La Lune Théodore De Banville

(1802-1885) 2) Théodore de Banville (1823-1891) 3) Alfred Du Musset (1810-1857) 4) Théophile Gautier (1811-1872) 5) Paul Verlaine (1844-1896) 6) Charles Baudelaire (1821-1867) 7) Léon Pamphile Le May (1837-1918) III/. Les œuvres : 1) Claire de lune, de Victor Hugo- Les Orientales. 2) La lune, de Théodore de Banville. 3) Ballade à la lune, d’Alfred De Musset. 4) La Lune, de Théophile Gautier. 5) Claire de lune, de Paul Verlaine-

jardin’’, ‘’L’eventail de Madame Mallarmé’’ et beaucoup d’autres. Le poème Clair de lune de Paul Verlaine est très représentatif du symbolisme esthétique.Le paysage est ici le symbole de l'état d'âme. Au début, l'âme s'éparpille dans la feinte gaieté/tristesse. A la fin, les masques disparaissent et l'âme retrouve son unité dans le calme et la nature, s'abandonne à une émotion pure et profonde. Clair de lune Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques Jouant

correspondances de Baudelaire). On citera comme principaux auteurs : Baudelaire, Rimbaud, Verlaine et Mallarmé. 3 Paul VERLAINE (1844-1896) Verlaine commence à écrire à l’âge de 14ans. Passionné par la poésie d’Hugo, de Baudelaire, de Gautier et de Banville, il commença à écrire sous leur influence. Fréquentant les salons littéraires de Paris, il y rencontra Rimbaud. S’en suit une relation tumultueuse, assortie de nombreux voyages pendant lesquels il écrivit le recueil Romances sans paroles (1874) dont

Musset, qui montre l'amour du poète pour la personne à qui est dédié le poème. À ma mère, de Théodore de Banville, qui montre une autre sorte d'amour, l'amour maternel. A deux beaux yeux, de Théophile Gautier, où il décrit la femme aimée. Le Pont Mirabeau, de Guillaume Apollinaire, où le poète se souvient d'un amour passé. Avant que tu ne t'en aille, de Paul Verlaine, que je très bien écrit. Tristesse de la lune, de Charles Baudelaire, qui est un très beau poème aussi. Et le dernier poème, A celle qui

La Lune       Avec ses caprices, la Lune       Est comme une frivole amante;       Elle sourit et se lamente,       Et vous fuit et vous importune. 5     La nuit, suivez-la sur la dune,       Elle vous raille et vous tourmente;       Avec ses caprices, la Lune       Est comme une frivole amante.       Et souvent elle se met une 10    Nuée en manière de mante;       Elle est absurde, elle est charmante;       Il faut adorer sans rancune,       Avec ses caprices, la Lune.  BANVILLE

frais satin de sa peau. Oh ! Quelles ravissantes choses, Dans sa divine nudité, Avec les strophes de ses poses, Chantait cet hymne de beauté ! Comme les flots baisant le sable Sous la lune aux tremblants rayons, Sa grâce était intarissable En molles ondulations. Mais bientôt, lasse d'art antique, De Phidias et de Vénus, Dans une autre stance plastique Elle groupe ses charmes

«Anthologie de poèmes» ~Sommaire : ¤ Rondeaux : - Rondeau de printemps, René Charles d'Orléans - La nuit, Théodore de Banville ¤ Ballades : - La ballade des pendus, François Villon - Ballade des dames du temps jadis, François Villon ¤ Odes : - Ode à Cassandre, Pierre De Ronsard - Le printemps, Pierre De Ronsard ¤ Sonnets : - La cloche du soir, Jules Vernes - Quand par le dur hiver..., Jules Vernes Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de

petite fille avec sa mère qui peuvent nous rappeler à chacun notre enfance. Ensuite le poème A ma mère de Max Elskamp 1862. Ce poème plein d’amour et de tendresse me rejoint dans mes souvenirs d’enfance. Bien souvent je vois est un poème de Théodore de Banville. Ce poème plein de joie m’a interpelé me renvoyant directement à la douceur de mon passé. Les trois poèmes suivants parlent d’amour passé. Le poème A George Sand, d’Alfred de Musset est un poème de souffrance exprimant un amour perdu. Il

Théodore de Banville : (1823-1891) Poète, dramaturge et critique français, il était ami de V. Hugo, C. Baudelaire et T. Gautier. Banville unit dans ses œuvres le romantisme et le parnasse et il a publié une vingtaine d’œuvres de poésie entre 1843 et 1891. En 1872 il a publié le célèbre “Petit Traité de poésie française”. « Le printemps » appartient aux Cariatides, recueil de poème salué par Charles Baudelaire. Il décrit le réveil de la vie après la léthargie de l’hiver. On assiste au

abeilles d’or qui volaient sur nos fronts, Le verger plein d’oiseaux, de chansons, de murmures, Les pêchers de la vigne avec leurs pêches mûres, Et j’entends près de nous monter sur le coteau Les joyeux aboiements de mon chien Calisto ! Théodore de Banville, septembre 1841 , XIX ème siècle Prison fleurie[->4] cellule sans fenêtres pluie battante elle entend ses pensées les voix du monde dehors elle imagine ses enfants elle les berce le zèle des hommes les lois archaïques l’ont violée