La Houppe Dentele

glieu d'haut-de-chausse, ils portont un garde-robe55 aussi large que d'ici à Pasque, en glieu de pourpoint, de petites brassières, qui ne leu venont pas usqu'au brichet56, et en glieu de rabats un grand mouchoir de cou à reziau57 aveuc quatre grosses houppes de linge qui leu pendont sur l'estomaque. Ils avont itou d'autres petits rabats au bout des bras, et de grands entonnois de passement58 aux jambes, et parmi tout ça tant de rubans tant de rubans, que c'est une vraie piquié. Ignia pas jusqu'aux souliers

nouvelles de parents qui habitent fort loin. Dentelle Vous rêvez de dentelle : chacun de vos désirs sera exaucé et vous aurez beaucoup d'amants (de maîtresses). Une jeune fille rêve qu'elle fait de la dentelle : son mari sera beau et riche. Vous faites de la dentelle : des bénéfices financiers. Vous achetez de la dentelle : un secret recouvre un danger. Vous achetez une robe de dentelle : votre esprit sera développé et alerte. Vous offrez de la dentelle : de la malchance dans le domaine des sentiments

son linceul voluptueux, ce vallon pas plus large qu’une tombe. Ô notre lit tout nu ! Une lampe éclatante, penchée sur lui, le dévêt encore. Nous n’y cherchons pas, au crépuscule, l’ombre savante, d’un gris d’araignée, que filtre un dais de dentelle, ni la rose lumière d’une veilleuse couleur de coquillage… Astre sans aube et sans déclin, notre lit ne cesse de flamboyer que pour s’enfoncer dans une nuit profonde et veloutée. Un halo de parfum le nimbe. Il embaume, rigide et blanc, comme

collègues de Pierre, et leurs épouses. » L’amiral Courtot de la Pause (oncle de Denise, arbitre du goût vestimentaire pour Paulette) en sera, « elle en riait d’avance. », de voir ces « pimbêches » qu’elle ne fréquente quasi jamais. « Paulette prit une houppe à poudre et la secoua en l’air. Cela fit un petit nuage. Où en «étais-je ? Ah, oui, l’Amiral… Enfin elle était de la meilleure humeur du monde. » Entrée d’un Pierre « blême, nerveux ». « Toute l’histoire de leur ménage lui remonta à la gorge, et

Gervaise davantage. Un samedi soir, pourtant, elle céda. Coupeau vint la chercher à huit heures et demie. Elle s’était habillée : une robe noire, avec un châle à palmes jaunes en mousseline de laine imprimée, et un bonnet blanc garni d’une petite dentelle. Depuis six semaines qu’elle travaillait, elle avait économisé les sept francs du châle et les deux francs cinquante du bonnet ; la robe était une vieille robe nettoyée et refaite. – Ils vous attendent, lui dit Coupeau, pendant qu’ils faisaient le

sous son linceul voluptueux, ce vallon pas plus large qu’une tombe. Ô notre lit tout nu ! Une lampe éclatante, penchée sur lui, le dévêt encore. Nous n’y cherchons pas, au crépuscule, l’ombre savante, d’un gris d’araignée, que filtre un dais de dentelle, ni la rose lumière d’une veilleuse couleur de coquillage… Astre sans aube et sans déclin, notre lit ne cesse de flamboyer que pour s’enfoncer dans une nuit profonde et veloutée. Un halo de parfum le nimbe. Il embaume, rigide et blanc, comme le

Gervaise davantage. Un samedi soir, pourtant, elle céda. Coupeau vint la chercher à huit heures et demie. Elle s’était habillée : une robe noire, avec un châle à palmes jaunes en mousseline de laine imprimée, et un bonnet blanc garni d’une petite dentelle. Depuis six semaines qu’elle travaillait, elle avait économisé les sept francs du châle et les deux francs cinquante du bonnet ; la robe était une vieille robe nettoyée et refaite. – Ils vous attendent, lui dit Coupeau, pendant qu’ils faisaient le

lorsque, à un troisième appel de la sonnerie, Zoé entra brusquement et les bouscula, comme des camarades à elle. – Dites donc, on sonne encore… Vous ne pouvez pas rester là. S’il vient beaucoup de monde, il me faut tout l’appartement… Allons, houp ! houp ! Madame Maloir voulait finir la partie ; mais Zoé ayant fait mine de sauter sur les cartes, elle se décida à enlever le jeu, sans rien déranger, pendant que Mme Lerat déménageait la bouteille de cognac, les verres et le sucre. Et toutes deux coururent

lorsque, à un troisième appel de la sonnerie, Zoé entra brusquement et les bouscula, comme des camarades à elle. – Dites donc, on sonne encore… Vous ne pouvez pas rester là. S’il vient beaucoup de monde, il me faut tout l’appartement… Allons, houp ! houp ! Madame Maloir voulait finir la partie ; mais Zoé ayant fait mine de sauter sur les cartes, elle se décida à enlever le jeu, sans rien déranger, pendant que Mme Lerat déménageait la bouteille de cognac, les verres et le sucre. Et toutes deux coururent

Gervaise davantage. Un samedi soir, pourtant, elle céda. Coupeau vint la chercher à huit heures et demie. Elle s'était habillée: une robe noire, avec un châle à palmes jaunes en mousseline de laine imprimée, et un bonnet blanc garni d'une petite dentelle. Depuis six semaines qu'elle travaillait, elle avait économisé les sept francs du châle et les deux francs cinquante du bonnet; la robe était une vieille robe nettoyée et refaite. — Ils vous attendent, lui dit Coupeau, pendant qu'ils faisaient le