La Jeune Veuve Et Les Deux Consolés

entretenait une relation avec les jansénistes de Port-Royal. Orphelin de père et de mère à l’âge de trois ans, il passa sous la tutelle de son aïeul paternel du nom de Jean Racine aussi. Après la disparition de ce dernier, l’enfant est confié à sa veuve. Il étudia d’abord à Beauvais, puis à Paris au collège d’Harcourt, puis enfin à Port-Royal ou il se retira pour mener une vie dévouée à Dieu. L’écrivain Lancelot se chargea de lui enseigner le grec et le latin et petit à petit, il prit gout

très excités ; et ces fils des champs, plus proches des bêtes, éprouvaient ce besoin cruel qui pousse les poules d'une basse-cour à achever l'une d'entre elles aussitôt qu'elle 35 est blessée. Simon avisa tout à coup un petit voisin, le fils d'une veuve, qu'il avait toujours vu, comme lui- même, tout seul avec sa mère. - Et toi non plus, dit-il, tu n'as pas de papa. - Si, répondit l'autre, j'en ai un. - Où est-il ? riposta Simon. 40 - Il est mort, déclara l'enfant avec une

avec Dionys Mascolo, dont elle aura un enfant dans cette période. C'est donc entre l'éducation de Jean, son fils en bas âge, qu'elle écrit cette fresque inspirée de la situation qu'elle a connu jeune. |   | Le décors L'action se situe en Indochine française, elle met en place une mère et ses deux enfants Joseph et Suzanne vivant dans une plantation peu rentable et tentant de survivre de trafic divers. Ce roman raconte la difficulté de la vie de ce que l'on a appelé "les petits blancs"

salique, on les admet à remplir la plus haute et la plus difficile des fonctions, on les autorise à régner. Si elles avaient pour la plupart quelque chance sérieuse de devenir reines, il est probable qu’elles prendraient leur mal en patience ; on se console de bien des misères par l’espérance de gagner un jour le gros lot. Malheureusement le nombre de celles qui peuvent se flatter de régner un jour est fort restreint, et encore est-ce un métier qui se gâte, qui devient d’année en année plus hasardeux

sû’ al-khâtima au moment de la mort, le cœur est rempli de l’amour des choses de ce monde ou d’une passion qui le domine et le préoccupe totalement, de sorte que son désir est tourné vers le monde. que la mort arrive alors que tu es en prière, ou en jeûne, ou faisant quelque bonne action. Qu’elle survienne alors que ta langue, ton cœur, ton corps évoquent (dhikr) Dieu, qu’ils soient dans le souvenir du prophète Muhammad (a) ; que tu vives dans le licite, que ton cœur soit vivant par le rappel, par les

comme la déesse-même de la Jeunesse. M. de Faxelange avait servi, mais s'était retiré jeune, et ne s'occupait depuis lors que des soins de son ménage et de l'éducation de sa fille. C'était un home fort doux, peu de génie, et d'un excellent caractère ; sa femme, à peu près de son âge, c'est à dire quarante-cinq à quarante ans, avait un peu plus de finesse dans l'esprit, mais à tout prendre, il y avait entre ces deux époux plus de candeur et de bonne foi, que d'astuce et de méfiance.     Mlle de Faxelange

1727. Dans cette scène 7 de l’acte I, les deux personnages principaux, à savoir la Marquise et le Chevalier se rencontrent pour la première fois. C’est également la première apparition du Chevalier, tant attendue, qui entre sur scène sur le même ton de lamentation que la Marquise dans la scène d’exposition (I, 1). Tous deux ont perdu l’être aimé, l’une en devenant veuve, l’autre parce que sa fiancée est entrée au couvent, aussi partagent-ils tous deux la même douleur et ne croient plus guère en

d'exalter la vie, d'affirmer que la vie est bonne, que le travail, « sainte loi du monde », est joie et beauté. C'est pourquoi dans un bel effet de rhétorique, elle oppose à la gravure ancienne la chose vue, le crescendo des trois attelages de deux, quatre, huit bœufs, le dernier — « magnifique » — progressant escorté, non plus par le hideux squelette, mais par un enfant beau comme un ange. Or, G. Sand constate avec une inquiétude qui n'est pas feinte que les romanciers de son temps, au lieu

prophétesse, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser (une des 12 tribus d'Israël) . Elle était très âgée . Dans sa jeunesse, elle avait été mariée durant sept années, puis elle était devenue veuve et avait vécu jusqu’à 84 ans sans quitter le Temple, attendant la venue du Christ . Elle servait Dieu dans le jeûne et la prière . Elle louait Dieu et parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem . Comme Siméon, elle avait reçu la révélation de la venue de Jésus, Le Sauveur

quand le sifflet siffle le réveil il y a tout un détroit d'éternité à traverser entre la nuit et le jour. Quand le sifflet siffle le réveil c'est un cau- chemar qui se fige, un autre cauchemar qui commence il n'y a qu'un moment de lucidité entre les deux, celui où nous coutons les battements de notre coeur en écoutant s'il a la force de battre longtemps encore longtemps c'est-à-dire des jours parce que notre coeur ne peut compter en semaines ni en mois, nous comptons en jours et chaque jour compte