La Loi S Oppose T Elle A La Liberté

Distinctions conceptuelles[1] : Bonheur, plaisir et joie • Bonheur ╪ plaisir. On les oppose, de manière commune, par leur durée. Le bonheur est défini comme un état stable, le plaisir comme un moment bref, dans un instant. Le plaisir serait la satisfaction passagère d’un désir alors que le bonheur s’inscrit dans la durée. Mais, par exemple, pour Epicure, le bonheur ne se définit pas de manière quantitative (par exemple dans une durée plus ou moins longue) mais comme absence de trouble de l’âme

Aristote (384-322 av J.C.) Disciple de Platon, il s’en écarte pour fonder son propre système : le Lycée (école concurrente). Et contrairement à Platon qui aime expliciter sa pensée par des mythes, Aristote est un philosophe méthodique qui est toujours dans le domaine de l’argumentation. Il est le 1er à formuler clairement les axiomes fondamentaux de la logique (propositions primitives non démontrables et sur lesquelles sont fondées une essence) par son principe de non-contradiction :

Nous sommes souvent amener à penser que la liberté se retrouverait dans l'absence de règles, l'absence d'autorité, autrement dit, dans l'absence d'ordres, de limites. Mais cela sans penser que nous serions alors plus en démocratie mais en situation d'anarchie, ce qui implique naturellement une instauration de la "loi du plus fort" (qui n'est en réalité, bien sûr, pas une loi en soi). C'est donc pourquoi dans cet extrait de Propos d'un Normand, Alain s'est interrogé sur les vertus du citoyen. La démocratie

soumission de la loi à un organe de contrôle n'est pas une pratique bien acceptée., même s'il y a déjà eu quelques réflexions sur le sujet. (l'Abbé Sieyes en 1795, veut créer un jury de Constitution) L' idée même de ce contrôle s'oppose à la pensée, introduite par Jean-Jacques Rousseau, philosophe des Lumières , fondée sur le caractère quasi sacré de la loi. Cette dernière étant le fruit de la volonté générale, elle ne peut pas nuire. On ne peut donc pas s'y opposer sans porter atteinte à la souveraineté

valeurs religieuses se sont imposées dans l'Histoire et ont longtemps servi à unir les hommes. Le droit et la religion sont deux domaines qui ont toujours été confrontés. Autrefois la religion dictait le droit par le biais des dieux, désormais le droit encadre la religion. La laïcité est le principe qui les sépare. Ce principe, établi avec la Révolution française, correspond à la neutralité du droit à l’égard de la religion. Ainsi à travers cette étude l’Eglise et l’Etat vont être confrontés. Le droit

au mari et à la femme ne sont pas égales. La femme était obligée de suivre le mari, elle lui devait l'obéissance etc. Or, les réformes successives pour l'égalité homme femme dans le Code civil gomment l'écriture noire sur blanc des termes homme et femme : on a écrit « les époux », ce qu'on voit dans les art. 212 et s. qui sont des textes du régime primaire impératif (d'ordre public). Ils sont lus à la mairie aux futurs époux. Seul l'Art. 144 dit mariage d'un homme et d'une femme. On a une série

organisé destiné à satisfaire les besoins collectifs déterminés de tous les administrés. L’ensemble de l’administration est composée de personnes administratives ayant la personnalité morale. Au sommet de ces personnes administratives, on retrouve l’Etat (personne morale par excellence) n’est pas seulement une personne administrative, elle assume également une fonction législative et une fonction juridictionnelle. Au dessous de cet Etat, on retrouve : * Des personnes publiques à caractère territoriale

condamnée à mourir (« Que je dusse mourir, ne le savais-je pas ? »). Cependant, les deux scènes diffèrent : dans la tragédie antique, les personnages s’opposent sur une question politique pour l’un, religieuse et morale pour l’autre. Les rapports de force sont tendus et chacun campe, intraitable, sur ses positions. Le texte d’Anouilh modernise ce mythe et oppose les deux sœurs, Antigone et Ismène : celle-ci prône l’obéissance, aux dépens de lois morales et familiales et rappelle que contrevenir à la loi

INTRODUCTION : Qu’est ce que le Droit Constitutionnel ? I. Le droit constitutionnel, un ensemble de normes juridiques spécifiques. A. Le droit, un ensemble de normes juridiques spécifiques Une norme est une institution mondiale : un chef d’état, un parlement mais ça varie d’un pays à un autre : Ex : en France, on a vu l’émergence de juges constitutionnels chargé de veiller sur la constitutionnalité mais cela n’existe pas dans tous les pays notamment en Gb et même la

les révolutions américaine et française imposent l’idée qu’une constitution doit assurer la garantie des droits des citoyens => instauration d’un régime démocratique => la limitation des prérogatives de l’Etat => protection des libertés individuelles. À cet égard, la France et les États-Unis d’Amérique, mais aussi le Royaume-Uni, s’engagent dans des voies différentes :  · La Constitution des États-Unis est amendée pour permettre la garantie effective