La Haine

nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à tes yeux, et si égales devant toi ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi2 pour te célébrer supportent 3 ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche4 pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas

mais cette colère paraissait partagée. Je n’osai sortir tant les mots sortant de leur bouches paraissaient heurter violemment leur cœur respectif. Pour la première fois, ses yeux d’habitude remplis de profondeur et de malice reflétaient de la haine, une haine longue et douloureuse tant elle semblait forte. Je voulu rentrer à l’hôtel en sachant que je n’oserais jamais interrompre cette dispute.

différente. C’est un jugement négatif envers ceux qui ne ressemblent pas à soi-même, c’est-à-dire envers la différence. Le raciste se croit d’une race supérieure car pour lui la notion de race existe. Il se croit plus intelligent et éprouve de la haine envers l’étranger. 2 POURQUOI DEVIENT-ON RACISTE ? On peut devenir raciste par la peur de ce qui est différent et avoir le sentiment d’être menacé dans sa tranquillité avec l’arrivée d’un étranger. En effet le raciste peut penser que l’étranger

la violence sous ses différents aspects. Puis, dans une deuxième partie il conviendra de souligner la folie paranoïaque de l’homme. En premier lieu, nous pouvons commencer par voir que Phèdre, héroine principal de cet ouvrage, a une haine devenant de plus en plus importante dans la première partie de l’extrait, de la ligne 1253 à la ligne 1263. En effet, elle est jalouse de l’amour entre la belle Aricie et le beau Hyppolite. Pour commencer, nous pouvons relever le jeu des pronoms personnels

amour pour lui se brisa, Monsieur le juge, lorsque j’appris que Baptiste me trompait. Comprenez moi, Monsieur, mon mari voyait une autre femme, cette Germaine! Je ne pu imaginer qu’un jour il me ferait cela… De quelle manière peut on contrôler sa haine, sa rage face à une telle humiliation ? Moi, je n’ai pu supporter, comment a - t - il pu oser me trahir et me faire autant de mal? Alors, ma décision était prise, je ferais comme si je ne savais rien et j’attendrais la suite des évènements. Mais

déboussoler DG en l'embrassant. C'est l'élément déclencheur, DG passe d'un mouvement tumultueux à une exaltation → Les deux psg sont mains dans la main → Réconcilier Des Grieux passe de la colère au pardon → C. lexical de la peine : haine, désordre, achever, douloureusement, perfide Vocabulaire du chagrin amoureux : embarras, larmes, timide → DG passe de « Perfide Manon ! » à « Chère Manon! » → Un verbe de parole très fort : s'écrier afin d'insister sur la colère → C. lexical

cela, un mal de ventre dont le seul remède c'est toi; Les femmes seraient moins jalouses si les hommes étaient plus fidèles; Je ne suis pas jalouse tout simplement je n'aime pas partager, c'est différent; Par amour tu peux tout faire, mais par haine tu peux encore mieu faire; C'est avec les personnes qu'on aime qu'on se dispute le plus souvent; On a tous quelqu'un qui passera toujours avant les autres; Petit on avait tous un sale type...mais quesqu'on était heureux; Une femme sa se respecte;

le trouble du personnage. « Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? » Hermione délibère sur le sort qu’elle doit réserver à celui qu’elle aime et qui l’a trahie : l’expression de ses sentiments très forts comme le courroux, et la haine qui en découle sont aussi présents grâce aux exclamations comme « le cruel ! De quel œil il m’a congédiée » 3) Une délibération tragique : Hermione, seule en scène, s’interroge sur le comportement qu’elle doit adopter à l’égard de Pyrrhus : doit-elle

persuader de les marier ensemble. Face aux remords que leur inspirait leur acte, l'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre se transforma en haine profonde, qui les terrorisait chaque nuit, les laissant dans l'incapacité de dormir de se toucher, ni même de se parler. Le cadavre du pauvre Camille qui revenait les hanter un peu plus chaque jour, accentua leur haine. Ils ne vivaient plus que souffrances, et attendaient avec impatiente les moments où ils pouvaient se fuir. Mais malgré toutes les tentatives

considérez qu’en objet de leur haine, Et croyez avec nous qu’en tous ses trois combats Le bon destin de Rome a plus fait que son bras, Puisque ces mêmes dieux, auteurs de sa victoire, Ont permis qu’aussitôt il en souillât la gloire, Et qu’un si grand courage, après ce noble effort, Fût digne en même jour de triomphe et de mort. Sire, c’est ce qu’il faut que votre arrêt décide. En ce lieu Rome a vu le premier parricide ; La suite en est à craindre, et la haine des cieux : Sauvez-nous de sa