La Ligne noire

d’abord, à la ligne 9, nous pouvons remarquer une comparaison : « le mur du quais, abrupt, confus, mêlé à la vapeur, tout de suite dérobé, faisait l’effet d’un escarpement de l’infini. ». Le comparé est le mur et le comparant est « l’escarpement de l’infini ». De plus l’outil de comparaison est « faisait l’effet de » et tous les points communs sont mentionnés par l’auteur : le mur et cette descente sont raides (« abrupt ») et brouillés (« confus, mêlé à la vapeur »). Egalement, à la ligne 14, nous trouvons

du monde réel. Nous pouvons voir que l’auteur essaye de nous dépayser puisqu’il nous fait la description d’un pays idyllique, la Bétique. Tout d’abord géographiquement « le fleuve Bétis » ligne 1 , « les colonnes d’Hercule » ligne 3, « la terre de Tharsis » ainsi que « la grande Afrique » ligne 4. Nous comprenons que ce monde décrit par l’auteur est imaginaire et nous sommes dépaysés car tous ces endroits sont réels et nous permettent d’imaginer l’histoire que leur raconte le capitaine

était au cœur de la poésie. Aujourd’hui encore, les poèmes semblent être la forme littéraire la plus fréquemment choisie pour exprimer ses sentiments. Va à la ligne Cependant, cela signifie-t-il que la vocation absolue de la poésie est de célébrer l’amour ? Ne peut-elle avoir d’autres fonctions ? La poésie est-elle forcément lyrique ? Va à la ligne C’est ce à quoi nous nous efforcerons de répondre en démontrant dans un premier temps que la vocation première et essentielle de la poésie fut de célébrer

d'abord nous observons que le texte prend l'apparence d'une prière adressée à Dieu. Il y a en effet présence d'impératifs comme « daigne » ligne 4, « fais que » ligne 7 ou encore de subjonctifs avec « jouissent » ligne 20, « puissent » ligne 23; ainsi que le champ lexical de la prière: « je m'adresse » ligne 1, « Dieu » ligne 1, « te demander » ligne 3, « pitié » ligne 5. Ces impératifs, subjonctifs et ce champ lexical de la prière marquent la forme de prière que Voltaire cherche à donner à ce texte.

retire de la vie publique. Il détruit certains de ses poèmes qu’il considère comme trop classiques. En effet, ce livre n’appartient à aucun genre littéraire et bascule les structures de la poésie traditionnelle car Césaire ne veut pas que la poésie noire se contente de reproduire la culture de leur peuple ou copier les œuvres occidentales. Il invente alors une poésie qui lui est propre, qui puise l’inspiration à la fois dans le surréalisme et dans ce qui constitue son héritage. Dans Cahier d’un retour

patrimoine familialle.1 La lutte des classes sociales est quant à elle associer aux enjeux et aux tensions de la société divisé en classes sociales, chacune luttant pour sa situation sociale et économique.2 Il est à noter par exemple qu’au chapitre 8 p.57 ligne 13 Lee se bat contre les classes sociales : « moi, je venais d’en rester éloigné pendant plus de dix ans, et au contact des gens qui ne connaissaient pas mon origine, j’avais pu perdre cette humilité abjecte qu’ils nous ont donnée peu à peu comme un

économiques. I) La Grande peste : une épidémie ravageuse. Jean de Venette présente dans sa chronique, à la ligne 1 que la peste touche le monde entier par sa rapidité fulgurante et dévastatrice. A) Un fléau incontrôlable. A la ligne 1, "le monde entier fut frappé", en effet, la peste se diffusa rapidement à travers l'Europe dont Jean de Venette en présente le cheminement de la ligne 28 à 32. Tout commence en Septembre 1347, des bateaux génois venus de Caffa abordent à Messine, en Sicile,

terrestres et dépôt d’une couche de charbon o en Espagne arrêt de la sédimentation calcaire de haute mer avec de nombreux fossiles (foraminifères) et dépôt d’une couche d’argile noire Cette modification brutale de la nature des roche est appelée discontinuité lithologique, la couche d’argile noire (et les charbons) sont caractéristiques de la limite Crétacé / tertiaire dans tous les sites étudiés - modifications des espèces o dans le Dakota les sédiments de la fin du

d'Afrique, ma nuit noire, mystique et claire noire, et brillante, Tu reposes accordée à la terre, tu es la Terre et les collines harmonieuses, Ô beauté classique qui n'est point angle, mais ligne élastique, élégante, élancée ! Ô visage classique ! depuis le front bombé sous la forêt de senteurs et les yeux larges obliques jusqu'à la baie gracieuse du menton et L'élan fougueux des collines jumelles ! Ô courbes de douceur, visage mélodique Ô ma Lionne ma Beauté noire, ma Nuit noire ma Noire ma Nue! Ah !

de leur couleur; et d’autres personnes, comme Madame de B., jugent qu’il faudrait voir au delà de la couleur de la peau. La jeune fille, que le médecin visite, est insomniaque et fiévreuse. Elle“éprouve une oppression continuelle” ligne 9-10 (page 4). Elle est victime de son chagrin et de son désespoir. En effet, elle explique que son mal est plus moral que physique. Elle aimerait avoir confiance en son médecin avant de lui confier les raisons de cette souffrance.