La Littérature A T Elle Le Pouvoir De Changer Le Monde

historique de textes arabes II Cours 1 du 19/09/2012 Nous allons étudier deux genres de textes (de littérature).1 Nous entamerons un texte qui illustre l’utilisation de l’aspect géographique au sein de l’adab, donc comment la littérature géographique a été utilisée par la littérature classique du 10e siècle. Nous verrons un texte d’Ibn al-Faqīh, auteur du début du 10e siècle dont on connait très peu de choses. Il a rédigé le kitāb al-buldān, le livre des pays. Nous verrons que l’ouvrage est intéressant par

histoire, littérature, histoire littéraire. … et application : Autrement dit l’énoncé vous invitait à penser l’articulation hugolienne de l’histoire et de la littérature, dans la perspective d’une refondation de l’histoire, qui devient de ce fait histoire littéraire (voir ligne 21). Du coup, la littérature répond à une nouvelle définition, dès lors qu’elle devient « le principe » de l’histoire (lignes 22-23) : c’est par elle que peut se concevoir l’histoire, càd le devenir collectif, à visée universaliste

le conte » La littérature sert à s’exprimer et à raconter, c’est un moyen d’enrichissement intellectuel & culturel mais surtout, la littérature sert à distraire et faire vivre au lecteur des aventures incroyables. Cette dernière fonction est clairement visible dans le conte qui est un récit de faits ou aventures imaginaires. A l’origine, le conte est un récit raconté à l’oral mais depuis la Renaissance, il fait l’objet de réécritures, devenant au fil des siècles un genre écrit à part entière. On

Les philosophes du siècle des lumières : La littérature de l’époque était une littérature d’idée. Voici quelques auteurs qui ont marqué leur époque : Rousseau, Voltaire et Diderot. Les auteurs de l’époque avaient comme but principal de faire réfléchir les lecteurs. Par conséquent on peut affirmer que les écrivains mettaient leurs œuvres au service de la philosophie. Ainsi, la rationalité est un élément qu’on retrouve dans les écrits de l’époque. Cependant à la fin du 18ième siècle, une nouvelle sensibilité

L’article tente d’abord d’établir une comparaison entre le régime éducatif hongrois et français pour mettre en lumière les points communs mais surtout les différences qui mènent pourtant à un résultat identique : « baisse générale des effectifs d’étudiants en lettres, etc… ». Nous cherchons ensuite à interroger « la crise des Lettres » dans un contexte critique. Finalement, la communication tâche d’esquisser un aperçu historique des stratégies d’écriture et de lecture du début du 19e siècle, moment

Comment la littérature peut-elle rendre compte des évolutions du moi ? Le “moi” est un concept plutôt flou auquel est associé de nombreuses différentes définitions. Néanmoins, si on le considère existant, on le sait complètement instable, sans forme fixe, changeant dans le temps, fluctuant en fonction des situations, évoluant aux gré d’expériences.  Depuis le siècle des lumières, où apparait la notion d’individu et où on ne définit plus une personne uniquement par son appartenance à la société

« Du reste, se dit-elle, a quoi pourrait bien servir un cortège, si les gens devaient tous se prosterner devant lui, face contre terre, et ne pas le voir passer ? » . Alice l’indocile, la subversive, opposée aux adultes, était le premier personnage de la littérature enfantine à démasquer l’orgueil des grandes personnes et à dévoiler l’hypocrisie de leur monde, c’est à dire le monde de l’enfance opposé aux conventions souvent incompréhensibles des adultes. La littérature enfantine victorienne ne

 LITTERATURE COMPAREE OBJET DE LA LITTERATURE COMPAREE ? Le comparatiste ? Les domaines de la L.C ? A quoi s’intéresse-t-elle ? Définition de la L.C Son cheminement, ses origines ? L’influence d’une littérature sur une autre ? L’influence d’un auteur sur un autre ? Développement de la L.C ? La thématologie ? L’imagologie, l’intertextualité ? (voir théories de la littérature, les récits de voyages, les mythes) BIBLIOGRAPHIE A CONSULTER Tout ouvrage parlant de la L.C., de l’influence d’une littérature

« tout le monde imite. Mais tout le monde ne le dit pas. » Discutez cette affirmation. « Tout est dit, et l’on vient trop tard, depuis plus de sept mille qu’il y a des hommes et qui pensent » écrit un La Bruyère apparemment désabusé au début des Caractères ; et effectivement son recueil est, au moins en partie, une reprise de l’œuvre du moraliste grec Théophraste, dont il donne une traduction. Comment créer du nouveau au XVIIe ou au XXe siècle, quand on vient après des siècles de littérature, de peinture

d'appliquer le concept de scénographie postcoloniale, emprunté à Moura, à l'espace d'énonciation (D.Maingueneau) du roman maghrébin. Partant de l'exemple algérien, Bonn nous dit sa difficulté à trouver dans les textes algériens de l'après-guerre d'indépendance la dimension collective que supposerait la scénographie postcoloniale. Le rapport des colonisés aux colonisateurs disparaît derrière le " je " humaniste qui s'attache à interroger le pouvoir de l'écriture. L'engagement est bien sûr présent, mais pas