La Laideur Peut Elle Etre Un

Kant. Dans les années 1910, les œuvres d’art devaient être une pure imitation reproductive de la nature, y compris dans ses dimensions. Cependant dans les années vingt, sa définition se développa, c'est-à-dire, que toute production devait être “originale“, être créée en maximum deux exemplaires, être façonnée par un artiste professionnel. Par définition, l’œuvre d’art a toujours été considérée comme contingente, en outre, elle ne doit pas être considérée comme une chose nécessaire, -définition que

consulte le pédiatre parce qu’elle est végétative. Elle présente des caractéristiques de l’autisme, de l’anorexie. Ses parents ne l’entourent pas de soins médicaux, ils acceptent son anormalité. . Amélie se sent dépourvue d’humanité, donc elle ne peut tisser aucun lien. Elle fixe le plafond, elle ne recherche pas l’attention, elle a des troubles du sommeil intenses. Elle a toujours une expression de stupeur grave. . Elle pense qu’elle est un dieu tout-puissant. Plus tard, le fait que sa gouvernante

période de l'oeuvre propice à l'évocation de la thématique du monstre. Pour étudier la monstruosité dans Notre Dame de Paris, nous nous sommes posé plusieurs questions : Quels types de monstres y a t-il dans Notre-Dame de Paris ? Dans quels contextes peut-on les replacer, celui de l'oeuvre ou celui de l'histoire ? Quel est le véritable monstre dans ce roman ? Comment Hugo se sert-il de ces monstres ? Etc. Pbtiq : comment la thématique du monstre est-elle exploitée dans le roman ? Annonce du plan

art peu prendre diverses formes. Il peut être esthétique tels que la peinture, la sculpture, la musique, la poésie. Mais il peut être mécanique et artisanal également. Généralement, à travers son art, un artiste transmet un message à son public. Est ce dans la recherche de compréhension d’une œuvre que l’admirateur s’enfonce dans son imagination ? La beauté suscitée par une œuvre peut-elle absorber celui qui la regarde ? Est ce que l’art dans sa représentation peut nous emmener loin de la réalité que

dans les interrogations artistiques de la fin du XIXe? Rimbaud etait un grand fan de Baudelaire, dont la these artistique principale reside dans le fait qu'imiter l'art a la production du beau est depasse, et que la laideur peut etre source d'art (d'ou "les fleurs du mal") Il y a peut etre dans cette phrase un rejet de la forme poetique classique... c'est comme cela que je le vois... la personnification de la beaute en tant que femme est un cliche de l'epoque...Rimbaud la reprend a son compte et la

« Fable ». a) Récit fabuleux, souvent d’origine populaire, qui met en scène des êtres, incarnant sous une forme symbolique, les forces de la nature, les aspects de la condition humaine. b) Représentation de faits ou de personnages réels déformés. On peut utiliser le mythe comme absorbant la légende, certains mythes sont des légendes… Ex : Le mythe de Faust. c) Expression d’une idée ou d’une doctrine, d’une théorie, au moyen d’un récit poétique. Ex : Le mythe de la Caverne de Platon. d) Représentation

personnage. Jeu sur le double sens du mot « bête » : peut désigner un geste maladroit, une femme sotte mais le terme peut aussi conférer une dimension animale à la femme. Terme « déficits » : désignent des défauts, des imperfections physiques ; « ravaudés », renchéri par le groupe adverbial « assez mal » ruinent toute vision élogieuse et font de cette Vénus une prostituée vieillissante et décatie dont le maquillage ne suffit plus à gommer la laideur. Le verbe « ravauder » désigne aussi le raccommodage

atmosphère étouffante - La phrase initiale du poème plante le décor : « Un chant dans une nuit sans air… ». « nuit sans air » plonge d'emblée le lecteur dans une atmosphère lourde et étouffante. Il y a une contradiction à « chanter » sans air (le son ne peut circuler). Double-sens possible du mot « air » (air que l'on respire ou air que l'on chante) d'où une contradiction flagrante : un chant dans un nuit sans « chant » ! - Thème de l'enterré vivant : enjambement « Tout vif/ Enterré, là », « froid, sous

l’esprit !- Même si le point de vue est personnel, les marques d’énonciation personnelle ne doivent pas apparaître. Il ne faut pas employer « je » mais « nous », « on » ou une tournure impersonnelle.- L’’argumentation doit être construite avec rigueur : les étapes du raisonnement doivent être articulées à l’aide de paragraphes et de connecteurs logiques.La DémarcheIl s’agit de trouver des arguments et des exemples afin d’étayer votre raisonnement.3 possibilités : 1. confronter la question à l’œuvre et cerner

l'azur, des vagues et des splendeurs ». Sources de beauté traditionnelles, elles font de l'ombre à la « boue » que Ponge qualifie d'être « à la frontière du non-plastique » dans « Ode inachevée à la boue». Elle prend la forme de la ville, lieu de laideur, où Baudelaire y voit « le chaos des vivants cités » dans « Tableaux parisiens » et que vers Verhaeren définit de lieu dépeignant l'ivresse et la déchéance dans « Usines », Les Villes tentaculaires, un lieu qui « fermente de fièvre et de folie » ;