La Justice Est Elle Toujours Juste

: Loi du Talion : première limitation de la vengeance) et non comme aujourd’hui sous le règne de la justice étatique. Dans un système juridique primitif il revenait a chacun d’assurer le respect de son droit : c’est le système de la justice privée archaïque. Chacun se faisait justice à soi-même alors qu’aujourd’hui on vit conformément à la règle : l’adage selon lequel nul ne peut se faire justice à soi-même. L’état assure la sanction de la règle : sanction relève du monopole de l’Etat.

Le droit

et valable de la justice. », affirme Léo Strauss (Droit naturel et histoire, 1953). Vous direz dans quelle mesure on peut souscrire à ce jugement en vous aidant des œuvres au programme. 1) MISE EN PLACE DU SUJET : - Léo Strauss installe ici un débat classique entre le droit naturel et le droit positif. L'un et l'autre ont encore aujourd'hui leurs partisans et leurs détracteurs, tant nous sommes avec cette question au cœur d'une problématique essentielle de la justice dans ses rapports

le perfectionnement personnel. Mais l’idée de perfection n’est pas uniforme. Pour certains ce sera un monde uni quand pour d’autres ce sera un monde peuplé d’une seule catégorie d’individus. De ce fait alors qu’une loi pourra être considérée comme juste (soit « légale et légitime » comme l‘exprime Rousseau), l’autre la considérera injuste et contraire à son idéal. Dès lors que faire lorsque l’on se retrouve dans cette dernière situation? Puisqu’il y a loi il y a société qui l‘édicte. Or la société

plusieurs niveaux d’activité des individus qui composent la société . La fonction alors préoccupe de la mesure d’un rapport de droit (1) mais elle a aussi pour objectif de poser un rapport d’équivalence (2) 1) La mesure du rapport de droit De la juste mesure . La régle de droit par nature renvoie a un rapport de droit . A son existance . On comprend aisément que le droit a naturellement pour fonction premiére de mesure ces rapports et de se prononcer sur leur réalité .Naturellement , ce ne sont

Dissertation n°1 : L'huissier de justice. La justice est le pouvoir qui fait en sorte que le bon ordre social soit respecté selon les critères posées par les normes (Constition, lois, réglements...). Si une personne ne respecte pas les règles posées par la justice, elle pourra se voir être poursuivie pour rendre des comptes, telle que les lois le prévoient. C'est pourquoi, comme tout pouvoir qui se respecte, la justice doit être gérée par une multitude de personnes veillant à son bon fonctionnement

mère pour rétablir une sorte de justice. Les Euménides présentent alors la façon de briser ce cycle de la vengeance : la pièce aborde les conséquences du matricide d'Oreste, ce dernier étant à la fois tourmenté par les Erinyes qui veulent le condamner de manière atroce et défendu par Apollon qui veut l'acquitter. Seul un procès parvient à terminer l'histoire. Problématique Plan I/ La justice comme loi du talion Eschyle représente une première forme de justice, ancienne. Celle-ci s'incarne en

Platon Il faut commencer ici par caractériser le besoin de justice : d'où vient-il ? Qui le ressent et comment se manifeste-t-il ? La justice désigne certes une vertu (elle caractérise alors une manière d'agir), mais elle est avant tout une valeur, un critère de jugement : on dit d'une situation ou d'une action qu'elle est injuste si elle nuit ou si elle trahit le principe de l'égalité. Comme nous pouvons le remarquer, le besoin de justice est nécessairement un manque : ce sont donc ceux qui subissent

inégalité est justifiée. Nous considérerons dont une inégalité comme juste si elle est justifiée, c’est-à-dire si elle a de bonnes raisons d’exister. Mais qu’est-ce qu’une bonne raison ? Comment faire la différence entre une raison acceptable, recevable, et une raison irrecevable ? Le problème qui se pose à nous est le suivant : qu’est-ce qui peut justifier de ne pas donner la même chose à tout le monde et qui peut en décider ? La justice semble, par défaut, consister à ne pas faire de différence, c’est-à-dire

1. Pour ou contre. Je me penche sur la question. Comment pouvoir accepter qu'un homme tue quelqu'un et qu'il a toujours des droits après. La personne qui est décédée n'en a plus. Répondre par l'affirmation que chacun a le droit de vivre se confond. Si on veut Vivre on doit comprendre qu'il ne doit pas traîner des tueurs dans nos rues Non ? Je crois que la majorité des gens qui sont contre la peine de mort ont sans doute quelque chose à se reprocher ... !!! À mon avis je pense que la peine de mort

Editions Hatier Corrigé (plan détaillé et conclusion rédigée) 1. La relativité des règles de droit contredit l'idée de justice universelle A. L'impossible universalité Les règles de droit sont relatives au temps et au lieu. Cela signifie qu'elles ne s'appliquent effectivement que dans un temps et dans un lieu déterminé : leur validité ne s'étend pas au-delà. Dans les faits, il semble décidément en être ainsi : les codes de droit changent au cours de l'histoire. Ils n'ont pas le même contenu d'un