La Littérature Distrait Amuse

Dissertation La littérature a-t-elle pour seul but de distraire ? Actuellement, d’après Tzetan Todorov dans La Littérature en péril, on appelle tout livre « littérature » notamment ceux qui distraient. La littérature étant l’ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une valeur ou une intention esthétique, la question est de savoir si la seule fonction qu’elle admet est la distraction des lecteurs. Dans une première partie, nous admettrons qu’un des buts de la littérature est bien de distraire

sont pas de son avis. La littérature doit-elle distraire le lecteur de sa vie quotidienne ou au contraire porter un regard sans complaisance sur le réel ? Dans une première partie, nous verrons comment les romans parviennent à distraire leur lecteur. Puis nous montrerons l’apparition d’une littérature réaliste et instructive. Et pour finir nous verrons qu’il existe des romans qui oscillent entre ces deux voies : récit extraordinaire et réalité crue. La littérature peut apparaitre comme une

de découverte, de distraction. N'importe quelle littérature a le don pour nous permettre de nous évader. Nous évader d'un quotidien qui n'est pas toujours rose, de la routine, des ennuis et des problèmes de la vie. Cela en laissant aller sa pensée, son imagination. Rien de tel pour oublier les tracas quotidien qu'un bon bouquin distrayant qui nous amuse, nous fait rire. Une pièce de théâtre comme Les fourberies de Scapin par exemple! La litterature nous permet aussi de s'identifier aux personnages

Français 1ère S Dissertation sur le conte voltairien Sujet : Robert Mauzi a écrit dans l'Idée du bonheur dans la pensée et la littérature française du XVIIIe siècle : « L'une des principales fonctions du conte voltairien est de mettre en scène sinon le tragique de la condition humaine, du moins l'absurdité du monde et la vanité du projet humain ». Que pensez-vous de ce jugement ? → On optera pour un plan dialectique en trois parties : I. Le tragique de la condition humaine dans le conte

Sujet pour l’option théâtre : Le comique à travers les siècles Pb : Comment la littérature du théâtre comique a-t-elle contribué à l’évolution de la société ? Le théâtre participe à la cérémonie religieuse dans l’Antiquité et serait né vers avant Jésus-Christ. C’est devenue au fil des siècles un genre littéraire et le dramaturge un créateur conscient de son art. Il y a différents genres de théâtre, celui sur lequel nous allons nous pencher est le théâtre comique. Plus libre dans sa forme et ancrée

a pas puisé l’inspiration dans la littérature antique (Esope ou Phèdre), mais dans une nouvelle du XVIe siècle « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché » de Bonaventure des Périers. Le récit met en scène une jeune femme, et non des animaux personnifiés comme c’est souvent le cas. Cette fermière va vendre son lait au marché et imagine tout en cheminant le profit qu’elle pourra tirer de la vente. Elle rêve et, distraite, renverse le lait, perdant par là

des années 50, en effet il reçoit • En 1959 le prix triennal de poésie en 1958 pour son recueil les Oignons • En 1969 l’aigle d’or de la poésie au premier festival international du livre à Nice. • En 1970, le prix quinquennal de littérature • En 1971, le premier prix littéraire belgo-canadien • En 1985, le prix de la Critique pour Les-coq-à-l’âne. La poésie de Norge La poésie de Norge emprunte une grande variété de forme pour ses poèmes : poème récit, virelangue, micro-fable

 SOMMAIRE Don QuichotteFaustDon JuanRobinson CrusoéLe détectiveLe robotLe monstreLa ville.     e mythe est inséparable de la production littéraire. On pense d'abord aux traditions mythologiques inlassablement revisitées par les grands genres de la littérature, qui tissent ainsi, en un vaste intertexte, une trame universelle de motifs (thèmes, lieux, personnages...). On parle alors de mythes littérarisés. Mais certains écrivains sont à proprement parler des mythographes, inventant des figures qui rencontrent

sorte de fétichisme apparent, put avoir de bonne heure des dogmes métaphysiques et un symbolisme relevé. Mais sans doute ces interprétations d'une théologie raffinée n'étaient pas primitives. Jamais l'homme, en possession d'une idée claire, ne s'est amusé à la revêtir de symboles: c'est le plus souvent à la suite de longues réflexions, et par l'impossibilité où est l'esprit humain de se résigner à l'absurde, qu'on cherche des idées sous les vieilles images mystiques dont le sens est perdu. Ce n'est

langue. Les écrivains sont soumis aux règles de l'art, mais plus que l'âge de la règle, le classicisme est l'âge de goût. Selon Molière, la grande règle de toutes les règles et de plaire. Le classicisme est un humanisme. Le véritable objet de la littérature et l'analyse et la peinture de l'homme. Descartes affirme que la raison est la grandeur de l'homme. Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit