La Liberte Est Elle Toujours Desirable

réseau Internet au début des années 1980. La partie militaire se détacha du réseau et devint Milnet. La partie universitaire fusionna avec la National Science Foundation et prit le nom Internet. 2 Voici pour l'histoire dite « classique », car il est toujours bon de connaître la base d'Internet qui nous est si routinier. Mais l'esprit d'Internet ne naît pas seulement de scientifiques et de militaires. La contre culture américaine des années 1960/70 y a été pour beaucoup, notamment dans cette organisation

transposition linguistique. Et comme pour une transposition musicale ou une traduction, beaucoup se perd dans le procès à la fin duquel émerge une tout autre vision du monde. Claudine Tiercelin fut ma collègue et amie lorsqu’elle enseignait, comme je le fais toujours, à Fordham University à New York, non loin du Lincoln Centre. Je ne l’ai jamais considérée autrement que comme philosophe analytique, même dans le sens de plus en plus restreint auquel renvoie cette désignation. J’avais plusieurs fois discuté de

ou intellectuelle sans remède. Le mot a été inventé par le philosophe anglais Francis Bacon (1561 – 1626) POUR L’HISTOIRE : Au XIXè siècle, son sens premier s’adresse en particulier aux adeptes de l’élimination « douce » de populations « non désirables » puis d’élimination de ces populations sans que le sens de « bonne mort » ne soit retenu. Ces pratiques d’euthanasie atteignent leur apogée lors de leur première réalisation à grande échelle par le troisième Reich : Le programme Aktion T4 : assassinat

Critères qu'une société trouve désirable collectivement Ici, valeurs = liberté et égalité Paradoxe à partir de l'égalisation des conditions : effondrement progressif de l'ordre social de l'Ancien Régime => société de + en + égalitaire (= moteur de l’Histoire pour T) => inégalités + insupportables = hausse des revendications collective et augmentation de l’insatisfaction => paradoxe de la frustration relative l’égalisation des conditions est une menace pour les libertés car : l’égalitarisme => élargissement

liée à l’argent dans la tutelle, et la question d’une hypothétique « (ré)éducation » de certaines personnes sous tutelle à la bonne gestion de leurs affaires d’argent. 1. L’argent, un objet social bizarre et complexe « L’argent, c’est de la liberté frappée » a écrit Dostoievski. Frappée au sens de monnaie frappée, comme on dit « battre monnaie », c’est-à-dire apposer sur une pièce de monnaie un sceau officiel qui en garantit la valeur. Pour sa part, Marx est beaucoup plus réaliste, ou plus prudent

conscience morale devient réellement une conscience, une réflexion lucide. J’ajoute encore : toute éducation devrait préparer à la rencontre. » ( p.85). « Qu’est-ce qu’il y a de particulièrement odieux dans le racisme ? C’est qu’il dénie à l’autre sa liberté, qu’il anéantit ainsi toute réciprocité. Oui, là même où s’exprime par des jugements admiratifs ou amicaux, du type "les Juifs sont plus intelligents", "les noirs sont affectueux", le racisme enferme l’autre dans un destin, ce qui revient à le

sept jours de la semaine correspondant à des travaux de labeurs ou encore les 7 planètes (d’où les 7 nains). Les animaux : Le chien est figure de nature humaine avec l’acquisition de la propreté, la fidélité et l’amitié. L’oiseau est synonyme de liberté, le corbeau correspond à la conscience mûre, la chouette à la sagesse et enfin la colombe représente l’amour. La grenouille représente le développement de la personnalité (le têtard vie dans l’eau puis ensuite sur le monde terrestre). Les couleurs

(film de série B), peut être considéré comme une branche du cinéma criminel. Les films noirs partagent de nombreuses caractéristiques et des thèmes pessimistes et tragiques, impliquant le destin, la trahison, l'angoisse et la jalousie. L'histoire est toujours étrangement liée à un meurtre commis par les principaux protagonistes, qui sont généralement une femme mariée amoureuse d'un autre homme. Cette femme caractérise la femme fatale tandis que l'homme est souvent un citoyen plutôt ordinaire qui a déjà

XVIIIème siècle. Mais on peut penser que la Renaissance au XVIème siècle en pose déjà les premières bases, grâce à l’apparition de nouveaux comportements et attitudes d’émancipation, de la reconnaissance de la capacité créatrice de l’homme (liberté intellectuelle et liberté d’entreprendre ; développement culturel et scientifique), s’affranchissant de l’autorité et de la « vérité » établie (cas de la bourgeoise urbaine et commerçante, l’ouverture sur le monde extérieur, les explorations, etc.). La révolution

joliment "couples dominos"… Une vieille histoire "Je suis noire et je suis belle, filles de Jérusalem" chantait la Reine de Saba au roi Salomon dans le Cantique des Cantiques. Oui, car le métissage ne date pas d'aujourd'hui, loin de là. Il y a toujours eu des échanges commerciaux, des déplacements, des mouvements migratoires, des conquêtes, des colonisations et bien sûr l'esclavage qui ont mis en contact des peuples, des couleurs et des cultures différents. Non seulement rien de nouveau sur la