La Fontaine Zola Jarry

minorités ( les Misérables d'Hugo; "la cigale et la fourmi" La fontaine; "it's a free world" kenloach; Gomora de je sais pas qui; "J'accuseé de zola) 2. L'engagement politique (les reecritues des mythes : La machine infernale cocteau; Antigone anouilh; les manifestes : communiste de Marx et du surréalisme de Breton; Dénonciation d'une forme de régime : Charlie Chaplin "Le didacteur"; hugo les chatiments"chanson"; "UBU Roi" alfred Jarry .) 3. Denoncer, donner à voir les horreurs de la guerre

Groupement de textes • Texte 1 : La Chartreuse de Parme, Stendhal • Texte 2 : L’Etranger de Camus : I, Ch. VI : la scène du meurtre De « C'était le même éclatement rouge … », jusqu’à « … sur la porte du malheur » LECTURE COMPLEMENTAIRE : • L’assommoir, Zola • Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) • La Chanson de Roland, Anonyme. • Les grands chemins de Giono • Tous les Matins du monde, Quignard LECTURE COMPLEMENTAIRE ET CURSIVE LECTURE CURSIVE : Les grands chemins de Giono Titre de la séquence

Schmitt à propos de La Nuit de Valognes. B. Théâtre et pouvoir Problématique : Quelle(s) représentation(s) du roi au théâtre ? Lectures analytiques : 1) Pierre Corneille, Cinna, v. 1753-1774, Acte V, scène 3, 1642  2) Alfred Jarry, Ubu roi, Acte I, scène 1, 1888 3) Albert Camus, Caligula, extrait III, 6, 1946, depuis « Alors, pourquoi veux-tu me tuer » jusqu’à la fin de la scène. ➢ Lectures cursives obligatoires et document complémentaire - Corneille, Cinna

lecture vous transporte dans un autre univers. Il semble donc tout à fait clair que c’est l’apprentissage de nouvelles connaissances, la découverte d’un monde si différents de nos pays, de mœurs fort nouvelles, qui vous ont plu dans cette lecture. La Fontaine, lui aussi, éduque par l’apologue de ses fables, tout en paraissant conter une histoire plaisante. Voyez plutôt la fable les Obsèques de la Lionne ; si le Cerf raconte au Lion, qui veut le tuer, une fable merveilleuse, ce n’est pas seulement pour

2 Les misérables de Victor Hugo - x 3 Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry - x 4 Germinal d'Emile Zola 6 Le rouge et le noir de Stendhal 7 Le grand Meaulnes d'Alain-Fournier - x 8 Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne - x 9 Jamais sans ma fille de Betty Mahmoody - x 10 Les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas - x 11 La gloire de mon père de Marcel Pagnol - x 12 Le journal d'Anne Frank d'Anne Frank - x 13 La bicyclette bleue de Régine Deforges - x 14 La nuit des temps de

opinions. Le rôle de l’implicite est essentiel car l’auteur ne suggère plus qu’il n’affirme une idée de plus il se cache de la censure de façon ironique en attribuant des rôles à ses personnages comme dans les Obsèques de la lionne de Jean de La Fontaine où l’auteur critique la cours du roi tout en remplaçant les personnes de la cour par des animaux, le lion correspond au rois. L’ironie est très souvent présent dans l’argumentation. Dans une argumentation l’ironie consiste à faire semblant

de l’année. Pour ce faire, il est toujours conseillé de faire une fiche de lecture… I- MOYEN-ÂGE, XVIe S. ET XVIIe S. : - Chrétien de Troyes : Yvain ou le chevalier au lion, Perceval ou le roman du Graal - Corneille : Le Cid, Horace - La Fontaine : Fables - Mme de Lafayette : La Princesse de Clèves - Molière : Les Fourberies de Scapin, Les Femmes savantes, L’Avare, Les Précieuses ridicules, Georges Dandin, Le Médecin malgré lui, L’Ecole des femmes, Le Malade imaginaire… - Perrault : Histoires

sevice d'intentions didactiques et satiriques, la Fontaine, qui montre les travers humains: la fable est un instrument de satire sociale et politique "Les obsèques de la Lionne". Le théatre est un cadre idéal à l'argumentation avec dialogue d'idées, vivacité. Dans des satires du monde politique et social, Marivaux ou Beaumarchais donnent la parole aux "oppirmés" (femmes, domestiques, esclaves). Ruy Blas de Hugo (peuple oppirmé); Ubu Roi d'Alfred Jarry; La guerre de Troie n'aura pas lieu, met en place

Manon Lescaut Rousseau, La Nouvelle Héloïse Montesquieu, Les lettres persanes Hugo, Les Misérables Balzac, Le Père Goriot, Le Colonel Chabert Stendhal, Le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary, L’Education Sentimentale Maupassant, Bel-Ami Zola, Germinal, L’Assommoir Proust, Du côté de chez Swann Gide, Les Faux-Monnayeurs Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Le Sagouin Kafka, La métamorphose Camus, L’Etranger Malraux, La Condition humaine Céline, Voyage au bout de la nuit Vian, L’Ecume des

devaient se purger de leurs peines. La littérature, et le théâtre mais aussi plus généralement, peut donc être considérée comme moraliste. Jean de La Fontaine, a écrit un grand nombre de fables, rassemblées dans Les Fables, et chacune de ses fables, ou presque, contient une morale, que ce soit au début ou à la fin. Dans "Le Corbeau et le Renard", La Fontaine donne comme morale que "Tout flatteur/ Vit aux dépends de celui qui l'écoute." ou encore dans "L'Horoscope" que "On rencontre sa destinée/ Souvent