La Haine

d’une passion douloureuse. Tout d’abord, Hermione ressent passion mais aussi en colère. En effet, tout au long du texte, Hermione change plusieurs fois d’avis sur ses sentiments. Elle utilise une série d’exclamations comme «le cruel !» qui confirme la haine puis il y a un retournement exprimer par «mon lâche cœur s’intéresse pour lui» (vers 12), ou l’amour est donc encore présent. Puis à nouveau, elle exprime la fermeté de sa résolution «ne révoquons point l’arrêt de mon courroux : qu’il périsse !» (Vers

Plan pour « Phèdre » Sujet: Montrer diverses facettes des tourments de Phèdre, l’amoureuse déçue. Idée principale I: Le dépit amoureux de Phèdre Idée secondaire I: La haine et la peur d’Aricie, sa rivale de coeur Citation: «Ce tigre, que jamais je n’abordai sans crainte» Procédé: Métonymie Fonctionnement: Effet et explication: Précise le terme qu’il remplace. Explication supplémentaire: Le remplacement d’Aricie par l’expression «Ce tigre» démontre que Phèdre perçoit sa rivale comme

financier entre 2 familles ? Est-ce que vivre c’est être heureux que durant son enfance ? Est-ce que les femmes de nos jours sont enfermés et contraintes a leurs fonctions domestiques ? Est-ce que l’action de Thérèse sous le coup de a souffrance et la haine , nous ne l’aurions pas tous commis ? Tout d’abord , ma cliente dans sa relation avec son mari, qui dès son mariage était caractérisé d’étouffante. Mais son malheur ne faisait que commencé , dans une relation qu’elle ne peut pas supportait , la grossesse

et nous ne pouvons que soutenir Guts dans son implacable quête de vengeance. Celle-ci s’accomplit le long d’un chemin sanglant où sa force vitale se nourrit d’une haine sans bornes dirigée vers l’autre personnage important du manga : Griffith, le chef des mercenaires de la troupe du Faucon, personnage aussi fascinant qu’ambigu. La haine du guerrier noir est cependant éclairée par son amour pour Casca, jeune femme traumatisée dont il tente d’assurer la protection. Comme lui, elle faisait partie de

Emouvante car obligeant le lecteur à se remettre par moments en question, et à ne jamais oublier l'atrocité de la guerre dont nous fait part Brodeck, mais aussi l'atrocité dans toutes les guerres en général, et surtout l'atrocité véhiculée par la haine, et la peur des êtres humains entre eux. Phillipe Claudel signe là un véritable bijou de la littérature moderne, à travers  l'humilité de son personnage principal tenant aussi le rôle de narrateur. En outre, c'est un roman que je recommande à tous

à la haine raciale : ne peut-on pas penser que certaines opinions induisent, entraînent des actes ? Même s’il est très difficile de savoir quels sont les effets exacts d’un discours sur une foule de personnes, on peut admettre qu’il ne faut pas tolérer tous les discours qui incitent à la haine et à la violence. On est alors amené à distinguer l'échange d'idées entre personnes privées, échange nécessaire, et le discours public qui, lui, n'est pas tolérable s'il est incitation à la haine. * Au

l’arrivée du personnage qui donne son nom à la pièce, Phèdre. La scène 3 de l’acte I est la première scène dans laquelle apparaît Phèdre. Auparavant, ce personnage a été mentionné dans la scène d’exposition où Hippolyte et Théramène rappellent la haine qu’éprouve la belle-mère du jeune homme envers lui. Cette troisième scène propose un dialogue entre Phèdre et sa nourrice, Oenone, cette dernière pressant la jeune femme de lui dire la cause de son mal. Après de nombreuses implorations, Phèdre finit

Emilie à la vengeance est la haine folle qu’elle a pour Auguste, haine qui est exprimée tout au long du monologue « Impatients désirs d’une illustre vengeance, Dont la mort de mon père a formé la naissance ». Ce qui ralentit Emilie est l’amour encore plus grand qu’elle ressent pour Cinna « J’aime encore plus Cinna que je ne hais Auguste ». Son hésitation est alors manifestée par les nombreux allers-retours qu’Emilie fait entre les sentiments opposés d’amour et de haine. Deuxièmement, ses sentiments

personnage eponyme en question, aime à la folie un personnage "fort" qui se nomme Laurent.Mme Raquin veut que Thérèse épouse Camille contre son grès .Par conséquent, anvant le meurtre ,le roman est troublé par la frustration de Thérèse;mais cette haine va etre degagé par ce meurtre de Camille noyé.Thérèse est naive et n'sa peur de rien plutot "rebelle" en ses choix elle est dirigé par la tante qui ne la laisse pas faire ce qu'elle veut(comme par exemple "l'obligation" d'épouser Camille).L'ésprit

mère et ses deux enfants: catholique et protestant a deux personnages de la Bible: Esaü et Jacob. L'utilisation de référence biblique est très humaniste, car tout le monde connait la bible et la comprend. Contraste entre l'amour maternelle et la haine des jumeaux. - Il parle a la première personne « Je », il montre qu'il est personnellement touché. - Lorsqu'il dit « je veux » l.1, il montre qu'il est obligé d'en parler tellement l'affaire est grave. Il utilise le présent pour renforcer ceci