La Lanterne

wife -Illusion VS Reality When Blanche arrives she is dressed in a very fancy dress, the stage directions reveal she is 5 years older than her sister, although she always pretends she is younger than her sister. Light “that suggests a moth”: paper lantern / only night time. She searches light. Allan Grey, Stella+Stanley have coloured lights. When the joke has a sexual connotation she seems out of place and confused. -loneliness/family She is driven away by society: “they told me to…”. The word

de l’action . La multiplication des détails, l’image du quotidien par la présence d’objets simples donne ainsi l’illusion de la réalité dans le roman bel ami nous avons un exemple «  toute la cave était illuminée avec des guirlandes de gaz et des lanternes vénitiennes cachées en des feuillages qui voilaient les murs de pierre salpêtrés .On ne voyais rien que des branchages. Le plafond était garni de fougères, le sol couvert de feuilles et de fleurs. » Cette description détaillé nous fait perdre le

première fois à un château. Le salon dit « en rotonde » — de l'italien rotonda — pièce unique, constitue une autre originalité. L’ensemble, formé par le vestibule et ce grand espace, forme comme une travée centrale. Cette disposition, dite aussi « en lanterne », permet au visiteur d'avoir une vue traversante dans l'axe cour d'honneur-perron-vestibule-allée en perspective des jardins situés de l'autre côté, autour de laquelle gravitent deux parties autonomes dotées chacune d'un escalier. Dans le rez-de-chaussée

4 - Promenade de Picasso. Jacques Prévert(4) Ce poème, et le suivant "Lanterne magique de Picasso" assurent la clôture du recueil de Jacques Prévert Paroles, publié en 1948. L'aspect narratif du texte: On peut partir tout simplement du titre - assez étonnant - de ce poème, pour formuler une hypothèse sur le type de texte que l'on s'attend à lire. L'observation des rares majuscules employées permettra, malgré l'absence de strophes, de repérer plusieurs étapes. Il sera intéressant de relever les

signaux mécaniques jusqu’au Bloc Automatique Lumineux ( BAL ), vous sera expliquée. Ajoutez à cela une remarquable collection de plaques d’immatriculation de locomotives, de panneaux divers de signalisation et de gares ainsi que de magnifiques lanternes pour toutes sortes d’usages. Yvan Montazel vous accueillera, sur rendez-vous, en appelant le soir au 04 94 06 22 50. Créé depuis environ trente ans et inscrit actuellement dans le guide des musées du Var, ce musée est situé Allée des Cyprès, quartier

enfin prendre son envol, se déployer dans l’éther. Plus il monte, plus son champ de vision s’élargit. Les soucis et tracas quotidiens laissent place à des interpellations plus profondes qui s’avancent en toute quiétude ; elles campent avec leur lanterne vacillante et attendent sans anxiété. La paix qui règne à ce moment alentours laisse présager qu’en fait ces questionnements, doutes, n’existent pas vraiment car le cœur conscience connaît depuis la nuit des temps LA réponse à tout. L’âme est

rappelez-vous bien de ce jour, quand ma femme est venue déposer le vison ? - Euh, oui, il me semble, répondit l’homme l’air surpris. - Je ne me rappelle plus exactement du jour, ni de ce que ma femme portait ce jour-là… Pourriez-vous éclairer ma lanterne ? s’enquit Cyril Bixby avec un sourire encourageant. - Bien sûr… C’était il y a deux jours. Si mes souvenirs sont bons, votre femme arborait un manteau rouge. Je ne saurais pas vous en dire plus. - Merci beaucoup, c’est précisément ce que je voulais

it will destroy her illusions. She says: "I don't want realism." Blanche’s disgust at the sight of a naked light bulb expresses her inability to face reality, and that is the reason why she covers the lights in the apartment with paper lanterns: these paper lanterns represent her illusions, the cover she hides herself under from the world, to camouflage her past and sins. For Blanche, light also represents Allan, her first love. When she met the young man "the searchlight" was switched on, and after

C'était une masure de deux étages, peinte en rouge lie de vin jusqu'au second, avec des persiennes pourries par la pluie. Au-dessus d'une lanterne aux vitres étoilées, on parvenait à lire entre les deux fenêtres: Hôtel Boncoeur, tenu par Marsoullier, en grandes lettres jaunes, dont la moisissure du plâtre avait emporté des morceaux. Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvres. Elle regardait à droite, du côté du boulevard de Rochechouart, où des groupes de bouchers

fumeuses. Mais, au ras du sol, un autre spectacle venait de l'arrêter. C'était une masse lourde, un tas écrasé de constructions, d'où se dressait la silhouette d'une cheminée d'usine; de rares lueurs sortaient des fenêtres encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue