La Honte de la famille

p 52 2. La théorie du noyau central .................... p 52 3. L'objectivation et l'ancrage .................... p 54 4. La perception du handicap de l'enfant par les parents .................... p 55 VII. La famille du handicapé mental .................... p 57 1. La famille comme système .................... p 57 2. Le concept d'homéostasie familiale .................... p 57 3. Le difficile recadrage avec soi-même .................... p 59 4. La dissonance cognitive comme processus

Le mot « bobos » (ligne 30) appartient au niveau de langue familier. Synonymes : plaies superficielles ou blessures sans gravité. (1 point) • 9. Teura manque d'argent : « elle a moins de deux mille francs à dépenser par jour » pour « toute la famille à nourrir et à habiller » (lignes 32-33), or, la moindre « petite boîte de pansements coûte presque mille francs à la pharmacie du quartier » (lignes 31-32). (1 point) • 10. En fait, il ne s'agit pas ici d'un oubli dans le sens où Teura ne se souviendrait

……………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. SÉANCE 5 : LA FUITE – LA HONTE Chapitre 7. 1) Quel livre sert de référence à Aïcha (titre et auteur) ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. 2) Il est beaucoup question de honte entre Aïcha et sa mère. De quelles hontes s’agit-il exactement ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …

qui fait vivre la famille 4. Le travail c’est seulement loin de chez soi, à l’usine, au bureau. A la maison c’est seulement le loisir, pr compenser le travail 5. La mère est à la maison mais ce n’est pas un travail 6. Le travail est une chose que l’on n’est pas censé aimer 7. Les gens qui ne travaillent pas sont soit très riches soit très pauvres 8. Les pauvres qui veulent travaille sont paresseux et méprisables 9. Perdre son travail est la + gde honte car il faut demander

Introduction Bernard Schlink est né en Allemagne d’une famille protestante. Il étudie le droit avant de se tourner, à 53 ans, vers l’écriture. Le liseur, paru en 1996 est son premier roman. Il raconte l’histoire d’un amour passionnel entre un jeune homme de 15 ans, Michael Berg, & une femme de 35 ans, Hanna Schmitz. Dans ce roman nous allons évoquer le cas de l’analphabétisme dont souffre Hanna. La honte de vivre avec un tel secret, les conséquences de celui-ci & enfin la remise en questions

qui continue ses études littéraires et découvre un milieu plus intellectuel, différent de celui de ses parents. Elle se rapproche de sa mère qui la comprend mieux que son père qui souhaite que sa fille ait une vie meilleure que la sienne, mais qui a honte de sa fille face aux clients car elle fait des études de lettres et ne travaille pas. Elle devient élève-maîtresse à Rouen mais n’y reste que quelques mois pour aller à Londres. Elle poursuit ses études à Rouen, puis s’installera avec son mari dans

s’oppose à celui de Thérèse. En effet, Rambert préfère le service de la collectivité à son bonheur personnel. Il se sent concerné par les évènements qui ont lieu à Oran maintenant qu’il y a participé ; c’est pourquoi il affirme qu’il y a de la « honte à vouloir être heureux tout seul ». Rambert a donc conscience du choix de sa destinée vis-à-vis du regard de la société, à l’opposé de Thérèse. L’intervention de Rieux nous montre que c’est la société qui choisit l’homme, puisqu’il affirme ne pas savoir

son amour et juste, et jamais elle ne le remet en question → elle triomphe de sa rivale. La mort d'Hippolyte laisse une jeune fille brisée en en deuil, mais derrière ces aspecte de fragilité elle représente aussi une certaine fierté, celle de sa famille, Phèdre la jalouse et Thésée la voit comme une menace. Le personnage inspire la pitié, elle décrit ses souffrance et sa pénible situation. La fin de la pièce la laisse désespérée, et elle devient officiellement la fille de Thésée. Le personnage semble

fait de cacher une partie du corps honteuse. Dans la tradition chrétienne, le sentiment de pudeur est étroitement lié au Péché Originel où la honte de la nudité est un corrélat de la malédiction divine. Ainsi, la tradition religieuse moralisatrice sublime la pudeur en l'associant à la chasteté. En revanche, elle condamne l'impudeur relatif à la honte et l'impureté. En Orient, la pudeur se retrouve dans les rites des concubines en Chine, des Geishas au Japon et dans le port du voile dans les harems

est présenté à travers le champ lexical du regard : « yeux », « votre image », « je vois »… Ce sens est donc fondamental et au départ de cet amour, un amour qui, rappelons-le, est interdit d’un point de vue politique, car Aricie appartient à la famille rivale d’Hippolyte. En conséquent, il n’est pas surprenant que la lutte soit un thème développé dans la tirade. Plus encore, Racine fait de cette lutte un combat destiné à l’échec ; il est donc inutile de se battre, comme on le voit à travers les