** Cette fable allie tradition et innovation . I. Inégalité loup/agneau, marquée par l’inégalité physique 1) Supériorité physique du Loup - loup présenté dès le début comme menaçant, terrifiant et cruel : « survient a jeun » V5 « la faim en ces lieux attirait » V6 ->loup est affamé et « plein de rage » V8 il est considéré comme une « bête cruelle » V18 - V23 -> agneau 4 syllabes : «

LA FONTAINE: "Les Animaux malades de la peste" est la première fable du 7°livre qui inaugure le second recueil publié en 1678. Ce dernier est dédié à Madame de Montespan, maîtresse de Louis XIV.                                                                                   Les livres 7 à 12 présentent des fables plus amples (le 12° a été édité en 1693) que celles du premier recueil composé en 1668 à l'intention d'un enfant, le Dauphin. Comme toute fable, elle allie le récit à l'enseignement

la sonorité nous rappelle les fables de La Fontaine étudiées en primaire. La poésie est immortelle, éternelle et universelle ; c’est un genre connu de tout le monde, adaptable et plaisant mais qui garde tout de même son coté instructif ; celui-ci dépend de la culture et de l’intelligence du lecteur. Ainsi ce genre échappe à toutes définition, chacun est libre d’en faire sa propre interprétation. En bref, la poésie à un but double, plaire et instruire (il est évident que l’on préfère lire un