La Jeunesse Et La Vieillesse

comparée à une jeune fille galante: "robe de pourpre" (v3); "son teint" (v6). Puis dans la deuxième strophe, elle perd de sa beauté: "ses beautés laissé choir" (v9). Dans la troisième strophe, la jeune fille est tout comme la rose, menacée par la vieillesse. Cette comparaison sert à faire le lien entre la rose et la femme en général et surtout à celle à qui il s'adresse. Les temps verbaux suivent l'idée du poète: l'impératif est utilisé pour invitée la jeune fille: "cueillez"; le présent de l'indicatif

regard critique sur la société. On voit son obsession de la vieillesse et du temps qui passe dans « le désespoir de la vieille ». Dans ce poème Charles Baudelaire compare un jeune enfant à une vieille dame. Nous allons ainsi nous demander quels sont leurs points communs, leurs différences et quel message l’auteur veut faire passer dans son texte. Ce poème permet de refléter les points communs entre la jeunesse et la vieillesse. En effet il y a plusieurs ressemblances physiques. Tous deux

dans ce texte beaucoup d'insultes et de manque de respect «  tu es folle », « imbécile », « tu es laide ». Mais elle aussi insulte Créon, elle ne respecte pas son age, son rang, et elle utilise l'ironie et la moquerie « 3 », elle se moque de sa vieillesse physique sans lui reconnaître sa sagesse ni son pouvoir ( air d'impuissance). Cette scène met en évidence l'impertinance et la révolte d'Antigone. Face à Créon qui essaye de ce contenir laiq qui va s'énerver vite. Ils ont tous les deux une forte

idéalisée (Locus Amoenus) et l'on retrouve ainsi tous les topoi (clichés) de la poésie amoureuse. Cependant, dans la dernière strophe, Ronsard s'adresse à Cassandre et lui dit « cueillez votre jeunesse » tant que sa beauté n'est pas ternie par la vieillesse. Une telle chute était annoncée par les mentions du « soir » (v.12) et de « vesprée » (v.4), exprimant l'extinction, la fin. La nature est qualifiée de « marâtre » (v.10), oxymore (deux idées contraires rassemblées), ce

s’adressent. Dans les deux textes, le poète s’adresse à une jeune fille : Mignonne chez RONSARD, fillette ou petite chez QUENEAU. Mignonne est interpellée dans chaque strophe, fillette fillette constitue une sorte de refrain. Ces dénominations soulignent la jeunesse de la destinataire. RONSARD utilise un terme galant évoquant un être gracieux ; en revanche, QUENEAU emploie un terme plus populaire et un peu condescendant. 1.2. Texte 1 - Étude de l’organisation du poème et de l’analogie dominante (2 pts) Cette

chante les vertus du bonheur et de la jeunesse, valeurs épicuriennes dominantes de cette époque marquée par la renaissance des arts et de la philosophie. À l'image de ses contemporains, Ronsard s'est inspiré de la mentalité carpe diem de son époque pour écrire À Cassandre. Dans les lignes qui suivent, il sera d'abord question de la beauté de Cassandre, célébrée par le poète dans son oeuvre, puis, nous verrons la menace du temps, qui est liée à la vieillesse. D'abord, on peut remarquer que l'étudiant

est-elle seulement parodique ? Dans un premier temps, nous étudierons la mise en évidence du caractère éphémère de la jeunesse et dans un deuxième temps, la réécriture parodique. Dans ce poème, Queneau met en garde une jeune femme contre le temps qui passe, il la persuade afin qu’elle puisse profiter de sa jeunesse. Il prévient la jeune femme contre les illusions qu’elle a sur la jeunesse « Si tu crois petite ». La phrase « Si tu t’imagines / xa va xa va xa / va durer toujours », qui ouvre le poème,

singulier, est bien le poète : « ainsi j'allais... ». De nombreux éléments fonctionnent comme des motifs de comparaison, qui justifient la mise en parallèle ainsi établie. b. Analogies - Printemps / jeunesse du poète L'expression « avril de mon âge » (vers 13), métaphore évoquant la jeunesse du poète, peut être mise en relation avec « le printemps » (vers 1) qui voit sortir du bois le chevreuil. - Assurance et inconscience communes au poète et au chevreuil L'expression « sans espoir de dommage »

valeur de la jeunesse et plus particulièrement celle de la jeune fille. Pour mettre en valeur la jeunesse, le poète utilise une allégorie : la jeunesse prend l’apparence d’une jeune fille « vive et preste ». L’utilisation de ces deux adjectifs évoque un mouvement à la fois rapide et léger qui caractérise la jeunesse, ce mouvement de légèreté est accentué par la comparaison à un oiseau. Ensuite, le poète utilise la métonymie « fleur qui brille » qui évoque la beauté de la jeunesse vue au travers

au soir"  Expression du temps: □ "perdu", "cheoir", "ne dure/ Que", "ternir"  Métaphore de la vieillesse / mort: □ "vieillesse"  + violence du rapprochement à la rime: "jeunesse" / "vieillesse"  Expression explicite: □ Le temps détruit les choses et les êtres, il détruit la beauté.  Méditation grave sur la fuite du temps et la mort: a. Simplification: "jeunesse" / "vieillesse" (à la rime): vision binaire de la réalité. □ Généralisation et simplification de l'expérience: 