La Justice Morale Se Confond Elle Avec La Justice Sociale

récurrents, suggérant parfois l’idée de dé-régulation sociale voire d’anomie généralisée. Pourtant, l’une des particularités de la région tient à ses systèmes traditionnels de gestion des conflits. Liés au fonctionnement des anciennes monarchies qui couvraient la zone avant la colonisation, ces systèmes étaient tout aussi divers que spécifiques. Ils dérogeaient, à bien des égards, aux généralisations et stéréotypes rattachés à « la » manière de penser la justice en Afrique ante-coloniale1. Aujourd’hui, la

droit La règle de droit : règle de conduite dans les rapports sociaux, générale, abstraite et obligatoire, dont la sanction est assurée par l’autorité publique. Comme les mœurs, la religion ou la morale, le droit est une règle de conduite en société. Pourtant ces domaines ne coïncident pas. Droit est influencé par la morale : rapport éthique et droit, mais certaines règles n’ont rien de moral ou d’immoral (code de la route). Règles morales pas encadrées par la loi (l’aide à autrui). Paragraphe 1 :

il faut faire le plus de cas, ce n’est pas de vivre, mais de vivre bien ». Socrate. Parce qu’il gênait les sophistes, il a été condamné à mort. Plus tard, un de ses élèves a voulu laisser une trace de lui et de sa morale : il s’agit de Platon. Alors, il reprend sa philosophie morale, mais la prolonge : en constatant que dans ce monde, tout est en perpétuel changement. Plus tard, Héraclite dira : « Tout coule, on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve ». En effet, ce n’est plus la même

quatre milliards d'hommes auraient été tués dans les guerres qui ont eu lieu depuis le commencement de l'histoire. La guerre est une calamité mais cette calamité a pu paraître à maintes reprises nécessaire et justifiée. La question posée est un dilemme moral et politique. La guerre est affreuse - elle tue et elle détruit. Elle paraît donc condamnable absolument - au nom de la dignité humaine et du respect de la vie. Mais la guerre peut être aussi nécessaire et elle peut être justifiée au nom d'un idéal

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démocratique. Il présente 3 traits essentiels:  ■  Le rôle de l’état doit se limiter à garantir des libertés individuelles (  expression, travail, …) et à faire ce que les individus ne peuvent pas  faire eux­même (police, …)  ■ La diversité et la mobilité sociales, résultat de libertés individuelles sont  nécessaire  ■ L’égalité devant la loi doit être respectée. Le peuple par ses  représentants (les députés) étant souverain.    ➢ Libéralisme économique​ : Son principal inspirateur est l’écossais Adam Smith 

administratives, économiques, etc , qui organisent une société sur un territoire donné en fonction d’une idée du bien commun. (Communauté juridique) cela suppose : 1- un pouvoir qui dure dans le temps, une permanence de l’institution et du pouvoir qui ne se confond pas avec la personne du chef ou du représentant. Une formule illustrait autrefois cette continuité sous l’ancien régime : « Le roi est mort, vive le roi ! ». 2- une structure commune à tous : une chose publique (res

un homme montre qu’il la laisse disponible pour d’autres. Et inversement : la sœur de l’autre devient disponible pour lui. On peut alors dire qu’une société repose sur le principe de l’échange des femmes. Or la paix suppose qu’un véritable état social soit institué. Et la guerre est la négation même de la société, puisqu’il y a refus de vivre sous des règles communes. L’état de guerre originel est selon Hobbes, l’état de nature, dans lequel aucun échange n’est justement possible. 3. Les échanges

appliquer. Chez les praticiens, chacun à sa propre définition du droit. Chez les théoriciens, aucun n'a la même. La revue « Droits » à demandé à des universitaires « qu'est ce que le droit ? » et les réponses étaient toutes différentes. Tendances : justices, contraintes, institutions (permanent dans la société) Le droit est définit différemment selon les cultures (influence droit anglo-saxon) et selon l'histoire (évolution) A l'Antiquité « le droit est l'art du bon et du juste » (Celsé, 76-138), et

L’essentiel de l’introduction générale au Droit, éd. Gualino, 2013. + FRYDMAN, Benoit & HAARSCHER, Guy, Philosophie du droit, Paris, Dalloz, 2010. + ISSAOUI, Fakhri, « Amartya Sen : relecture de l’Etat de la justice » dans Africansociologicalreview15/1 (2011). + KYMLICKA, Willy, Les théories de la justice. Une introduction, Paris, La Découverte, 2003. + RIGAUX, François, « Les fondements philosophiques des droits de l’homme » dans Revue trimestrielle des droits de l’homme  70 (2007). + SUPIOT, Alain, Homo