La Guerre Est Elle Un Mal Nécéssaire

C'est ce que je n'arrive pas à comprendre dans les guerres car c'est presque toujours pour des problèmes politiques comme au Liban récemment. Je suis sûr et certaine qu'il n'y a pas un seul homme politique à avoir été tuer ou blésser dans cette guerre alors que des milliers de personnes sont morts ou blésser et déloger. Ca me met dans une fureur impossible rien que d'y penser c'est trop dégueulasse pour tous ces gens qui n'ont rien demander à personne à part de vivre une vie tranquille et à côté

marqué un tournant dans les réflexions éthiques du XXe Siècle ? Lors de la seconde guerre mondiale les hommes ont utilisé une arme de destruction massive qui a changé le cours de l’histoire : la bombe nucléaire, une arme capable de détruire plusieurs centaines de milliers de vie humaine en une fois. Cette nouvelle puissance a transformé la relation des hommes entre eux, a bousculé les notions de bien et de mal. Aujourd’hui elle est utilisée comme arme de dissuasion mais son utilisation réelle au

Première Guerre Mondiale : 1914-1918. « Il est plus facile de faire la guerre que la paix ». Cette déclaration de Georges Clémenceau lors de son discours de Verdun du 14 Juillet 1919 signifierait que les modalités de conduite de la politique d'un État seraient facilitées par l'entrée en guerre de ce dernier. Ces pratiques nouvelles du pouvoir en temps de guerre, sont intimement liées aux modifications qu'a connu la démocratie durant la Première Guerre Mondiale. La Première Guerre Mondiale semble

Aurélien d'Aragon INTRODUCTION: Louis Aragon, né en 1897 à Paris et mort en 1984, est un poète et romancier français. Il est, en 1924, l’un des créateurs du mouvement surréaliste avec André Breton. Aragon fût profondément marqué par les deux guerres mondiales qu’il vécut et on perçoit dans ses écrits, comme pour la plupart des écrivains de l'époque, l’influence de cet événement. Aurélien, publié en 1944, raconte l’histoire d’un jeune bourgeois, Aurélien Leurtillois, qui est amoureux de Bérénice

Français / Philosophie 2010-2011 – « Le mal » Introduction générale Page |1 L e m a l : I n t ro d u c t i o n g é n é r a l e Pourquoi un programme portant sur le mal ? L’homme est toujours à la recherche de son bonheur. Il est donc logique de considérer qu’il privilégie tout ce qui lui semble avoir trait au Bien, dans son existence comme dans le monde : il vise l’harmonie pour pouvoir bien vivre. Toutefois ce postulat est battu en brèche aussitôt qu’il est formulé. En effet, le bien n’est

personnes ayant des positions adverses sur la guerre. Vous présenterez la situation de cet échange dans l’introduction. Chacun argumentera pour défendre son opinion et illustrer son point de vue par des citations ou des exemples précis. L’un des deux personnages aura abondamment recours à l’ironie. Les deux plaideurs seront assez nuancés pour ne pas sembler hermétique aux idées de l’interlocuteur. 19 juillet 1967. Convention d’historiens sur les guerres modernes. Y sont présent les deux plus grands

toutes les qualités nécessaires pour vivre dans l'harmonie et l'ordre universel. Pour Rousseau : la bonté ou "la Pitié"[10][10] le freine dans les situations où il pourrait abuser de ses forces. La bonté naturelle de l'homme est cet instinct qui modère nos passions égoïstes et permet la conservation de toute l'espèce. Rousseau écrit : "Avec des passions si peu actives, et un frein si salutaire, les hommes plutôt farouches que méchants, et plus attentifs à se garantir du mal qu'ils pouvaient

peuple, ou de le réduire en esclavage sous un pouvoir arbitraire, alors ils se mettent en état de guerre avec le peuple, qui par conséquent est absous et exempt de toute forme d’obéissance à leur égard et a droit d’user du commun recours que Dieu a destiné pour tous les hommes, contre la force et la violence. […] Certes, ces Messieurs peuvent bien estimer que cette thèse ne peut que provoquer des guerres civiles, ou détruire la paix dans le monde et que par conséquent elle ne doit être ni approuvée

découverte des tribus amérindiennes, traitées par ses contemporains de « barbares », ce qui le pousse à repenser les idées reçues sur la « barbarie » de ces tribus quand on les compare à l’homme européen de l’époque, pris à la même époque dans les guerres de religion. Dans cet extrait je vais essayer de m’intéresser en détails à l’utilisation que fait Montaigne d’exemples pour relativiser la barbarie des « cannibales » par rapport aux européens. Michel de Montaigne fait appel à trois exemples permettant

s’alignait sur les valeurs masculines’’ ce serait le triomphe de la guerre. Mais il y manquerait l’essentiel : l’amour, la vie, et la douceur, tout ce que peut donner une femme. Quand à la violence féminine, elle existe mais est moins fréquente que chez les hommes. Quand les petites filles jouent à la poupée, les garçons eux jouent à la guerre. Et certains de ces garçons, en devenant homme, vont trouver du plaisir à faire la vraie guerre. On nait homme ou femme et l’on devient ce que l’on est. La virilité