La Haine

racisme. Le racisme, c'est le vers qui ronge le fruit de l'intelligence, la rouille qui corrode et détruit la dignité de la personne. Le raciste, fait de peur et d'ignorance, traumatisé par le manque d'intelligence et d'estime de soi, et nourri par la haine de l'autre du fait d'un complexe d'infériorité profond et incoercible, est à la fois le danger et la victime : un danger pour les autres (l'enfer virtuel, ce n'est pas l'autre, c'est le racisme) et une victime de lui-même. Une victime qui devient le

par m’es-tu donné : «  M’es-tu donné pour venger mon honneur » M’es-tu donné pour perdre ma Chimène » C’est une anaphore : «  emploi répété d’un groupe de mots en début de phrase. Je relève encore une autre anaphore : «  j’attire en me vengeant sa haine et sa colère » « j’attire.. me vengeant pas «  Il y a une répétition au vers 49 «  d’avoir mal soutenu l’honneur de ma raison. Allons mon bras sauvons du moins l’honneur. On voit ici qu’il a fait un choix qu’il a préféré garder l’honneur plutôt que

attribuant des qualités qui ne sont pas le moins du monde les leurs. Il apparaît alors comme la puissance corruptrice de l'individu, des liens sociaux, etc., qui passent pour être essentiels. Il transforme la fidélité en infidélité, l'amour en haine, la haine en amour, la vertu en vice, le vice en vertu, le valet en maître, le maître en valet, la bêtise en intelligence, l'intelligence en bêtise." "L'argent est un cristal qui se forme spontanément dans les échanges par lesquels les divers produits du

les causes de la souffrance humaine peuvent être trouvées dans l’incapacité à voir correctement la réalité. Cette ignorance, et les illusions qu’elle entraîne, conduit l’avidité, au désir de posséder davantage que les autres, à l’attachement et à la haine pour des personnes ou des choses. La souffrance naît du désir ou de l’envie. Avidité : Désir immodéré de dévorer ou posséder quelque chose. Les 3 caractéristiques de l’existence : L’impersonnalité L’impermanence L’insatisfaction ou souffrance

Œuvre de jeunesse, on y trouve pourtant déjà toutes les thématiques des tragédies raciniennes qui veulent susciter la terreur et la pitié : des conflits insolubles et impitoyables, une vision tragique du monde, un amour qui se tourne aisément en haine et qui ne peut-être qu’un état d’asservissement ou de souffrance et des êtres pris dans leurs passions. Le monologue d’Hermione (qui fait ici l’objet de notre étude), est une des scènes finales de la pièce (Acte V, scène 1) où tout commence à se conclure

la subjectivité du narrateur. 3° La chute comme point culminant de la dénonciation du racisme La chute, qui reprend le procédé de "l'arroseur arrosé", permet de terminer en point culminant cette dénonciation du racisme : la haine des autres est équivalente à la haine de soi. C'est la tâche de la littérature, dont la médecine est ici l'image, de la dénoncer sans cesse.

son mari a fait, ne comprend pas leur attitude. Ni Adèle, la femme de Nathan, qui sent sa foi vaciller et qui en vient à envisager de quitter la communauté, ce qui ferait d’elle une bannie. Nathan a pardonné l’impardonnable pour ne pas laisser la haine envahir son cœur et le dévorer... Source : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187329.html Notre avis : Ce film parle d’une histoire horrible qui raconte comment certains parents ont réagit face au meurtre de leurs filles et au suicide

contre nous. Il était temps encor : que ne me quittiez-vous ? Mille raisons alors consolaient ma misère : Je pouvais de ma mort accuser votre père, Le peuple, le sénat, tout l’empire romain, Tout l’univers, plutôt qu’une si chère main. Leur haine, dès longtemps contre moi déclarée, M’avait à mon malheur dès longtemps préparée. Je n’aurais pas, Seigneur, reçu ce coup cruel Dans le temps que j’espère un bonheur immortel, Quand votre heureux amour peut tout ce qu’il désire, Lorsque Rome se

Je hait mon moi car c'est moi qui l'ai construit et que je sais qu'il n'est pas parfait, construire une telle sculpture, peinture, c'est comme oublier de dessiner un bras à un homme sur une peinture, ça fait tache et on éprouve de la pitié, de la haine ou du dégout face à cette mocheté.

pour le football quand même. On meurt en Palestine et en Irak et on va mourir encore pour un match de foot. Allez, changeons de sujet ! - Permettez-moi d’insister, comment justifiez-vous ces comportements ? Parfois, il y a de la haine dans les écrits... Il y a de la haine cachée même dans les attitudes. Il n’y a pas de nuances dans les écrits et dans leur façon de parler. Ils disent, écrivent et répètent : “L’Egypte va battre l’Algérie”, “L’Egypte va battre l’Algérie”, à l’infini ! Je refuse ces