La Laitière Et Le Pot Au Lait Lyrique

COMMENTAIRE COMPOSE DE LA FABLE « LA LAITIERE ET LE POT AU LAIT » LA FONTAINE. Introduction : « Chacun songe en veillant, il n’est rien de plus doux. »C’est sur cette citation que s’appuie cette fable de Jean de la Fontaine tirée du 7ème recueil qu’il a écrit et qui a été édité en 1678. Elle est intitulé « La laitière et le pot au lait ». Chacune des fables de la Fontaines s’organisent autour d’une phrase ou d’un paragraphe que l’on peut qualifier de « moral de l’histoire » et pourtant

La Laitière et le Pot au lait Perrette sur sa tête ayant un Pot au lait Bien posé sur un coussinet, Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue elle allait à grands pas ; Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple, et souliers plats. Notre laitière ainsi troussée Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait, en employait l'argent, Achetait un cent d'œufs, faisait triple couvée ;

La laitière et le pot au lait, Fable IX, Livre VII * Composition de la Fable : * Une Fable en 2 parties : Blanc typographique entre le vers 29 et 30. * La première partie : Histoire de Perrette * La seconde partie : * Le narrateur est présent * Discours du fabuliste, qui s’adresse directement au lecteur : à partir du vers 31. * Analyse : * Perrette vient d’un milieu paysan * V.34 :  « Chacun songe en veillant (…) » : Oxymore

Français Commentaire comparé : La Fontaine, Le curé et le mort La Fontaine, La laitière et le pot au lait Introduction Les deux textes que nous allons étudier s’inscrivent dans une séquence consacrée à l’argumentation, à travers l’apologue. Ici, nous observons deux fables de Jean de la Fontaine, fabuliste français ayant vécu de 1621 à 1695. On peut observer que les deux fables que nous étudions sont publiées dans le même recueil, et à la suite. Nous pouvons imaginer qu’elles revêtent des caractères

travaillé́ pour affronter l’hiver. Analyse de la fable : Jean de La Fontaine nous explique les deux réalités sans trancher/pencher sur lequel est le meilleur. Dans cette fable, il nous montre le monde réaliste et austère de la Fourmi et le monde lyrique de la Cigale.Il nous interroge : faut-il être prévoyant comme la fourmi ? Ou faut-il profiter de l'instant présent (été) comme la cigale ?Cette fable n’a pas une morale concrète comme dans les autres. Mais elle nous pousse à nous interroger sur notre

Exposé Les Fables (j’ai eu 20)L’œuvre que j’ai choisi de présenter est « Les Fables » de Jean de La Fontaine. La Fontaine est l’un des poètes français les plus lus du XVIIème siècle et il est l’une des principales figures du classicisme, un mouvement littéraire caractérisé la symétrie, l’ordre et la justesse. Son second recueil de fables allant du livre VII à XI est publié en 1678, soit dix ans après son premier recueil ; et il est dédié à Madame de Montespan. Les fables de ce deuxième recueil se

au début de la fable, permet de situer le personnage et l'action (exposition: v. 1-6) en insistant sur la sûreté de la démarche de Perrette. On passe ensuite à une forme de discours indirect libre où l'on prend connaissance de la "pensée " de la laitière (v. 7-11 pour aboutir au discours direct (v. 12-21) qui permet à la rêverie de prendre consistance (ampleur du discours et taille des animaux, de plus en plus gros. Mais le retour au récit (v. 22-29) est en même temps un retour à la réalité et à

conformément au placere et docere de l’esprit Classique. Les paroles du mari proposent un caractère théâtral et hyperbolique, quelque peu « forcé » avec l’emploi du verbe « s’écria ». L’utilisation du « ô » lyrique, des modalités interrogatives et exclamatives attribuent un caractère surjoué à ces propos. D’ailleurs le vers 5 est un Alexandrin qui parodie le genre tragique. Effectivement, le mari joue avec excès la ponte d’un œuf.  Cela devrait

désirer évoquer ces moments parfaits, en ces lieux écartés, proches du songe, et l’écriture littéraire même lui paraissait un moyen de jouir selon son rêve, comme la Laitière au pot au lait, mais sans danger d’être renversé par « quelque accident8 ». Une de ses plus fortes « tentations », selon l’expression de Giraudoux, était la poésie lyrique, ce grand genre éloigné de toute représentation de l’argent. En littérature, on le sait, les grands genres représentent fort peu l’argent. Selon la hiérarchie classique

œuvres permet à La Fontaine de ne pas être censuré. C’est un moyen d’éviter la censure mais ce n’est pas le seul. La laitière et le pot au lait : La Fontaine habite la ville au moment où il écrit "La Laitière et le Pot au lait", mais il se souvient du monde de la campagne qu'il a côtoyé en tant que maître des eaux et des forêts. Il dépeint ici un monde rustique et une jolie laitière avec une certaine tendresse bien sympathique. Cette fable est un joli tableau plein de vie. Le thème principal en est