La Fureur du dragon

c'est un personnage de l'époque de Louis XV qui aimait à se travestir et qui à longtemps été considéré en femme. Est-ce bel et bien une femme ? C'est que le chevalier d'Éon est un jour vêtu d'une robe, le lendemain en uniforme de capitaine des dragons. Chapitre 1RussieLe chevalier d'Éon de sont vrai nom Charles Geneviève de Beaumont d'Éon nait le 5 octobre 1728 à Tonnerre. Son enfance est déjà pleine de mystère et d'ambiguïté. En effet selon lui, il serait né fille et serait devenu par la

devenu le roseau dont on fait les flûtes. Argus s’endort ; Mercure lui tranche la tête avec son épée, qui roule, sanglante, au bas du rocher. Les cent yeux sont plongés dans la nuit. La fille de Saturne les ramasse pour en orner le plumage du paon. -Fureur de Junon. Zeus l’enlaçant la conjure de mettre un terme au châtiment. -Jupiter : Ne crains rien à l’avenir. Jamais plus elle ne sera pour toi une cause de souffrance. Je prends à témoin les marais du Styx. -Une fois la déesse apaisée, Io reprend

remplissent de pleurs.  OENONE  Ah ! s'il vous faut rougir, rougissez d'un silence  Qui de vos maux encore aigrit la violence.  Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours,  Voulez-vous sans pitié laisser finir vos jours ?  Quelle fureur les borne au milieu de leur course ?  Quel charme ou quel poison en a tari la source ?  Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux  Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ;  Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure  Depuis

(« un fer pointu » vers 1483) qui paraît le premier à la surface, puis le front, puis les dauphins qui le portent. Entrée très théâtrale de Neptune sur la scène aquatique. Cette sortie des eaux ressemble à l'épisode des guerriers nés des dents du dragon et sortis tout armés des sillons labourés par Cadmus dans les Métamorphoses d'Ovide (note). De plus, la personnification de l'Océan prend ici un corps physique : il a une tête, un front, des cheveux, un corps à porter dont une main, un flanc, de la

malgré moi, se remplissent de pleurs. OENONE Ah ! s'il vous faut rougir, rougissez d'un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous sans pitié laisser finir vos jours ? Qulle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

malgré moi, se remplissent de pleurs. ŒNONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre

colère, maudit son fils, et demande à Neptune de le faire périr. Scène 2 : Thésée, interrogeant son fils, n'obtient de lui que I'aveu de son amour pour Aricie. Il refuse de le croire. Scène 3 : Le roi, en proie à la douleur, abandonne Hippolyte aux fureurs de Neptune. Scène 4 : Phèdre, qui venait intercéder auprès de lui pour Hippolyte, apprend que celui-ci aime Aricie. Scène 5 : Phèdre est en proie à la douleur. Scène 6 : Sa jalousie l’égare : elle veut mourir. Oenone l’invite à consentir à cet amour

abattra mille hommes parmi les Philistins, il écartera les colonnes du temple de Dagon, héros solaire, il meurt debout. Jason L'expédition de Jason, a pour but de conquérir la Toison d'or, ce rare trophée suspendu à un arbre et gardé par un dragon en pays de Colchide. Jason et ses compagnons embarquent sur la nef Argo... Au courage, à l'ardeur indispensables à toute quête s'ajoute ici l'amitié, vertu héroïque qui conduit vers le noble et le bien. La Toison d'Or évoque la lumière originelle

L’Ingénu , Voltaire LA n°1 CH1) L'impitoyable bailli, qui ne pouvait réprimer sa fureur de questionner, poussa enfin la curiosité jusqu'à s'informer de quelle religion était M. le Huron ; s'il avait choisi la religion anglicane, ou la gallicane, ou la huguenote ? Je suis de ma religion, dit−il, comme vous de la vôtre. Hélas ! s'écria la Kerkabon, je vois bien que ces malheureux Anglais n'ont pas seulement songé à le baptiser. Eh ! mon Dieu, disait mademoiselle de Saint−Yves, comment se peut−il que

malgré moi, se remplissent de pleurs. OENONE Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous sans pitié laisser finir vos jours ? Qulle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre