La Justice Est Elle Toujours Juste

Est-il toujours obligatoire d’obéir à l’Etat · Quelle est le domaine traité dans la question ? obéissance envers l’état · Qu’est-ce qu’un état ? un état est une institution organisée politiquement de pouvoir organisant des lois de/sur la société · Pourquoi semble-t-il toujours obligatoire d’obéir à l’état  ? car on pourrait voir l’Etat comme supérieur

apparaît alors que la réclamation qui demande justice se fonde sur un sentiment dont la légitimité semble incontestable. Néanmoins, cette affirmation pose problème. L’idée d’une telle justice peut sembler séduisante, mais risque de n’être que le masque de notre ignorance ou de notre désir de vengeance. Le jugement subjectif semble être une base bien fragile, mais certaines colères sont justifiées. Nous devons donc réfléchir au fondement de la justice, cette idée complexe qui associe les dimensions

états de la réalité sont positifs (biens) alors que d'autres sont négatifs (atteintes, maladies, lésions). Ces concepts décrivant et jugeant des situations où se trouvent des êtres humains n'ont de sens que par rapport à ce qui est positif. On passe toujours par une appréciation de la valeur de ces biens. ex. Une voiture qui fonctionne est un bien. A contrario, une voiture avec de la tôle froissée a subi une lésion. ex2. Une personne sans fracture est un bien. A contrario, une fracture est une lésion

La justice supprime-t-elle les inégalités ? La justice est une juste reconnaissance du mérité et des droits de chacun mais a aussi un caractère de ce qui est conforme au droit positif donc légal ou au droit naturel donc légitime. Mais comment se forment réellement les inégalités et quand l'institution de justice intervient elle la justice de droit ou de faits. L’état représente la forme institutionnaliser du pouvoir politique, c'est à partir du XVIe siècle, le terme d'état est introduit par

historique au Droit Plan : Leçon introductive : Les racines du droit en Europe : une question grecque. Section I. - La source littéraire du droit en Grèce § 1er. - L’apport de la poésie : Homère et Hésiode A – Thémis ou le droit B – Dikê ou la justice § 2. - L’apport de la tragédie : Eschyle et Sophocle A – La Polis comme accès à la Dikê B – La distinction entre Dikê et Nomos Section II. - La source politique du droit en Grèce § 1er. - Les institutions politiques athéniennes. A – Les quatre

Qu’est-ce qu’une société juste? C’est la question principale à laquelle John Rawls, mort dimanche 24 novembre à son domicile de Lexington, dans le Massachusetts, a travaillé pendant plus d’un demi-siècle. L’intérêt que Rawls a porté, tout au long de sa vie, à cette question, est ancré très tôt dans ses expériences personnelles (celle du jeune garçon de Baltimore tout d’abord, puis plus tard celle du soldat de la Seconde Guerre mondiale dans le Pacifique, en Nouvelle-Guinée, aux Philippines, et enfin

Mathilde GENET SCIENCE DE L'EDUCATION L'école des chances. Qu'est ce qu'une école juste? François DUBET La république des idées Seuil 2004 ------------------------------------------------- Introduction : Place du sujet en psycho de l'éducation et ou des apprentissages L'ouvrage de François DUBET L'école des chances n'est pas à proprement parlé un ouvrage de psychologie de l'éducation, néanmoins l'intérêt de l'étude de ce que nous nommerons "un des objets incontournables du monde

(Socrate, Céphale, Thrasymaque et Polémarque) vont se profiler tous les thèmes de La République auxquels Platon va répondre au livre X. Thrasymaque expose la thèse des sophistes sur la justice. Socrate parvient à montrer qu’il faut reprendre la question de la justice pour la définir. Qu’est ce que la justice ? (Livre II à IV) Les deux interlocuteurs de Socrate seront Glaucon et Adimante et ce jusqu’à la fin du dialogue Reprise de la thèse de Thrasymaque par Glaucon et Adimante. La thèse

inscrit dans les consciences les valeurs relatives au bien et au mal. Le droit qui édicte les règles distinguant ce qui est permis de ce qui est interdit et sanctionne. La politique qui organise et dirige la collectivité. Ces trois domaines n'ont pas toujours été nettement identifiés. Dans les sociétés modernes les choses sont devenues plus claires dans la mesure où chacun d'eux à prit son autonomie si bien qu'aujourd'hui on distingue aisément une mauvaise décision politique d'une faute morale. Un dirigeant

(=ce qui est) dictant ce qui doit-être. La question se modalise ainsi en deux types de questions : a) « Que sont les lois ici et maintenant? » = domaine du juriste, réponse empirique (empeiria=expérience) b) « Quels sont les critères/juger de la justice ou de l’injustice des lois instituées? » = question philosophique. a) Droit positif : m’informe de la légalité et illégalité des actes. b) Second sens : m’informe de la légitimité ou de l’illégitimité de la loi. Or la seconde question est redoutable