La Laitière Et Le Pot Au Lait Lyrique

résistance. Il a gagné 2 fois de suite le prix de Goncourt. Il à écrit la vie devant soie 1975. René-Guy Cadou : ( 1920- 1951 ). Passa toute sa vie en Bretagne comme instituteur. Il a célébré les thèmes comme l'amour, la mort, l'amitié, ( thèmes lyriques). Il a écrit : les fusillés de Chateaubriand. Robert Desnos alias Pierre Audier : ( 1900 1945 ) Poète surréaliste. Il écrit : Ce cœur qui haïssait la guerre ( 1943) Poème extrait du recueil Destinée Arbitraire. Paul Eluard : ( 1895 1952

faire parler des animaux et les arbres. Les fables de Phèdre ont une portée politique très importante. Boileau, grand théoricien littéraire du 17e siècle évoque comme grands genres littéraires le poème épique, la tragédie, la comédie et la poésie lyrique et mondaine. La fable n’est même pas citée car on considérait qu’elle appartenait aux exercices scolaires. Dans le milieu de La Fontaine, on déteste ce qui est trop pédagogique ou pédant. Ainsi, les fables ont pu être considérées comme des récits

la Belette et le petit Lapin », fable 15. « La tête et la queue du Serpent », fable 16. ● Celles dont les héros sont strictement des humains : « Le mal marié », fable 2. « La Fille », fable 4. « Les souhaits », fable 5. « La Laitière et le pot au lait », fable 9. « Le Curé et le Mort », fable 10. « L’homme qui court après la fortune, et l’homme qui l’attend dans son lit », fable 11. « L’ingratitude et l’injustice des hommes envers la Fortune », fable 13. « Les Devineresse », fable

suivies et sa fluidité, une comparaison à la chanson. La poésie nous la retrouvons aussi dans les fables, grâce à sa sonorité et à son rythme, elle constitue un récit plaisant accentué par ces rimes et sa morale. Prenons exemple de « la laitière et le pot au lait » de La Fontaine ; le poète ne cesse de créer, de jouer, d’inventer des formes nouvelles, après la création de Pétrac au XVème siècle la poésie se libère de contraintes et les poésies en vers libre se développent. Nous remarquons cette

pas d’interruption : v.3 , 4 , 8 , 9 , 10 . Il montre aussi le mobile du voyage de Perette et le contenu de ses pensées . • Passé simple v. 28 , 29 : Exprime la chute de l’histoire pour montrer qu’instantanément dès que Perette fait tombe le Pot au Lait , elle devient comme une légende (Histoire dans laquelle tout le monde peut s’identifier) . • Présent d’énonciation v. 12 à 15 • Présent de narration : On raconte un évènement passé au présent => Plus vivant . v. 22 , 23 , 26 . Cela actualise

pas tant à vivre. Je te rebats ce mot ; car il vaut tout un livre. Jouis.-Je le ferai.-Mais quand donc ?-Dès demain. » ➢ La Fontaine aime aussi employer la 1ère personne du pluriel, ce qui rend la fable plus intime : « notre baudet, notre laitière ainsi troussée, notre ermite… ». Cet aspect de la fable qui lui donne l’air d’une conversation est accentué par le fait que La Fontaine dédicace svt ses fables, donnant ainsi l’impression de s’adresser directement à qq’un. Il dit obéir à une demande

facilement en rendant le parallèle plus visible. On retrouve le peuple des villes ; le clergé (Le rat qui s’est retiré du monde, VII,3), les jugés (= gens malhonnêtes corrompus qui ne pensent qu’à leur profit) et l’univers de la campagne (la laitière et le pot au lait ; Le fermier, le et chien et le renard) - Faire parler les animaux : humanise les animaux - Mais la parole dévoile sa vraie nature : elle est bien souvent commandée par le désir de nuire ou par l’ambition. Paradoxalement

    SOMMAIRE   La fable : La fable avant La Fontaine - La théorie de la fable.   Les animaux dans les fables : Composition du recueil - Les animaux - L'âme des bêtes.   Problèmes de fond : Les morales - Les discours - Les thèmes politiques et lyriques.   Questions de forme : Le récit - Le dialogue - La versification - Les registres. | |     LA FABLE |     Les livres VII à XI constituent le Second recueil des Fables. Un premier recueil avait paru en 1668-1671 (livres I à VI)

dit muet lorsqu'il est placé devant un mot commençant par une voyelle ou par un « h » muet. La rime La rime est la répétition d'un même son à la fin d'un vers. Elle est présente dans la quasi-totalité des poèmes et dans beaucoup de chansons, lyriques ou non, car elle donne une sensation d'harmonie interne au poème. Il existe différentes dispositions de rimes : • les rimes suivies ou plates, de la forme AABB (pluie, nuit, roi, loi) ; • les rimes croisées ou alternées, de la forme

donne forme à son expérience du monde, à ce qu’il éprouve. 1.b.1: production d’un exemple Les réflexions par lesquelles La Fontaine se met en scène à la fion de « La Laitière et le Pot au lait ». 1.b.2 : Commentaire de cet exemple: passage où LF se livre et met son lecteur dans la confidence de ses rêveries. Donne une dimension lyrique à la fable. 1.c. Ce même lyrisme était à l’oeuvre dans la dédicace à M. De Barillon qui ouvre « Le pouvoir des fables. » Celle-ci permet à LF d’exprimer sa crainte