La Grande Chaloupe

de rimes embrassées dans les deux premières strophes, de rimes plates et embrassées dans les deux dernières strophes. Ce poème nous fait ressentir une tristesse de la part de du narrateur il exprime le temps qui passe dans un voyage infinie. La Grande Hermine au Canada de Michel guyot est un artiste peut connu ce tableau a était peint en 2004 , nous avons choisie ce tableau faisant référence à la caravelle mais aussi au voyage en inde c'est a dire en terre nouvelle , nous pouvons même imaginé que

Il est surnommé le grand Homme-Montagne.Ils ne parlent pas la même langue. Gulliver fait des gestes. Par la suite, il apprendra leur langue.L’inventaire des vêtements de Gulliver est fait de manière ordonnée et systématique. Ce passage long donne un puissant effet de réel, tout en formant un pastiche du style administratif de l’époque puisque la fouille est faite selon des règles juridiques évoquant les procédures britanniques de l’Habeas corpus (textes de lois appliqués en Grande-Bretagne depuis le

noire jamaïcaine (afro-caribéenne) âgée de 18 ans, Cedella Marley Booker, née Malcolm et d'un père blanc d'origine anglaise né en Jamaïque, capitaine de la Royal Navy, âgé d'une cinquantaine d'années, Norval Marley, qu'il n'a que très peu connu. Ses grands-parents paternels sont Albert Thomas Marley, un anglais du Sussex et Ellen Broomfield une bourgeoise jamaïcaine colorée. D'après Michael George Marley (fils de Noel Marley, frère de Norval Marley), qui l'aurait appris de sa famille puis vérifié, les

extrait de L’Education sentimentale de Gustave FLAUBERT. 3.2.1 Le texte 3.2.2. Analyse du texte Conclusion Introduction La littérature française du 19e siècle est marquée par une chronologie troublée de grands courants littéraire tels que le Romantisme, le réalisme, le Naturalisme, le symbolisme et le Parnasse. En effet l’échec de la révolution de 1848 provoqua en France dans la littérature et dans les arts une réaction de rejet de l’univers romantique

l'intérieur d'un monastère ; chaque matin elle distribuait la besogne à ses servantes, surveillait les confitures et les onguents, filait à la quenouille ou brodait des nappes d'autel. À force de prier Dieu, il lui vint un fils.Alors il y eut de grandes réjouissances, et un repas qui dura trois jours et quatre nuits, dans l'illumination des flambeaux, au son des harpes, sur des jonchées de feuillages. On y mangea les plus rares épices, avec des poules grosses comme des moutons ; par divertissement

(1730-1797) qui eut une carrière militaire dans les colonies avant d'être élu de Pondichéry et des Indes orientales à l'Assemblée constituante de 1789. Léon, l'un de ses arrière-petits-fils, passe les premières années de sa vie entre le château de sa grand-mère maternelle en Bavière et l'Alsace où ses parents se sont mariés, puis la famille part s'installer en 1856 à Paris où le jeune Léon achève ses études primaires dans les classes enfantines du collège des pères Jésuites de l'Immaculée Conception

haletant un peu. Les prêtres, les chantres et les deux enfants de choeur récitaient le De profundis ; et leurs voix s'en allaient sur la campagne, montant et s'abaissant avec des ondulations. Parfois ils disparaissaient aux détours du sentier ; mais la grande croix d'argent se dressait toujours entre les arbres. Les femmes suivaient, couvertes de mantes noires à capuchon rabattu ; elles portaient à la main un gros cierge qui brûlait, et Charles se sentait défaillir à cette continuelle répétition de prières

colonisation française au Brésil. En 1555, un chevalier de Malte, Villegagnon décide de s’installer en terre étrangère pour pouvoir vivre sa religion –il se dit protestant- ; il va donc contacter l’amiral de Coligny, et par lui, Henri II, ainsi qu’un grands nombres de seigneurs sympathisants du protestantisme pour financer son expédition. Il part en mai 1555, et arrivé dans la baie de Rio de Janeiro (en novembre), il construit un petit fort sur une île pour se protéger des Indiens et des Portugais. Par

Pitcairn et l'implantation d'une colonie de mutins isolés qui vont s'entretuer, tandis que le capitaine Bligh n'a de cesse de poursuivre les officiers révoltés qui l'ont abandonné sur une chaloupe). Au XIX° siècle, l'île, déjà inquiétante dans ses violences internes, s'entoure de mystère, monde isolé et de solitude. La grande histoire napoléonienne contribue à nourrir cette mythologie. De l'île d'Elbe, point de départ du retour triomphal de Napoléon à l'île de Sainte-Hélène, symbole de l'exil définitif de

l'intérieur d'un monastère ; chaque matin elle distribuait la besogne à ses servantes, surveillait les confitures et les onguents, filait à la quenouilIe ou brodait des nappes d'autel. A force de prier Dieu, il lui vint un fils. Alors il y eut de grandes réjouissances, et un repas qui dura trois jours et quatre nuits, dans l'illumination des flambeaux, au son des harpes, sur des jonchées de feuillages. On y mangea les plus rares épices, avec des poules grosses comme des moutons ; par divertissement