La Honte de la famille

-Christian Boltanski est né en 1944, juste avant la fin de la guerre (1945), dans une famille juive. Sa famille, unie, a vécu l'isolement et l'antisémitisme, (son père est resté longtemps caché dans une fosse sous le parquet de leur maison). Ses parents très religieux, ont cherché à intégrer la religion chrétienne. C.Boltanski explique dans La vie possible de Christian Boltanski, qu’il a ressenti la honte d'être juif et la peur d'être réprouvé, la sensation en tout cas d'être différent, lorsqu’il

cela, Don Diègue se retrouve seul sur scène et se lamente sur le fait qu’il a perdu son honneur. Il rencontre donc Rodrigue en lui demandant de tuer le comte pour sauver l’honneur de la famille. Rodrigue se retrouve donc seul sur scène se plaint du choix qu’il a à faire et choisit enfin de sauver l’honneur de sa famille au détriment de son amour pour Chimène. Acte II : Après que le comte ait refusé de présenter des excuses à Don Diègue, Rodrigue l’appelle en duel. Le duel a donc lieu en dehors

se servir des femmes . La seule ressource qu'il possédait était le sacrifice de sa famille. Sans explication, il leur demanda une somme d'argent en leur écrivant une lettre. Cet argent lui servira ensuite pour être l'amant d'une des femmes nobles, donc pour s’intégrer. La connaissance du Père Goriot influence notre protagoniste, Le Père Goriot était invisible dans cette société et une honte pour ses filles nobles, Delphine et Anastasie. Rastignac ressent le malheur de ce Père

l’émigration de nombreux Berlinois fuyant le régime de la RDA(Republique Démocratique Allemande), les autorités Est-allemande ont construit un mur séparant l’Est et l’Ouest en aout 1961. De nombreuses familles berlinoises étaient alors séparées. Pour les allemands de l’Ouest, le mur de Berlin était le “mur de la honte”. Il coupait la rue, la transformant en impasse. Les graffs qui figurant sur le mur sont pour la plupart des revendications politiques et sociales. Ces revendications sont aussi un moyen de

et l’amour qu’il éprouve pour elle est constant, malgré tous les obstacles qui s’y opposent. Son héroïsme ressort de l’attitude qu’il garde dans le conflit moral. Il se trouve placé entre l’amour pour Chimène et le devoir de venger l’honneur de sa famille gravement compromise par le père de sa fiancée, à cause de l’outrage fait à Don Diègue. Dans une lutte terrible, qui se livre dans un coeur déchiré par la douleur, il étouffe, avec un grand héroïsme, son amour, parce que cette passion l’empêcherait

C’est depuis ce jour que les humains connaissent le travail, la souffrance et la mort. Cette sculpture envoûtante et à couper le souffle, elle représente deux personnages Adam et Ève chassés du paradis terrestre. Tous deux marchent couverts de honte, Adam baisse la tête, se cache le visage de ses mains et Ève lève la tête, dans un cri de désespoir, la bouche grande ouverte. Ève se cache ses parties intimes car elle à pris conscience quel était nue. Adam et Ève sont tous les deux pétrifiés

Rimbaud, avec lequel il mena une existence aventureuse. Emprisonné pour avoir blessé son ami et juillet 1873, il tente de retrouver la foi de son enfance, avant de sombrer dans l'alcool. Monsieur Prudhomme Il est grave : il est maire et père de famille. Son faux col engloutit son oreille. Ses yeux Dans un rêve sans fin flottent insoucieux, Et le printemps en fleur sur ses pantoufles brille. Que lui fait l’astre d’or, que lui fait la charmille Où l’oiseau chante à l’ombre

Il y a une grande maison isolée dans un village où une famille vit ; le père, la mère, deux filles, la grande-mère, la tante et deux femmes de mènage . Suzon, la fille ainée, qui travaille à Londres vient à la maison pour passer Noel avec sa fa,ille. Tous les femmes dans cette maison l’acceuillient chaleureuse,ent sauf son père Marcel qui dort dans sa chambre. La femme de mènage Louise rentre dans la chambre de Marcel pour lui apporter son petit déjeuner, mais elle ne peut pas car il est mort percé

pesante, les familles déménagent une à une, jusqu'à ce que le Chaâba ne soit plus qu'un amas de terre et de planches en bois sans vie, et que seuls Azouz et sa famille y demeurent. Le gone ne cesse de supplier ses parents de déménager dans la ville, dans un vrai appartement comme l'ont fait les autres, mais Bouzod ne cède pas. Leur vie est devenue triste et malheureuse. Quelques mois plus tard, il cède enfin et accepte l'offre d'un ami pour un appartement à Lyon. Toute la famille découvre alors

élu emprereur, impose Alexandre comme duc de Florence. Alexandre est officiellement fils de Laurent II, lui-même fils de Pierre II, cousin de Jules ; mais on murmure qu'il serait le propre fils de Clément VII et d'une servante maure. Les grandes familles républicaines, chassées du pouvoir, acceptent mal la domination impériale, que rend particulièrement visible l'occupation de la ville par les troupes allemandes. Lorenzo de Médicis, personnage taré, semble avoir frappé Alexandre pour une sordide