La Lecon Eugene Ionesco Les Didascalies

texte théâtral est conçu par le dramaturge à la fois pour être lu et pour être mis en scène. Le texte théâtral “ Il se compose de didascalies, en italique, et de répliques, chaque fois précédées des noms des personnages, en majuscules. Ex. : « HERNANI, amèrement. – Que je suis heureux que le duc sorte ! » (Victor Hugo, Hernani, 1830) Les didascalies “ Les didascalies donnent des indications scéniques sur le décor, les costumes, les déplacements, le ton, etc. Ex. : « Chez Serge. Posée à même le sol

malédiction des comédiens la source de toutes les autres, notamment leur excommunication par l’Eglise levée seulement en 1922 ! Théâtre civique : Pour un romain, il est impensable que les problèmes de la République soient portés à la scène et que les « leçons » sortent de la bouche des histrions, ces esclaves. La Palliata. Elle est typique, pour nous, du théâtre latin pour la bonne raison que ses auteurs, Plaute et Térence (entre autres) sont les seuls dramaturges latins (avec Sénèque, tragique tardif)

absurde et aux échanges vides. Ce mélange du tragique métaphysique et de l'humour dans la dérision et la déstructuration du langage et de la forme théâtrale (pas de scènes, actes très longs, didascalies abondantes) se retrouve chez Eugène Ionesco (La cantatrice chauve, 1950 - Les Chaises Jules Romains - La Leçon - 1951) et plus encore chez Samuel Beckett (En attendant Godot, 1953 - Fin de partie, 1957) [11] . Ajoutons quelques noms d'aujourd'hui qui montrent que le texte de théâtre demeure vivant à

acteurs), mais aussi donne des indications au lecteur, au metteur en scène, aux acteurs qui vont jouer le texte : qui parle, à qui et éventuellement où, quand, comment… Ces indications s’appellent les didascalies. Didascalies et paroles des personnages constituent le texte de théâtre. Les didascalies La présence de ces indications scéniques est facilement identifiable par le lecteur : les noms des personnages sont en lettres capitales, les autres indications (de lieu, de temps, de déplacements, d’intonations

Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  : Aragon, Le Paysan de Paris – Le Théâtre de l’absurde : Ionesco, La Cantatrice chauve – Le Nouveau Roman : Sarraute, Le Planétarium. **5. Repérer les ruptures marquées par les mouvements a. Le classicisme, sur bien des points, se distingue du mouvement baroque. Sa recherche d’un Homme éternel, de la mesure et

entourent (braves garçons du reste). Il m'est impossible de penser à vous, sans voir en même temps des basques d'habits noirs à vos pieds. Il me semble que vous marchez sur des moustaches comme une Vénus indienne sur des fleurs. Triste jardin ! Et les leçons de musique ? Faisons-nous des progrès ? Et les promenades à cheval ? A-t-on toujours cette petite cravache dont on cingle les gens ? Comme si vous aviez besoin de cela pour les faire souffrir ! Quant à votre serviteur indigne, il a été le mois dernier

Destins tragiques d’Œdipe à Antigone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Amour et tragédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 140 Dossier EUGÈNE IONESCO, un auteur engagé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154 Étude la langue Grammaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160 Orthographe

Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau de paille d’Italie 3 Beaumarchais, préface du Mariage de Figaro 4 E. Ionesco, Notes et contre-notes Prolongements 34 34 35 35 36 J. Racine, Bérénice A. Cabanel, Phèdre Mise en scène de Phèdre Extrait du film Œdipe Roi de P. Pasolini

reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à de nouveaux codes esthétiques (l’épure, la simplicité…) ; – être au plus près de la leçon spirituelle : humilité, acceptation de l’homme tel qu’il est. Il conviendra de respecter les règles du discours sur le plan de l’énonciation, de la composition et de la mise en page. Les élèves pourront amorcer le texte par quelques éléments narratifs

reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à de nouveaux codes esthétiques (l’épure, la simplicité…) ; – être au plus près de la leçon spirituelle : humilité, acceptation de l’homme tel qu’il est. Il conviendra de respecter les règles du discours sur le plan de l’énonciation, de la composition et de la mise en page. Les élèves pourront amorcer le texte par quelques éléments narratifs