La Jeune Veuve Thèse

Phèdre, je pourrais dire que je lui dois ce que j'ai peut-être mis de plus raisonnable sur le théâtre.»   Il s'inspira en effet de ’’Hippolyte porte-couronne’’ (428 av. J.-C.), tragédie qui, comme son titre I'indique, est centrée sur Hippolyte. Ce jeune homme d'élite à l'éducation très soignée est un fervent fidèle d'Artémis, la vierge déesse de la chasse. Pour lui, la chasteté est la vertu par excellence ; il a le plus grand mépris pour Aphrodite et pour les femmes, et il I'exprime au besoin agressivement

dissertation· Savoir trouver des thèses qui répondent efficacement au sujet· Savoir organisé une réponseLa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges est-elle une critique de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen ?Thèse 1 : Un pastiche pour illustrer son adhésion à l’hypotexte· Une reprise presque à l’identique· Les droits de l’homme demeurent identiques· Les droits du citoyen demeurent identiquesThèse 2 : Un texte polémique pour remettre en question· Ajout qui révèle

Ce passage nous a donc montré la soumission de l’individu à la passion, c’est-à-dire la soumission de DG à sa passion pour M. qui devient maîtresse de la scène. La morale est mise à mal : un jeune homme de bonne famille devient un homme-objet, et un prince italien est joué grâce à l’ingéniosité d’une jeune femme un peu vulgaire, libertine et imprévisible. On retrouve un peu ceci dans la Princesse de Clèves de Madame de Lafayette. En effet, le Prince de Clèves, fou amoureux de sa femme, est prêt

carabine Gallimard 2 « Et personne ne sauva personne par l’épée. Ça nous changeait, le chien et moi. » Robert Soulat (L’Avant-Printemps) « Vieillir, hélas ! disait mon père, mais c’est le seul moyen que j’aie trouvé de ne pas mourir jeune. » 3 À la Sécu Pour Igor, pour André Vers, Nicole Schneegans, Alain Léger et Jean-François Carrez-Corral. Et chaque mot en souvenir de Jean et de Germaine 4 I LA VILLE, UNE NUIT La ville est l’aliment préféré des chiens.

distinguer le classicisme du romantisme. S'agissant de ce dernier, le discours ne serait que pure expression de l'auteur. Cette thèse peut s'expliquer par l'histoire littéraire. L'auteur est longtemps resté absent de la réflexion sur l'œuvre, ceci jusqu'au romantisme où il s'est imposé. L'œuvre est devenue fruit d'une subjectivité. Anne Ubersfeld met en évidence les limites de cette thèse appliquée au théâtre en montrant son caractère réducteur : « on sait bien que le romantisme c'est individualiste et subjectif

la domination masculine.Le concept de genre est utile car il implique a penser en terme de contrainte sociale. Comment ces contraintes peuvent être levées ? II-Naissance du genre historique et évolution des thématiques-Ce domaine d’études est très jeune (1970). Les 1er travaux en histoire des femmes visaient a produire des sommes de connaissances= synthèse (ex : Pierre Grimal, « Histoire mondiale de la femme » (1965-1967) -MP et Georges Duby, « Histoire des femmes en Occident » (1991).Met en valeur

lyrisme d’une douleur qui enlève jusqu’à la parole aux héros, nous touchent toujours. C’est pourquoi l’amour semble le thème principal. Le texte suivant est un extrait de la tragédie de Racine « Phèdre ». Le roi Thésée étant absent, Phèdre finit par avouer son amour à Hippolyte, fils de Thésée et d'une amante amazone. Le personnage de Phèdre est l’un des plus remarquables des tragédies de Racine. Elle est à la fois coupable du malheur des autres et victime de ses pulsions. L’Šuvre de Racine s’inscrit

Pont, en Colchide, pour conquérir la Toison d'or, ils se heurtèrent à l'hostilité du roi Aiétès, gardien de ce précieux trésor. Cependant ils reçurent l'appui de Médée, la fille du roi, qui s'était éprise de Jason. Experte en l'art de la magie, la jeune femme donna à son amant un onguent dont il devait s'enduire le corps pour se protéger des flammes du dragon qui veillait sur la Toison d'or. Elle lui fit aussi présent d'une pierre, qu'il jeta au milieu des hommes armés nés des dents du dragon : aussitôt

succombé aux charmes de la jeune veuve, et voudrait qu'elle ne se consacre qu'à lui, qu'elle renonce à cette mondanité qu'il hait tant. Évidemment, elle n'en a aucunement l'intention : c'est tout l'enjeu de la pièce, qui orchestre le spectacle des bassesses, des manoeuvres, mais surtout des faiblesses des deux protagonistes. Difficile alors de dire qui a tort et qui a raison... L’école des femmes, 1662, comédie : Arnolphe, un homme assez vieux a placer une jeune femme, Agnès dans un couvent

cinq actes et en vers. A ce moment de la pièce, Thésée est toujours déclaré mort (on saura par la suite qu’il est vivant) et la question du prochain roi commence à se poser. Phèdre commence par recommander son fils à Hippolyte, mais, entraînée malgré elle par sa passion, elle en arrive, elle aussi à déclarer son amour. Il la repousse avec horreur. Elle demande à mourir de la main d'Hippolyte mais cette demande n'est qu'un prétexte pour éprouver le jeune prince. Le refus implicite d' Hippolyte peut lui