La Lecture Peut Elle Changer La Vie

Dissertation Sujet : Voici la réaction de Nana suite à la lecture d’un roman naturaliste : « Elle se révoltait, elle disait que tout cela était faux, témoignant d’ailleurs une répugnance indignée contre cette littérature immonde, dont la prétention était de rendre la nature; comme si l’on pouvait tout montrer ! Comme si un roman ne devait pas être écrit pour passer une heure agréable ! En matière de livres et de drames, Nana avait des opinions très arrêtées : elle voulait des œuvres tendres

qui donneront lieu ensuite à des choses nouvelles et sans doute fabuleuses. En effet, comme dans une explosion nucléaire, la première conséquence à la lecture d’un livre qui nous passionne est une destruction en ce sens que la nature profonde de notre être s’en trouve modifiée. Une part de nous peut même disparaître si la lecture nous amène à renoncer à nos principes, nos opinions ou à reconsidérer certains de nos préjugés. Mais de même qu’une bombe, les ravages laissent la place

disait toujours que, quand tu meurs, si tu as cinq vrais amis, tu as eu une belle vie. » , je trouve que cette citation détermine la réalité, nous sommes entourées de personnes qui nous appréciés, qui nous aiment, mais cela ne détermine pas qui sont les individus qui sont réellement nos vrais amis. Cependant, « C’est dans l’adversité que se révèlent les vrais amis.» C’est dans les moments les plus dures de notre vie que nous percevons nos vrais amis, ceux qui seront toujours à nos côtés lorsque nous

histoires parce que dans les légendes y démontre que tu peut de sauver de toute cette misère et de cette peur.C’est pourquoi beaucoup de personne on des défauts qui réussi a les mettes en qualité:trouve-les! Tu te sent diffèrent,étrange,tu est triste ou quelque chose dans ta vie va mal et tu voudrais tout changer?Lis ce livre qui va de montrer comment tu peut changer ta colère en joie,ta peur en force et des défauts en qualités et comment tu peut être unique en ton genre. Il était une fois,le jour

analyse montre l’aveuglement de celle-ci, sa rêverie et son incapacité à accepter la vie telle qu’elle est. Le passage à analyser peut se diviser en trois parties. * une première partie, des lignes 1à17 : « Il y avait … sa besogne. », qui nous présente le rôle de la vieille fille au couvent. Dans ce passage, Flaubert nous montre ce que cette dame apporte aux pensionnaires. Elle leur permet d’avoir un lien avec la vie extérieur, hors du couvent. Nous pouvons constater ceci avec « s’échappaient » (l

encore au cœur des débats concernant son «authenticité.» On peut donc se demander ce qui s’est passé avec ce pacte sur la fictionnalité conclu, depuis Aristote, entre l’auteur et son lecteur, pacte qui garantit l’autonomie du roman face au monde dont il est le reflet et non pas la copie. Or, de nos jours, il y a un appétit démesuré du public pour les productions artistiques «authentiques» dans lesquelles il chasse les indices de la vie réelle. La romancière allemande Julie Zeh dénonce cette aspiration

Observateur), qui a inspiré également – en 2001 – un film de Laurent Cantet2 : en 1993, Jean-Claude Romand tue sa femme, ses deux enfants et ses propres parents, avant de rater son suicide. Les enquêteurs découvrent alors que Romand a construit sa vie sur un mensonge incroyable : il se fait passer pour un brillant médecin travaillant pour l’OMS à Genève, et tout le monde autour de lui le croit à son bureau ou en déplacement alors qu’il erre sur les parkings ou dans les forêts, lisant des revues spécialisés

l’une des 2 guerres mondiales. L’action ne doit pas se situer sur le champ de bataille sinon l’auteur n’aurait pas parlé de chambre. En revanche il se peut que le roman évoque les réunions d’officiers chargés de préparer les stratégies de batailles dans des lieux reculés des terrains d’affrontement. Ce titre m’évoque une autre possibilité ; il se peut que l’action se situe réellement dans une chambre et par conséquent il pourrait s’agir d’une histoire d’amour entre des officiers et leurs femmes. Mais

Dans un premier temps, l’on peut tout à fait acquiescer à l’idée selon laquelle l'erreur des romanciers de croire qu'on a le temps de les lire, si l’on prend en considération l’acception générale du terme « avoir le temps de les lire », comme, un temps mesurable, un temps des sciences. En effet, du point de vue de l’auteur, il semble que des écrivains aient commis une erreur en étalant leurs romans pour des publiques de leur époque, qui les lisaient sous forme de feuilleton. C’est ce que l’exemple

hommes utilisent la lecture pour des raisons trs diverses selon les personnes et le bus atteindre. Bien quelle ait souvent t dcrite comme un divertissement, pour certains, elle permet une libration du quotidien, de la routine, du chagrin, et de svader, de fuir ou de penser autre chose. Les livres font rver, prsentent des vies idylliques sans aucune mesure avec la ralit. Claude ROY exprime ses convictions dans Dfense de la littrature, chapitre IX Nous ne lisons pas pour oublier la vie, au contraire,