La Grande Vadrouille

au-dessus des trois autres groupées en triangle. Sur le pas de la porte, Mémé Epstein nous regarde. C’est une vieille Bulgare toute ratatinée, ridée comme il n’est pas permis. Elle a bizarrement gardé le teint cuivré que donne au visage le vent des grandes steppes, et là dans ce renfoncement de porte, sur sa chaise paillée, elle est un morceau vivant du monde balkanique que le ciel gris de la porte de Clignancourt n’arrive pas à ternir. Elle est là tous les jours et sourit aux enfants qui s’en reviennent

chez d’autres. Je suis impressionné de voir Will Ferrell qui chante bien, même quand il fait le con et qu’il imite Robert Goulet dans le Saturday Night Live. Et que dire de De Funès qui dirige réellement l’orchestre de Strasbourg dans La Grande vadrouille sans bouger de son personnage pour autant, en donnant autant d’importance à la partition qu’à la mèche de sa perruque. Je veux faire partie humblement de cette famille-là. nature car il faut refaire. Quand je suis sur scène, je suis très

vingt-cinq ans : deux mille cinq cents élèves, à peu près, dont un certain nombre en « grande difficulté », selon l’expression consacrée. Et tous deux sont pères de famille. « Le prof a dit que… », ils connaissent. L’espoir placé par le cancre dans la litanie, oui… Les mots du professeur ne sont que des bois flottants auxquels le mauvais élève s’accroche sur une rivière dont le courant l’entraîne vers les grandes chutes. Il répète ce qu’a dit le prof. Pas pour que ça ait du sens, pas pour que la règle

Les promoteurs dans le transport aérien furent les britanniques avec le Comet fabriqué par De Havilland qui fit son premier vol le 27 juillet 1949 et mise en service en 1952, après trois ans d'essais intensifs. Cet avion connut un vif succès et les grandes compagnies mondiales l'adoptèrent immédiatement. Comet De Havilland  Vicker Viscount  DC 6  Mais les connaissances de l'époque étaient empiriques sur les problèmes de résistance des matériaux face aux différences de pression. Un avion de transport

période de crise, l’ensemble des agents économiques est amené à remettre en cause leur avenir. Que ce soit les gouvernements, les personnes ou les entreprises, ces dernières subissent évidemment de plein fouet la crise économique. Que l’entreprise soit grande ou petite, qu’elle soit présente en Europe ou en Asie, la plupart d’entre elles se retrouvent affectées alors que rien ne pouvait les atteindre jusqu’alors. C’est le cas de nombreuses multinationales et leurs fameuses succes- stories. Or tous les

(Afrique du Sud). Accord a minima : les 200 délégations ne sont pas parvenues à trouver un successeur au protocole de Kyoto (1997 – réduction de 5,2% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2012). Limites du protocole de Kyoto : ne s’applique pas aux grands pays émergents (Chine, Inde, Brésil), les USA ne l’ont pas ratifié. Le Canada s’est retiré. Le « Fonds vert » pour aider les pays en développement à lutter contre le changement climatique (100 milliards de dollars par an). Prochaine conférence de

années 90, ont attiré 34,5 % des spectateurs en 2000. Si l’on exclut les films français, le cinéma européen a enregistré un peu moins de 10 millions d’entrées en 2000, soit une perte de plus de 7 millions par rapport à 1999. Cette baisse est en grande partie imputable au recul du cinéma britannique, dont les succès de 1999 n’ont pas trouvé d’équivalent. 544 films de long métrage ont été projetés pour la première fois en 2000 sur les écrans français. La concentration de la fréquentation s’effectue

—Passe-moi la poêle, dit-il. —Tu as oublié de prononcer le mot magique, répliqua Harry avec mauvaise humeur. Cette simple phrase produisit un effet stupéfiant sur le reste de la famille : Dudley poussa un cri étouffé et tomba de sa chaise dans un grand fracas qui ébranla toute la cuisine; Mrs Dursley laissa échapper un petit cri et plaqua ses mains contre sa bouche; quant à Mr Dursley. il se leva d'un bond, les veines de ses tempes battant sous l'effet de la fureur. —Je voulais simplement dire

trouver le sommeil. Je m’accrocherai à chaque seconde avec l’entêtement d’un naufragé agrippé à son épave. Je n’arrête pas de me dire qu’un coup de théâtre va me sortir de là – et puis quoi encore ? Les dés sont bel et bien jetés, il n’y a plus grand-chose à espérer. L’espoir ? Quelle arnaque ! Il y a deux genres d’espoir. L’espoir qui relève de l’ambition, et l’espoir qui se réclame du miracle. Le premier peut toujours courir, le second peut toujours attendre ; ni l’un ni l’autre ne sont une

françaises, pour leurs enseignements et leurs encouragements. Que Lise, Line, Agathe et Karelle, dont le sourire et la promptitude nous ont toujours facilité les démarches administratives, trouvent ici l’expression de mes sincères remerciements. Un grand merci aussi à Alexie Tcheuyap, Ambroise Kom, André Ntonfo, Émile Tanawa et Pierre Gobin pour leur appui et leur incitation à toujours plus d’efforts. Comment pourrais-je oublier la présence et le soutien de mes amis et collègues des 2ème et 3ème