La Liberté Se Définit Elle Comme Un Pouvoir De Refuser

CORRECTION DM N°2 : INTRODUCTION + PLAN DETAILLE TEXTE P.9 LE POUVOIR LEGISLATIF, PREMIERE PREROGATIVE DU SOUVERAIN SELON JEAN BODIN (1576) Phrase d’accroche Au même titre que la justice, le pouvoir de légiférer, d’édicter des règles présentant un certain caractère de permanence et de généralité, apparait comme l’une des grandes composantes de la souveraineté, et ses progrès fournissant l’un des critères les plus sûrs de l’affirmation de l’Etat. En effet, du XVI e au XVIII e siècle,

prend fin avec la Révolution Française des Trois Glorieuses de Juillet 1830. Elle se définit par un retour à la souveraineté monarchique, exercée dans le cadre d'une monarchie limitée par la Charte de 1814, sous les règnes de Louis XVIII et Charles X, frères de Louis XVI. Cette période se subdivise en deux parties, puisqu'elle est entrecoupée en 1815 par les 100 jours, durant lesquels Napoléon reprend le pouvoir. Il y a donc une distinction entre la première et seconde Restauration. Par la suite

l’existence précède l’essence. I- Les caractéristiques de l’existentialisme selon Sartre : 1- La liberté L’homme étant existant d’abord, ensuite étant construit par ses choix, on ne peut l’expliquer transcendantes à l’homme. L’homme est maître de ses choix. Il est donc libre : « nous sommes condamnés à être libre »disait Sartre. La liberté est le pouvoir de la conscience de néantiser c-à-d. d’annihiler les divers déterminismes dont elle peut être l’objet. L’homme façonne

les théoriciens de l'autorité de l'Etat, l'usage de la force n'est et ne peut être légitimé que par la légalité. Max Weber parle ainsi du « monopole de la violence légitime » détenu par l'Etat. La violence considérée comme inacceptable dans la société contemporaine, se définit comme la volonté de soumettre quelqu’un, contre sa volonté, par le recours de la force physique ou psychologique dans le but de contraindre, anéantir, dominer, protéger, détruire ou endommager. Quant à la légitimé, le débat

DEVOIR I. Problème de sens Devoir = croissance = une probabilité = une nécessitée = une obligation social et /ou morale = subjective dans les 2 cas pas de sanction judiciaire pour non exécution = libre appréciation de l’individu Sens devoir définit par le droit = dépend règle de droit = ordre juridique = objectif (ex : enfant doit subvenir besoin de ses parents) Bilan : devoir sens juridique et social = ordre de nécessite sociologique pour bon fonctionnement de la société = bien souvent adhésion

l’expression d’un refus. Ainsi, contester, c’est sans doute d’abord refuser : refuser l’évidence d’une vérité, refuser un ordre établi, qu’il soit politique, économique, social, culturel. La contestation devient donc synonyme de négation d’une part, de désordre d’autre part. Elle s’inscrit dès lors comme un symptôme, un signe pathologique d’un dérèglement et comme l’expression d’une volonté dissidente. Aussi convient-il d’interroger le sens de cette dissidence, de ce dérèglement, de ce refus : marquent-ils

découvre la justice et non à travers les multiples faits que fourmi la réalité quotidienne. II. Le droit : mélange d’impératif moral et de régulations sociales. La rupture fondamentale qu’introduit Aristote porte sur l’idée d’homme et de cité, comme il l’écrit « l’homme est par nature un animal ». Cela signifie d’une part que sa sociabilité n’est pas un artifice mais qu’elle tient à son essence mais que la cité constitue un cadre naturel pour que l’homme puisse réaliser ses propriétés et ses vertus

ou violation se trouve puni par un système de sanctions ==> comportement fautif (crime, inceste, rouler sans permis, etc) mais pas nécessairement de nature pénale. Norme d'application générale, qui régit des relations entre les personnes, qui définit une obligation. Cet ensemble s'applique à une très grande diversité de situations, il donne une vision unique de l'Homme, il s'applique nécessairement à une relation, il n'y a pas de droit solitaire. -Diversité des situations : si l'on cherche les

bien-être général et d 'assurer les bienfaits de la liberté à nous-mêmes et à notre postérité, nous décrétons et établissons cette Constitution pour les États-Unis d'Amérique. Les mots les plus importants sont les premiers : Nous, Peuple des États-Unis (We, the People of the United States). Ils contournent une difficulté pratique : il n'était pas sûr que tous les États ratifient la constitution, et il n'était donc pas possible de les énumérer, comme le faisait les articles de confédération. Mais

ainsi, la conscience, qui peut être justement vue comme cette chose qui sait qu'elle est, qui permet à l'homme de se représenter le monde, mais aussi d'agir sur ce dernier est donc que qui définit l'homme car il est le seul à la posséder. La conscience serait donc le propre de l'homme , et cette différence que met en lumière HEGEL entre l'homme et l'animal, est par ainsi fondamentale. Pour autant, cette conscience rend-t-elle l'homme libre ? Le mot liberté ne peut être seulement pris dans le sens de faire